par Nina » Novembre 8th, 2017, 9:50 am
Tout chaud venant de Suisse, voilà que l'affaire TARIQ devient un sacré problème pour la Suisse :
L’Omerta est une chose criminelle et criminogène.
Cet extrait de La Tribune de Genève à propos de Ramadan montre à quel point le silence de personnes responsables a permis la continuation de pratiques perverses, durant des années, en toute impunité.
⏸ Alors que ses agissements alimentaient la rumeur, au début des années 90, une information très précise a été communiquée à la direction du Collège de Saussure, a appris la Tribune de Genève. «À l’époque, j’ai compris que deux élèves de Tariq Ramadan avaient eu des relations sexuelles avec lui. Elles étaient complètement sous son emprise et en souffraient. J’en avais directement parlé avec l’intéressé, qui avait nié et s’était montré menaçant verbalement avec moi. C’était grave! J’avais donc décidé de tout raconter à une doyenne, dans les détails», témoigne un ancien élève. Si ce Genevois s’exprime aujourd’hui, c’est pour que tout sorte enfin. «Tariq Ramadan avait fait quelque chose d’interdit, en contradiction totale avec son éthique professionnelle et sa morale. Peu importe sa religion et ce qu’il est devenu, il a commis une faute.»
Les faits sont bel et bien remontés jusqu’au directeur du Collège de Saussure de l’époque. Celui-ci, âgé actuellement de 75 ans, confirme: «J’ai le souvenir que quelqu’un s’était adressé à une doyenne pour lui parler d’une jeune fille majeure, âgée de 18 ans, qui avait eu, selon lui, des relations sexuelles avec ce professeur. Mais elle n’avait pas dénoncé les faits. Nous n’avions donc pas ouvert de procédure.» Pourquoi cette jeune fille n’a-t-elle pas été entendue par la direction, dans la foulée, pour éclaircir les faits? Le retraité ne s’en souvient plus, mais il indique que «lorsqu’une dénonciation était faite par une victime ou ses parents, la direction agissait». Il confie avoir surtout veillé à ce que Tariq Ramadan, nommé doyen par son prédécesseur, ne mélange pas la religion à son enseignement. En tous les cas, cette histoire n’a jamais été portée à la connaissance du Département de l’instruction publique.
Normal? Dominique Föllmi, ancien conseiller d’État chargé de l’Instruction publique entre 1989 et 1993, n’a pas pu être joint ce soir. Informée par nos soins de ces nouveaux éléments, l’ancienne conseillère d’État Martine Brunschwig Graf, en poste entre 1993 et 2003, réagit fermement: «Normalement, la victime aurait dû être contactée et entendue par la direction mise au courant, même à cette époque. Et le département aurait bien sûr dû être informé.»
Face à tant de témoignages, elle «regrette de constater qu’autant de personnes se déclarent aujourd’hui avoir été au courant sans juger bon d’en informer l’autorité».
PS : On fait mine de s'offusquer mais on laisse bien en place l'OCI (l'organisation de la conférence islamique) et on continue de laisser les frères musulmans prendre tout l'espace dont il a besoin pour manipuler, endoctriner et bien sûr islamiser les bons petits-suisses.
Je me moque des Suisses mais nous ne sommes pas mieux. La Grande Bretagne et sa prestigieuse université d'Oxford non plus. La Belgique ? Elle est foutue...Les nazis y sont entrés comme dans du beurre, l'islam itou ! Y a des pays comme ça.
Ouaiche...La France aussi...Seulement NOUS les avons sollicités. Nous avons décidé que leurs familles pouvaient les rejoindre et repeupler nos villes et nos campagnes car nous n'avions pas assez d'enfants.
Aujourd'hui un pays viable est un pays surpeuplé : VITE ENVOYEZ LES ARABES !