Va falloir carrément penser à armer vos bobies et à nous pondre un vrai JAMES BOND avec LICENCE TO KILL abrutis !
Un très célèbre DJ qui animait depuis 1990 RADIO ONE à Beyrouth au Liban vient d'être retrouvé dans un sale état : massacré puis étranglé par deux pauvres jeunes réfugiés syriens. C'est pas de bol !
Il s'appelait Gavin Ford et adorait sa vie au Liban jusqu'au jour où il croisa le chemin de deux zopprimés syriens qui avaient un besoin urgent de liquidités et d'une voiture.
Faisant partie d'une ONG ANTI-TORTURE, ( Freedom from Torture's Medical Foundation.) cette pauvre octogénaire a subi un sort identique ce jour en Grande Bretagne.
Les enfants de Léa Adri-Soejoko n'en sont pas revenus. Durant son audition au tribunal, Mohammadi a tenté de se défendre alors que son ADN était partout sur la scène de crime ainsi que des images de caméras surveillance en parlant de COMPLOT contre les iraniens !
Ben voyons...
Il vivait grâce aux allocations de cette agence anti-tortures contre les opposants iraniens mais demeure un véritable taré comme les ayatollah qu'il prétendait fuir.
Quand on commence à s'intéresser à autre chose que la France et qu'on lit la presse arabe ou l'Orient le jour, ce type d'assassinats sont tellement fréquents que les journaux européens se refusent d'en parler de peur sans doute que nous nous radicalisions contre ces gros cons.
Pourtant, il suffit d'aller au coin de la rue pour voir ces nazes dans le 10è à Paris pour les voir à l'œuvre ou tout simplement prendre le métro pour comprendre qu'il n'y a pas que la mer qui nous séparait d'eux mais une galaxie d'incompréhension.
Ils sont capables de regarder des vieillards, handicapés, des femmes enceintes jusqu'aux yeux et ne pas céder leurs places assises dans les métros et les bus.
Faut le voir pour le croire.
De là à ce qu'on se goinfre encore des meurtres par "frustration" qu'on fera passer pour des déséquilibrés merdiques, il n'y a plus qu'à dresser les listes et à compter.
A moins que...ça ne passe pas par la case police, faits divers et autres. Nous n'aurons donc jamais les chiffres.
Ouf !