Il ne lâchera pas l'édito du Nouvel-Obs le vieux machin. Il en usera et abusera jusqu'à son dernier souffle.
Rien ne perturbe le vieil éléphant de la presse, ni ses erreurs, ni son idéologie. Quels sont-ils au fait ?
Un mixte entre un néo-christianisme et un socialisme caviardisé. Il reste là, sans bouger, sûr de lui et dominateur. Pour le coup De Gaulle est bien présent dans ces quelques lignes.
Jean Daniel est un terrible caractériel qui ne supporte pas la contradiction et encore moins la vérité.
Son ancien nom de juif (avant de franchir la rivière néo-chrétienne) était : Jean Daniel Bensaïd, né en Algérie, se doit être plus français que les autres et plus « doux chrétien » que les français de souche. C'est ainsi. Il a depuis longtemps oublié d'où il venait pour se fabriquer une identité de parfait patriote à la recherche de la paix, de l'amour, christique en somme.
Papa Jean Daniel avait même menti devant les caméras des principales chaînes de télé dès que « l'affaire Sara Daniel » sa fifille avait éclaté.
Bon roublard, crédité de son aura de rédac-chef du Nouvel-obs, bien introduit en cour du Roi Mittérrand 1er, personne n'aurait eu le culot d'attaquer sa fille chérie ou même de le traiter de menteur et de sournois lorsque cette dernière osa affirmer dans un de ses articles que « les soldats de Tsahal violaient les jeunes femmes palestiniennes afin que ces dernières soient assassinées plus tard par leurs familles afin d'y venger leur honneur ».
Cette phrase n'était assortie d'aucun signe typographique comme osera l'affirmer sans sourciller le vieux Daniel. Il alla nous sortir le truc infaillible sur l'oubli, la coquille que l'imprimeur oublia d'appliquer sur cette phrase. Les guillemets ! Haaaa ! Les guillemets ! Sans elles, nous n'avions rien compris ! Parce que voyez-vous nous sommes cons et débiles et que Sara Daniel n'avait aucunement l'intention de faire passer les soldats du peuple israélien pour de vils tortionnaires !
Moi non plus je ne mettrai pas de guillemets....Quoi qu'on dise et malgré les preuves que nous donnerions de Tsahal, de son éthique et de sa moralité ne changeront en rien l'image que les Daniel et autres journalistes auront été colporter dans leurs torchons.
Le dernier opus de papy Daniel est affligeant de contre-vérité. C'est ainsi qu'il débute par :
« On peut tout reprocher à Barack Obama, sauf de n’avoir pas prévu que les rapports des peuples islamiques avec les États-Unis ne cesseraient de s’aggraver jusqu’à perturber l’ordre du monde. Il y a pensé quand il était jeune, il l’a écrit lorsqu’il a été candidat pour la première fois, et son premier geste solennel en tant que président a été de prononcer un discours prophétique au Caire au milieu des étudiants de la prestigieuse université Al Azhar. »
Étudiants de la prestigieuse université Al Azhar ? Jean Daniel n'a-t-il donc pas regardé le discours du Caire ? Les frères musulmans trônaient en premières place devant le Président arborant de larges sourires entendus du style : « on y est déjà au pouvoir Hussein...même Moubarak ne peut rien contre nous ! »
Comment sait-il, papy Daniel ce que pensait Barack Obama dans sa jeunesse ? Rompu à l'idéologie d'un Saul Alinsky (rules for radical) ainsi que sa partenaire Hillary Clinton, il ne réfléchissait qu'au moyen d'accéder au pouvoir et rien d'autre.
« Ensuite, le fait qu’il affichait de manière solennelle sa volonté de paix et sa décision de préférer, chaque fois que cela était possible, le compromis à la guerre. »
Et oui mais...Ils ont craché dans la main tendue ces braves arabes pétris d'amour, de paix et de tolérance car ce n'est vraiment pas dans leur caractère d'accepter une paix. Au mieux, l'Occident aurait du négocier une HOUDNA, une TRÊVE.
Les musulmans de son enfance à Barack Obama ne sont pas les arabes dont nous connaissons plus les tendances à sortir les couteaux avant de discuter le bout de gras.
Pour ne pas sortir de son petit discours anti-israélien, le vieil oublieux Jean Daniel, donnera son petit couplet habituel. Jean Daniel a des réflexes d'alcoolique dès qu'il s'agit de parler des arabes, il lui faut tailler un costard aux juifs...aux israéliens, bien sûr !
« Les Iraniens ont refusé brutalement toutes ses avances. Quant aux Israéliens, ils auraient sans doute accepté le principe d’une évacuation des colonies s’ils n’avaient eu à leur tête un homme politique convaincu depuis toujours qu’Israël ne devait rien céder de ce qui constitue ses frontières actuelles. «
La haine que voue à Netanyaou Jean Daniel et son équipe rédactionnelle ne cessera de m'étonner. Nous donner du Netanyaou en chef de guerre d'extrême-droite c'est forcément nous le présenter comme aussi infréquentable qu'un Ahmadinejad. Du pur délire ! C'est exactement ainsi que toute la presse française tente de faire accroire. L'emploi de « colonies » n'est pas innocent. Le père Daniel a un problème de comprenette et d'histoire. La Judée-Samarie (anciennement appelé Cid-Jordanie) n'étant pas des frontières mais une ligne d'armistice, il serait dangereux que les israéliens le donnent en cadeau aux terroristes de l'Autorité Palestinienne.
« En fait, Benjamin Netanyahu préfère qu’il y ait pour toujours plusieurs Palestine et un seul État juif. On reste pantois quand on pense au nombre d’heures consacrées par la diplomatie américaine aux négociations avec l’un des plus petits pays de la région. Tout se passe en réalité comme si Israël était le 51e Etat des Etats-Unis. «
Ah ! L'insulte suprême ! Un état juif devenu le 51è état des USA ! Classe ! Jean Daniel a gardé dans sa mémoire trouble un zeste algérien qui le fait penser comme un chamelier. Il faudrait tout de même que quelqu'un lui dise que les arabes du coin sont excessivement dépendants de la manne américaine et n'ont pas du tout envie que ça change vu le peu de créativité que leurs peuples déploient. Faire l'aumône et proposer en échange de ne pas trop tuer de kouffars, c'est à peu près tout ce qu'ils pourront obtenir ces gentils infidèles. Le pétrole ? Bof ! Les whahabites ne vendent que si on leur garantit leur trône, leurs putes de luxe et leurs lubies de grandeur architecturales.
Le meilleur morceau :
« Des historiens américains ont fait remarquer qu’avant la naissance d’Israël, les Etats-Unis n’avaient pas de problèmes sérieux avec l’islam. La preuve, c’est qu’ils avaient désapprouvé et même interrompu l’expédition franco-anglo-israélienne de Suez en 1956, tout simplement parce que Washington voulait reprendre le rôle économique et géopolitique monopolisé jusque-là par la Grande-Bretagne. «
Ben ouais quoi ! Avant, les ricains s'entendaient bien avec les musulmans ! Ils ne les connaissaient pas, c'est aussi simple que ça ! Maintenant, ils émergent d'un long rêve orientaliste dans lequel le bédouin était un hôte singulier devenu brutalement un djihadiste tueur de milliers de ricains à domicile.
Si Jean Daniel veut rappeler l'épisode glorieux de Suez 1956, je lui enverrais bien à la figure le passé troublant de Teddy Roosevelt, petit-fils du Président du même nom, venu avec force valises bourrées de dollars et de promesses d'armement au Raïss Gamal Abdel Nasser qui à l'époque voulait déjà faire passer Israël dans les poubelles de l'histoire.
Les ricains, mon vieux Jean Daniel sont aussi inconstants et doubles que n'importe quel peuple ! Les juifs savent cela ! Les israéliens encore plus !
Pensez donc ! Ils ont du mal à relâcher un Jonathan Pollard alors que les israéliens pour sauver tous les otages américains du Hezbollah n'ont pas hésité à libérer quelques 400 prisonniers chiites.
« Elle en a toutes les caractéristiques. Son moteur ? La vengeance. Les musulmans n’oublieront jamais ni les croisades contre les infidèles, ni le fait que des étrangers règnent en Terre Sainte. «
Étrangers en terre sainte ? De qui papy Daniel veut-il parler ? Des juifs ? Ha....c'est pas bien ça M'sieur le journaliste. Si vous avez oublié les cours de Talmud Torah à Blida, en Algérie, on ne peut plus rien pour vous. Vu votre âge avancé, on vous pardonnera...
Si votre mémoire n'a retenu que Jésus, il faudra sans doute vous rappeler que le Messie des chrétiens avait pour sale habitude de se référer à son radicalisme juif au point que le « Temple » devant lequel il prêchait était une réalité bien tangible. Même les évangiles rappellent l'épisode, c'est dire !
Votre amour de l'islam, de l'idéologie fallacieuse sur un « peuple palestinien » qui n'existe que depuis 40 ans, vous a obligé à mentir, à travestir, à utiliser votre journal comme d'une arme. Votre fifille Sara a reçu les bonnes leçons.
On attendra...l'ère post-Daniel verra bien le jour et les français commenceront à comprendre ce qui se cache dans l'idéologie islamique, ce que les israéliens doivent combattre jour après jour. Du reste, ça commence. Même les gens de gauche commencent à comprendre la maladie de l'islam.