CHEZ FERRARI C'EST HARO SUR ISRAEL !

CHEZ FERRARI C'EST HARO SUR ISRAEL !

Messagepar Nina » Janvier 28th, 2020, 6:26 pm

Qu'ils soient de droite, de gauche, du centre, Laurence Ferrari a fait consensus autour du DEAL DU SIECLE pour reprendre Donald Trump.

On sentait la stupeur et le tremblement chez les cons qui entouraient la Ferrari.

Claude Dassier fulminait comme si on lui enlevait son dernier bout de pain pour saucer son plat et les autres de LREM ou LR étaient quasiment HS !

Il faut croire que s'il y UN PAYS QUI FAIT L'UNANIMITE POUR FAIRE CHIER LE MONDE ENTIER : C'EST ISRAEL !

Comment voulez vous que nous ne soyons pas un chouille parano ?

Personne ne pose la question différemment.

Les arabes combien de PAYS 23. Ca fait chier quelqu'un ? Que nenni !

78 % de la Palestine mandataire revient ENCORE A UN PEUPLE FABRIQUE : LE ROYAUME JORDANIEN !

Mais Israel qui existe et est constamment invoqué durant des milliers d'années et dans toutes les religions dites "du livre", personne ne veut le voir libre et indépendant.

Les chrétiens et les musulmans avaient tellement l'habitude de cogner et de racketter leurs juifs qu'ils se sentent seuls et incapables d'avoir leurs marionnettes pour les premiers et leurs dhimmis pour les autres.

Le deal du siècle ? En ce qui me concerne, ce n'est pas encore ce que je souhaite. Je veux toute la région.

La Judée Samarie est le berceau du judaïsme. Ce sont les arabes qui sont les envahisseurs et n'ont rien à faire de cette région.

Comme le disait un ex-terroriste arabe-palestinien Joseph Farhat.

"Jusqu'en juin 1967 j'avais un passeport jordanien puis, je me suis réveillé et on m'a dit que les juifs avaient gagné et que maintenant j'étais palestinien."

L'histoire vue par les arabes c'est un joke.

Nina

PS : La France - QUAI D'ORSAY - est en rage ! Elle refuse tout le plan en bloc.

Ce qui me fait sourire c'est que pour détourner l'attention des grévistes, Macron serait bien foutu de mettre le paquet SUR LE CONFLIT ET LE DEAL DU SIECLE.

Les paris sont ouverts et c'est Shlomo qui s'en occupe. Il est basé en Angleterre où les bookies sont déjà sur le coup.
Nina
 
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Re: CHEZ FERRARI C'EST HARO SUR ISRAEL !

Messagepar Loiseaubleu » Janvier 29th, 2020, 10:06 pm

Nina article du Figaro à paraître le 30 janvier
Bonne lecture

international
La France a-t-elle lâché les Palestiniens ?
ISABELLE LASSERRE
C’EST par un communiqué laconique et ambigu que la diplomatie française a commenté l’initiative de Donald Trump au Proche-Orient, ce « deal du siècle » qui sert avant tout les intérêts israéliens. De source sûre, les « éléments de lan­gage » ont été fournis, voir imposés au Quai d’Orsay par l’Élysée. Ils sont étonnamment compréhensifs vis-à-vis de l’initiative trumpienne. La France « salue » en effet « les efforts » du président américain. Elle promet d’étudier « avec attention » le plan de paix et d’agir en lien avec les États-Unis et ses partenaires européens.
Tout en affirmant mener une politique de neutralité dans le conflit israélo-palestinien, la France a souvent été considérée comme un pays propalestinien. En tout cas sous Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand et Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande ayant rétabli, chacun à leur manière, une forme d’impartialité vis-à-vis de ce ­dossier ultrasensible. Les propos relativement compréhensibles soufflés au ministère des Affaires étrangères par Emmanuel Macron s’apparentent donc à un lâchage de la cause palestinienne. « Visiblement, la France a renoncé à s’engager pour la promotion d’un État palestinien constatant la situation sur le terrain », commente l’ancien diplomate Denis Bauchard, aujourd’hui conseiller Moyen-Orient à l’IFRI. La réalité montre en effet un fait accompli israélien ainsi qu’une absence de volonté des deux parties.
« Emmanuel Macron ne veut pas se ­fâcher avec Donald Trump », résume un diplomate. Il refuse d’ouvrir un front supplémentaire avec le président américain, alors que le différend qui oppose Washington et Paris sur l’accord nu­cléaire iranien complique déjà la relation bilatérale. Sur le dossier israélo-palestinien, le président français sait qu’il ne sert à rien de vouloir s’imposer ou de contredire face au rouleau compresseur américain. La France a besoin des États-Unis et de leur armée, qu’elle tente de ­retenir au Sahel et en Syrie pour y com­battre le terrorisme. « Elle a des problèmes beaucoup plus sérieux à résoudre que la question palestinienne, qui à ce stade ressemble à une cause perdue », résume Denis Bauchard. Depuis son arrivée à l’Élysée, Emmanuel Macron est resté en retrait sur cette question dans laquelle il n’y a selon lui que des coups à prendre, lui préférant le Sahel et le Levant.
Pragmatisme et réalisme
Si le coup de projecteur américain a sur elle un effet grossissant, la cause palestinienne est pourtant délaissée depuis longtemps par les agendas diploma­tiques, chassée par les printemps arabes qui ont changé l’ordre politique au Moyen-Orient. Les uns après les autres, les nouveaux dirigeants arabes se sont rangés du côté des États-Unis face aux Palestiniens. L’animosité envers Israël a été remplacée par de nouvelles menaces : l’Iran, les djihadistes de Daech et, pour certains pays sunnites, la croissance de l’islam politique et des Frères musulmans. Longtemps, les États arabes et leurs présidents autoritaires ont assuré la stabilité de la région. Depuis, ils ont souvent été remplacés par des États fragiles dans lesquels la religion se radicalise et dont les populations préfèrent manifester pour réclamer des droits supplémen­taires que de soutenir la cause palestinienne. Depuis le départ de Moubarak, l’Égypte ne joue plus sa fonction modératrice dans le conflit israélo-palestinien. La mort de Yasser Arafat en 2004 avait réduit l’attrait du combat palestinien en Europe. Mais la radicalisation et les divisions du camp politique palestinien ont fini par lasser les diplomates.
Pragmatique, disruptif, réaliste, Emmanuel Macron aime briser les tabous, renverser les tables, donner des coups de pied dans la fourmilière, comme il l’a fait avec l’Otan dans son interview à The Economist. Davantage que les traditions diplomatiques françaises, ce sont les résultats et le mouvement qui lui importent. Quand les États-Unis ont reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël en décembre 2018, la France avait officiellement dit sa « désapprobation ». Mais la réserve n’était que de façade. « Nous sommes en désaccord sur la forme, mais en accord relatif sur le fond », confiait à l’époque un haut diplomate.
L’Élysée a cependant pris soin, dans sa réponse à l’initiative américaine, de réaffirmer les fondamentaux diplomatiques de la France. « Tous les paramètres sont respectés, notamment l’attachement de la France à la solution à deux États. On ne trahit pas nos positions », commente un diplomate. En faisant passer le message par le Quai d’Orsay, l’Élysée a su se garder une distance vis-à-vis du plan trumpien. Mais si cette ligne compréhensive devait être maintenue jusqu’à l’annexion des colonies de Cisjordanie, elle signerait un tournant dans la politique proche-orientale de la France.
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Re: CHEZ FERRARI C'EST HARO SUR ISRAEL !

Messagepar Kristiane » Janvier 30th, 2020, 5:52 pm

Merci LoiseauBleu pour le copier coller.

Mais wait and see !
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