par Nina » Août 24th, 2023, 9:06 am
(les voisins à Nîmes)
(Sénégal quel régal !)
Toujours l'esprit mal tourné mais assaillie par "L'AFFAIRE DE NÎMES", j'avoue ma perplexité et surtout le manque (ou acte manqué) de DIVERSITE dans les quartiers incriminés dans les deal de dope.
Serait-il plus judicieux de rebaptiser le quartier de Pissevin par PISSEDOPE ou PISSEBASTOS ?
Où sont les blancs ?
Eh oui les aminches...Vous m'attendiez au tournant mais le jour où je fermerai ma gueule c'est que je serai forcément au cimetière.
Lorsque de façon presque PESANTE, les fameux gentils voisins se sont massés au pied de l'immeuble de l'enfant assassiné à Nîmes, nous ne pouvions pas, honnêtement, ne pas remarquer que TOUS LES HABITANTS ETAIENT AFRICAINS.
Oh bien sûr, avec un petit peu de temps, on trouve quelques maghrébins mais ils sont ultra-minoritaires en regardant avec arrêt sur images.
Le lendemain de ce règlement de compte qui a coûté la vie à un gosse, on se sent assez CHEZ SOI pour recommencer à sortir les Kalach et à buter un dealer qui n'était même pas de Nîmes mais était "en intérim" dans la région.
C'est que le business marche tellement bien que les caïds ont leurs agences d'intérim qui permettent surtout :
- de trouver de la main-d'œuvre sur tout le territoire national pour baisser les coûts salariaux,
- Main-d'œuvre décentralisée pour raisons de flicaille qui connait un peu trop les locaux et déstabiliser les enquêtes,
- Prouver surtout à l'état français qu'il faut désormais les considérer comme de grandes entreprises qui fournissent du travail et coopèrent d'une certaine façon à désengorger le pôle-emploi.
Tout ceci bien sûr : NET D'IMPÔT ! L'est pas belle la vie ?
Les photos sont parlantes les aminches. Manquent sans doute quelques baobabs et de vieux sages et griots pour vraiment se sentir comme au pays, continuer de vivre africain et bénéficier bien sûr de toutes les douceurs sociales des toubabs.
Inutile de vous poser la question, OUI LA POLYGAMIE prospère tranquillement dans ces cités et bien malins les enquêteurs (qui n'existent pas) de la CAF ou de la SECURITE SOCIALE pouvant prouver des faits caractérisés.
"Je suis avec MES MERES !". C'est ce qu'un gamin m'a dit en plein Paris dans un jardin d'enfants non loin de chez moi.
J'avais pigé ! Les 4 africaines toutes en boubous étaient les femmes d'un seul et même mec.
J'aurais bien aimé les suivre pour savoir dans quel HLM ils créchaient mais cela ne devait pas être loin.
Alors lorsque j'entends des chroniqueurs, des politiques, des connards en somme, nous parler de "FAIRE NATION", je me marre d'abord et je me fous en rogne dans la foulée.
Même les "CONTRATS" sur la tête de concurrents entre caïds des cités sont DELOCALISES.
On fait appel via le darknet ou le téléphone arabe et africain à de très jeunes chances pour la France pour buter des pilleurs de marchés.
Ces gamins recrutés habitent à des centaines de bornes des lieux où ils devront jouer les sicaires afin d'échapper aux enquêtes judiciaires.
Tout ceci est très bien pensé même si c'est une resucée des mafias habituelles qui ont toujours fait appel à des tueurs à gages extérieurs à leurs territoires.
Même le fric pour d'éventuelles obsèques dans les règles sont prises en compte si le sicaire tombe sous les balles du clan adverse ainsi qu'une prime aux familles.
Que peut la police ? QUE DALLE !
Par contre, on se demande si la DGSI (ex RG) n'est pas dépassée car leur contrat principal est la prévention des attentats terroristes.
La main-d'œuvre est renouvelable à foison. Les migrants non encore connus des forces de l'ordre sont vite recrutés. Un petit paquet de fric peut les aider, moyennant quelques bastos dans la tête d'un dealer, de pouvoir rester sur le territoire ou de s'offrir un passeur pour l'Angleterre.
Bien sûr lecteurs qu'au plus haut niveau de l'exécutif tout ceci se sait.
Comme il est sûr aminches de mon cœur que TOUT CECI SE TAIT. Les émeutes coûtent trop cher et les événements sportifs arrivant, on planque tout et on passe même des contrats avec les caïds pour ne pas lâcher les hordes.
"Oui...vous pourrez continuer à dealer mais à bonne distance des terrains de rugby. Attention...Pas de bordel !".
Rahhh....On a l'esprit de la négociation en France.