ALLEZ... ZOU ! A L'ARMEE !!!

[Nina]

Il paraît que l'affaire d'Echirolles marque les esprits et que les « Français » sont consternés voire affligés par l'assassinat de deux bons élèves issus d'un quartier sensible des environs de Grenoble.

Moi pas.

Je ne suis en rien affligée et encore moins consternée par ces séries de meurtres ou violences en tout genre. Pire encore, je ne suis pas étonnée.

Je vois bien tout le mal que se donnent les journaleux pour nous faire entrer dans « l'affaire » et nous conter combien ces jeunes morts étaient fantastiques. Il n'empêche !

Quand le scénario est répétitif : même lieux, mêmes acteurs, on se lasse. Le taux de compassion à l'endroit de ces nouveaux martyrs est depuis longtemps au-dessous de zéro.

C'est pourquoi il est facile d'aller à l'essentiel et de tenter de faire comme pour le jeu des 7 erreurs : trouver les différences ou, pour être plus exacte, trouver les points de convergence.

1) Racisme, quand tu nous tiens !

Cela va certainement émouvoir les zopprimés arabo-musulmans mais ce type de fait-divers est largement majoritaire dans leur oumma.
Lorsqu'on voit les torchonnées apostropher le Président Hollande lors de sa venue en leur univers francaoui, on a envie de rire ! « Ji voté pour vous et tous ici, on a voté pour vous... On est au Texas, ici ! »

Bravo Madame ! Votre peine nous a émus le temps d'aller se faire cuire un œuf !
Toute emplie d'islam et donc de paix, d'amour et de tolérance, la dadame et ses copines de douas n'ont pas envisagé durant ces longues années que la République était la réponse à ces petits cons qui semblent empoisonner la vie de tout le monde.

Faut choisir : prier Allah ou éduquer ses gosses !

Le quartier en question nous a été présenté à la téloche ; force est de constater que RIEN n'indique qu'on est en France si ce n'est de braves mémères fondues de multiculturalisme qu'on trimballe devant les caméras, histoire de nous rassurer : nous sommes bien en France. Ouf !

2) Puisqu'il faut causer djeune pour bien se faire comprendre, « l'affaire » d'Echirolles prouve encore à quel point les rebeux et les renois sont immanquablement toujours fourrés dans des affaires de violence, de délits et crimes à gogo.

La plupart des mis en examen sont multirécidivistes et possèdent donc des casiers judiciaires longs comme le bras. « Le procureur de la République de Grenoble Jean-Yves Coquillat a ainsi précisé que trois suspects "connus pour leur extrême violence" avec "à peu près tous le même profil" avaient en commun d'avoir "été condamnés pour des violences souvent graves ou des faits de vols-violences extrêmement graves. ».

Qu'ils courent encore dans les rues ne semble pas entamer le sommeil de Madame Taubira, ministre de la Justice. Elle, c'est dehors qu'elle veut les voir, ces petits cons. La prison ? « Ça suffit ! Y a pas de place et c'est pas comme ça qu'on résoudra les problèmes ! » Laissons-les donc, Madame, pourrir la vie des citoyens !

Quand je pense qu'on a failli la perdre la Kiki Taubira ! Merde alors !!! Elle a failli se casser au Brésil pour faire carrière... au cas où la droite aurait gagné les élections !

Donc, le chaudron multi-cul a, depuis belle lurette, démontré ses faiblesses. Si les autres autour en prennent plein la gueule, c'est tant pis pour eux parce que nous, en France, Patrie des Droits de l'Homme, on doit prouver qu'on est les plus gentils, les plus compréhensifs et gnagnagna...

3) L'ARMEE ! Rahhh... l'armée ! Certains se plaignent en France de l'absence de conscription !

Des réacs (comme moi) osent affirmer que le ciment national a été rompu dès que l'armée française est devenue professionnelle. Dégager des obligations militaires d'office, c'était pas une bonne idée.

Oui... mais voilà : de quel ciment parle-t-on ? Avec quelle population au juste ? Des gamins sortis de lycées bruyants dans lesquels on conteste l'histoire de France ? Dans lesquels la particularité ethnique et/ou religieuse est de mise ? On rigole !

Les gens qui pensent que « l'armée va vous mater tout ça » sont dans l'erreur. Il faut pour une nation autre chose que des bidasses à « rattraper ». L'éducation inexistante de ces jeunes arabo-musulmans n'est pas à faire ou à refaire par l'Education nationale ni à postériori par l'armée.

Du reste, l'affaire d'Echirolles ou celle plus ancienne de « Rudy » en 2008, le prouve.

Deux frères, Sid Ahmed, 19 ans et Mohammed 21 ans, engagés volontaires font partie des suspects pour les meurtres de Kevin et Sofiane.

Notez au passage que la presse de gauche, comme Le Nouvel Obs, évite soigneusement de donner les patronymes des protagonistes de l'affaire d'Echirolles.

Il faut donc être parfaitement con pour ne pas comprendre que cette presse là, sous prétexte de ne pas inviter au racisme ses lecteurs, produit ce qu'il y a de pire : le ras-le-bol desdits lecteurs qui en ont plein le dos des « douceurs orientales » que nos nouveaux français exercent sur leurs compatriotes.

Oui, me rétorquera-t-on ! Mais ma chère, vous oubliez qu'ils ont tué d'autres musulmans !

Qui vous dit qu'ils s'en soucient ? Que font les Syriens ? Les Libyens ? Les Égyptiens ? Tout le reste du Proche et Moyen-Orient ? Sinon tuer d'autres musulmans ?

L'armée n'aura donc rien produit de bon avec ces infortunés arabo-français qui l'ont intégrée pour se la jouer bidasses, eu égard à leur bon palmarès de délinquants violents et parce qu'ils n'avaient pas d'autres choix.

Le cas de « Rudy », en 2008, avait déjà fait mention d'un bidasse arabo-musulman qui avait largement contribué au lynchage de ce jeune Juif dans le XIXe arrondissement de Paris.
En permission pour blessure à la cheville et portant des béquilles, ce soldat de l'armée de France n'avait nullement été gêné, lui et sa bande de lâches, pour asséner à sa victime des coups si violents que le jeune Rudy avait été plongé dans un profond coma.

De surcroît, souvenons-nous du désir de Mohamed Merah d'entrer dans l'armée ! Refoulé par les recruteurs, il s'en est d'abord pris à des soldats...

L'uniforme ne fait pas le citoyen. Indubitablement l'uniforme est pour certains un moyen d'apprendre à manier des armes, de se racheter une conduite... le temps de faire oublier la sienne.

L'affaire d'Echirolles comme beaucoup d'autres est symptomatique  : nous ne pouvons pas nous entendre avec cette population qui ne voit en l’État Français qu'un état-providence et abandonne l'éducation de ses enfants, pensant encore une fois que les pouvoirs publiques s'en chargeront.

« NIQUER LA FRANCE ! »

Ce n'est pas seulement un tag qu'on découvre ici et là sur les murs de Paris ou d'ailleurs. Ce n'est pas un refrain de rappeurs moult fois repris par les gosses des cités. C'est un programme politique, ni plus ni moins.

Ces femmes des cités, souvent seules, font partie du programme. Leurs maris, repartis au bled le temps de se trouver d'autres épouses pour enfin revenir établir leurs nouveaux rejetons, n'ont qu'une envie : jouir à jamais des prestations familiales et être parfaitement déresponsabilisés dans leurs rôles de pères.

LES BASES ARRIÈRES

"Lors d'un point presse mardi après-midi, Jean-Yves Coquillat a indiqué que les deux frères militaires interpellés en premier dès lundi soir - avant une éventuelle fuite en Algérie, où vit leur père, selon "Le Parisien - étaient également soupçonnés d'avoir joué un rôle important dans la rixe mortelle et pouvaient même être "à l'origine de la bagarre"

Le bonheur d'êtres bi-national, c'est aussi le permis de tuer et de se réfugier dans les bases arrières que sont les pays du Maghreb. On retrouve le papa et sa nouvelle épouse, on se met au vert le temps que les choses se tassent...

Ajoutez à cela le refuge vers l'islam et le tour est joué ! Derrière cet écran de fumée que certains nomment l'islamophobie, les choses empirent et tous les problèmes liés à ce multiculturalisme violent, à cet islam politique font de la France un pays où il ne fait plus bon vivre, pour nous...

Il est impossible de renoncer. Il est impensable que ces hordes barbares qui arrivent à être logés avant les autres, à êtres aidés avant les autres, puissent gagner la partie.

[Marock]

"Des réacs (comme moi) osent affirmer que le ciment national a été rompu dès que l'armée française est devenue professionnelle. Dégagés des obligations militaires d'office, c'était pas une bonne idée. "

Alors là, réacs, on est au moins deux.
A l' époque, j' ai tout fait pour pas la faire, l' armée.
Et bien sur j' ai loupé, elle a été la plus forte.
Deux ans de perdus ? Non, finalement, je devais bien ça à ma France pour tout ce qu' elle a fait pour moi.
Plus de conscription, plus de sentiment national, on le constate maintenant.

[Marock]

Tiens, je vais expliquer comment, à l' époque, on essayait de pas faire l' armée.

Ça marche pas à tous les coups.

Feuille de route

La 404 , Peugeot , là il faut le dire , c’ était vraiment une bonne voiture
Surtout la familiale , diesel , 9 places
Fumante , trépidante , bruyante , mais , surtout , costaude

La Renault 8 , elle , mignonne , carrée , gonflable à souhait
Rien qu’ en en culant la limasse et avec un peu de peinture jaune
On pouvait la transformer en Gordini
Mais le moteur à l’ arrière , ça , jamais j’ ai compris

L’ armée , alors , non , c’ était pas le bon plan
16 mois à jouer à l’ homme des casernes , et peut être , même , recevoir des ordres !

Les éléments du drame sont en place .

Pas faire l ‘ armée , une solution , la réforme
Mais à cette époque , moi , non inscrit sur les listes , déjà insoumis , à la limite de la désertion
Sur , ils me louperaient pas , déjà les cognes ils faisaient l’ enquête
Mais , les bons plans des copains :
Vallium , tranxéne , amphétamines plus whisky , toute la journée
Une semaine suffit à sembler le plus dernier des ravagés du bulbe
Allons y . Vrai , efficace , je me reconnaissais plus

Feuille de route en poche , allez , elle démarre au poil , la 404
Quelle belle descente , la rivière à l’ horizon , sur coucher de soleil
Ces couleurs , une lampe , qui passe du vert , à un orange , puis termine en rouge
Cette R8 bleue , avec ses beaux feux , qui s’ illuminent , flamboyants
Tant de beauté confondue , j’ ai du oublier quelque chose
Ah oui , le frein . Où est il parti ?
Boum , trop tard , la trottinette , devant , elle a déjà fait un bond de deux mètres
Oulah , ça sent les problèmes à plein nez tout ça
S’ extrait de la caisse , devant , une sorte de brute , athlétique , du muscle plein le cerveau
Alors là , vraiment , nous voguons vers le massacre
Ben , il va falloir négocier , même pas une armistice , une reddition
Lueur d’ espoir , le pithécanthrope présente un air conciliant
Il semble être un peu plus jeune , peut être de 2 ans , exploiter le bénéfice de l’ âge , faut essayer
Paroles exquises , il prononce : « Excusez moi , Monsieur , de m’ être arrêté , mais comprenez le feu était rouge »
Je regarde sa caisse , dégoulinante , mélange huile , flotte , quelques bout de ferraille et de caoutchouc
« Bon , c’ est rien , pardonné cette fois ci , tiens il y a un bar juste là , je te paye une bière , te montrer que je suis pas rancunier »
Discret , je regarde l’ avant de ma bagnole : un phare cassé , pas trop grave .
Bon , le petit bar Nantais , une petite bière , chacun
Alors , on fait un constat ? Là , je l’ aurais dans l’ os encore pire que lui
« Non Monsieur , non Monsieur , pas la peine , je vais me débrouiller »
Il est vraiment bizarre , ce mec , d’ un coup sur la tête il m’ assommerait et il aurait pas entièrement tort


« Monsieur , Monsieur , la voiture , elle est pas à moi , elle est à mon frère »
Alors , là , mon petit , ton frelot , il va râler
« Oui , Monsieur , oui , surtout , la voiture , elle est pas assurée »
Là , c’ est moi qui me sens parfaitement rassuré
« Monsieur , Monsieur , j’ ai pas le permis »
Allez , mon petit on reprends une bière , c’ est moi qui paye
Après , il a bien fallu se quitter , moi vers l’ armée , lui vers ses problèmes
Ca me faisait de la peine , sa bagnole en ruine , et lui avec son signe d’ adieu

Et l’ armée , malgré ça , j’ ai été enrôlé

[Nina]

Ils avaient besoin de toi Marock ! Tu manquais aux effectifs !!!!

Toutefois, il convient de répondre plus "intellectuellement" à la conscription telle qu'elle se faisait à l'époque jusqu'à la fin des années 70.

1) L'armée n'a jamais su se renouveler et faire en sorte que les trouffions appelés aient une formation correcte. Pourtant il y avait encore du blé et donc les moyens de faire des obligations militaires un moment d'apprentissage essentiel à la vie d'un homme.

2) Pour tout de même apporter un petit plus à la conscription, c'était le moment idéal pour se rendre compte à quel point l'analphabétisme était présent dans les couches de souche défavorisées. Aujourd'hui, cette sorte de râteau, cet écumeur que représentait l'armée pour prendre le pouls de la population étant inexistant, cela devient difficile...

3) Des gens appellent à un service civique obligatoire...mouais...ce serait bon pour les allumés qui tiennent les murs de leurs cités par exemple mais cela coûterait du fric et personne ne veut passer à la caisse...

[Marock]

L' analphabétisme...

J' allais en causer, les couches.
Pas seulement défavorisées, je dirais inculturées, sans hargne aucune envers nos braves cultivateurs.

Parce que moi, l' armée des années septantes, je l' ai subie, et de l' intérieur.
Pas trop longtemps, il me faut l' avouer, heureusement.

La suite :


L’ armée

Gare de Blois , matin glauque
300 gusses , environ le même âge , la moitié , déjà ils étaient bourrés
Et puis avec des accents , à n’ y pas retrouver un mot de français
Parmi , une vingtaine , on se reconnaissait , l’ air farouche , obstiné
Il fallait un quota , une bonne partie y passerait , des sursitaires
Regard du coin de l’ oeil , chacun pour soi , là vraiment , la pitié avait pas place
C’ est par où , la caserne ? Pas longtemps à se poser la question
Les camions bâchés , leur belle couleur caractéristique , et que ça saute
Blois , je connaissais un peu , j’ y étais passé , belle ville il m’ avait semblé
Mais là , je sais pas , peut être les circonstances , comme un nuage de suie sur le patelin
Mais le plus beau , la caserne . C’ est pas possible , on l’ avait trempée dans le goudron
Pour commencer , douche générale et collective
A 300 ? Avec eux ? Mais c’ est un coup à s’ attraper des morpions d’ une race inconnue jusqu’ alors .
Echappatoire , là un couloir , à gauche , un escalier , merde , un toubib
De mon âge , un peu plus il me semble , et qui se marre
Là , je vais pas y couper aux ablutions féroces
« Allez , suis moi dans mon bureau »
Et il nous ouvre chacun une bière , on parle
C’ est vrai , à l’ époque je bossais en fac de médecine , ça crée des liens
Je la connaissais , moi , la médecine , je le savais , le plus dur à dissimuler , l’ état de santé
Avec nos appareils à impulsions rotatives inversées , on savait tout du patient
Même plus qu’ il pouvait en connaître sur lui
« Là , mon coco , t’ auras beau être le pire des sourds , jouer l’ aveugle , étouffer comme un asmathique , ça aura du mal à prendre »
Oui , je le savais , ce serait le plus dur , mais je me doutais pas , les pièges
Tout le monde est propre ? Allez , maintenant , détection des capacités intellectuelles
Là , vraiment , du gâteau , il suffit de répondre à côté de chaque question pour passer pour le plus parfait des crétins
Au début , pas de problèmes , questions faciles , réponses de travers
Et puis les épreuves qui deviennent subtiles , délicates , même
Ah , ils croient que je vais pas savoir répondre , ces cons !
Merde tombé dans le piège , c’ est vraiment moi , le con
« Les ceusses dont les noms suivent , suivez moi »
Et , bien sur , on s’ est retrouvés ensemble , les vingt hagards du matin
Alors là , un bel officier , des galons partout , sur les manches , le képi
Mais l’ air un peu désabusé , quand même
« Mes chers enfants , les tests précédents ont montré votre aptitude à intégrer une école d’ officier , je pense que tous serez les plus zélés volontaires pour cette formation d’ élite »
Un silence , épais comme la subtilité d’ un adjudant chef , infiltre nos rangs
Non , si , une voix dans le fond « Moi, mon amiral , moi , mon amiral »
« Votre nom ? cher enfant »
Il s’ était trompé de salle , le pauvre , il a rejoint sa section , celle des psychopathes aggravés
Les larmes dans les yeux d’ un officier , il faut l’ avoir vu
Il a fallut le consoler , on n’ est pas des brutes
« votre proposition est très interressante , mon général , vraiment , enthousiasmante même , mais si on ne réussit pas à y couper , à vos seize mois , on préfère allez éduquer le tiers monde pas par vocation , certes , mais , faire le pitre au tableau sous les palmiers devant 50 hilares , ça doit être moins pire que marcher en rangs synchrones dans vos locaux nauséeux , merci quand même pour l’ avant goût »
Ont suivit diverses festivités , films à la gloire de ce grand corps , exposés sur les grandes oeuvres accomplies , je me souviens plus très bien . Je cultivais mon état comateux .
Une chose qu’ on avait gagné , nous les 20 , on nous a mis à dormir à part , et c’ était tant mieux , parce que le raffut qu ‘ ils arrivaient à élaborer , les autres , de l’ autre bout de la caserne , on l’ entendait .
Et l’ épreuve de vérité éclata .
Toussant , crachant , « j’ y vois rien, j’ ai pas entendu , j’ arrive pas à souffler plus fort dans votre bidule » , tout , vraiment tout , j’ ai essayé .
« Te fatigues pas , mon pote , on continue même pas les tests »
Tiens , mon copain , le toubib
« De toutes façons , tu pars en coopé »
Ah , le fumier , il savait tout , la carne .
Plus tard , il m’ a expliqué , tout ça était bidon , on avait déjà la feuille de route en fouille avant même d’ avoir franchit la porte de la caserne .
« Tu sais , la médecine militaire , par rapport à la médecine , c’ est comme la musique militaire par rapport à la musique »
Les vingt , tous , on y a été envoyés , dans les ex colonies
Bon , ben , allez , vive l’ aventure , on est parti arroser ça

Le retour , le train , des compartiments entiers de futurs bidasses , fallait voir à quoi on avait échappé .Tous bien contents , quelques uns , quand même qui pleuraient , ils avaient pas réussit le concours . Là vraiment de voir ça , il y a de quoi pleurer .