Les paris sont lancés alors que les primaires internes au parti démocrates sont quasiment une réplique de l'ancienne liste à quelques détails près.
Aujourd'hui, on peut éliminer le vieux Bernie Sanders qui fera sa campagne par plaisir et pour devenir le "faiseur de roi" tout comme Liberman en Israel.
Le vieux gauchiste sait très bien qu'il n'a qu'un poids limité dans le grand parti de Roosevelt.
D'autres sont tentés comme Blumberg le milliardaire de New York qui est aussi friqué et âgé que Trump.
Un coup républicain, un autre démocrate, l'ex-maire de New York voudrait finir en beauté.
On a l'éternel pote d'Obama, le suiveur patenté et celui qu'on présente comme un réel potentiel : Joe Biden.
Or, il a autant de charisme qu'une moule. C'est dire si le mec a peu de chance à moins d'un gros coup de pub involontaire de Trump.
Petit aparté : Il faudrait que Jared Kuschner le drive un peu plus avant qu'il n'écrive une connerie qui donnerait l'avantage aux démocrates. Je dis ça...
En fait, la plus flippante sera sans doute ELIZABETH WARREN.
Même si elle vient d'un milieu peu favorisé, elle s'est élevée grâce à un parcours méticuleux au dessus de sa condition.
Pourtant, elle a vite emménagé chez les gagnants : BOSTON Massachusetts, ce qui donne des lettres de noblesse à n'importe quel glandu qui soupire de nostalgie en songeant aux Kennedy.
Du reste, Mrs WARREN se calque volontiers sur Ted Kennedy qu'elle trouve "remarquable". Elle a sans doute oublier l'assassinat d'une assistante de son mentor qui a fini au fond d'une rivière...mais passons !
Elizabeth Warren a longtemps été ultra-libérale et même REPUBLICAINE !
Quand elle a vu qu'elle avait plus de chance d'atteindre le Congrès, elle est passée dans l'autre camp en espérant et à raison être élue sénatrice. Gagné !
Les américains adorent être les premiers partout. Ce sont de grands enfants qui ne songent qu'à une seule chose being first anywhere anytime. N'importe où, n'importe quand.
S'ils s'enorgueillissent d'avoir eu le premier président noir du monde occidental, ils veulent aussi avoir LA PREMIERE FEMME PRESIDENTE DES ETATS UNIS : PREMIERE PUISSANCE DU MONDE !
Rien que pour cela et les discours mielleux d'Elizabeth, ils pourraient bien filer sa chance à la sénatrice.
Vous ajoutez les femmes qui dominent la politique américaine aujourd'hui dont le trio de gauchistes comme Tlaib, Cortez et Omar ainsi que les vieilles harpies qui ont échoué comme Pelosi et H. Clinton et vous avez toutes les chances pour que la donzelle Warren fasse son entrée dans la maison blanche.
Pourtant, "LIZ" comme l'appellent ses récents potes Ben Affleck, Matt Damon, Dani de Vito pour ne citer qu'eux a voulu en faire trop et a menti éhontément sur son patrimoine génétique.
En effet, elle affirma à moult reprises dans ses discours qu'elle avait du sang CHEROKEE dans les veines.
Des petits malins, même pas républicains, ont fait des recherches et...que dalle...pas une goutte amérindienne dans les veines de la sénatrice.
Du coup, elle n'en parle plus et pire, évite le sujet dès qu'un "mauvais journaliste ou plaisantin" lui pose la question.
C'est donc de cette Elizabeth Warren, férue d'économie et étalant ses diplômes à longueur de speeches que Trump devrait se confronter.
Nous pouvons compter sur tous les cadors d'Hollywood pour aider la "première femme président" à accéder au pouvoir ainsi qu'à Zuckerberg qui se fera un plaisir de signer un chèque et ouvrir son Facebook à Mrs Warren comme jadis pour Obama.
Dans la foulée, il est probable que Warren propose un vice-président gay afin de s'allouer les lobbies LGBT qui font des ravages et votent massivement contrairement à l'américain moyen.
Tout est une question d'images, de copinages et d'alliances aussi obscures et démesurées aux Etats-Unis d'Amérique.
Si elle gagne, attendez-vous à un remodelage de la politique étrangère du pays et à une piètre économie puisque les démocrates ne voient pas la Chine s'étaler comme une crêpe sur les USA et les points forts de la planète.
Servie comme un Nem tout chaud sur un plateau si Warren remporte la Maison Blanche.
Ca craint non ?
Nina