Je véhicule selon Frédéric Haziza "des contre-vérités".
FAUX ! Je véhicule des contre-mensonges. Ce qui n'est pas la même chose. Je ne tête pas l'AFP, Reuter, le Monde et le Nouvel-obs. Oui... je sais... c'est pas bien, c'est pas cacher mais je vais expier dans quelques semaines c'est promis.
Prochain Kippour, faut que je me pointe dans ces rédactions foireuses et mensongères qu'affectionne visiblement Frédéric Haziza pour aller leur demander pardon.
Nan ! Je plaisante les aminches !
Non seulement cela est diffamatoire à mon encontre mais "c'est un peu court !" comme dirait l'autre.
On pourrait dire bien des choses encore pour paraphraser Cyrano.
Aziza, le tout petit Haziza a un problème de notoriété, de reconnaissance et surtout de "rayonnement".
Notez, c'est duraille d'avoir la taille de Sarkozy et de se faire remarquer n'est-ce-pas ? On chute toujours sur un escabeau. On a du mal à le voir.
Il lui faut donc m'attaquer parce que je lui fais de l'ombre ? Ou plutôt parce que je mine un peu le terrain socialiste qu'il défend si ardemment. C'est qu'il veut percer le bougre !
Donnons donc à ce petit homme quelques leçons de charisme. Euh... Non. Impossible ! Le mec est d'emblée antipathique.
Je vais me contenter de lui donner quelques astuces pour au moins se rendre intelligible puisqu'on nous l'impose depuis des années.
Prendre des cours d'élocution. Décidément, c'est le mal du siècle mais un orthophoniste est urgent pour le cas Haziza.
S'il cessait de faire du El Kabach ou du Bourdin, c'est-à-dire couper la parole à ses interlocuteurs, ce serait déjà un plus. Cela devient lassant et confus. Je ne sais comment font les politiques pour ne pas perdre patience et ne pas mettre une torgnole sur la tronche d'un El Kabach et des autres.
Cela doit être ça le métier !
Voyons ce que F. Haziza a dans la culotte pour comprendre son empressement à intervenir et me calomnier lors d'un forum public et surtout prendre tout le temps des auditeurs qui pensaient intervenir durant cette ligne ouverte.
Avoir sa petite place au Nouvel Obs, ça vous pose un journaleux. Il est bon de connaître cependant la pensée (si cela peut s'appeler ainsi) du journaliste en chef de Radio J en quelques lignes :
La seule issue, c'est le compromis
Reste qu'il est un fait indéniable : si le camp de la paix israélo-palestinienne est malade de la guerre, il l'est aussi à cause de tous ceux qui, en Israël ont refusé et refusent encore de voir la réalité en face. Il est malade à cause de tous ceux qui refusent de donner une chance à la paix, d'accepter la main tendue par le président palestinien Mahmoud Abbas, de comprendre que l'avenir du peuple d'Israël n'est pas à la place d'un État de Palestine mais à ses côtés.
Il est malade aussi à cause de tous ceux qui refusent d'admettre là-bas en Israël, mais aussi ici en France, que l'occupation de territoires fussent-ils historiquement liés au peuple juif n'est en rien conforme à l'éthique juive.
Ce camp de la paix est malade à cause de tous ceux qui refusent d'admettre que la solution ne peut être que le fruit d'un compromis politique, national et territorial.
Et pourtant, la liste des ébauches de solutions négociées est vaste :
- Accords d'Oslo de septembre 1993,
- Conclusions du sommet de Taba de janvier 2001,
- Proposition du prince héritier saoudien Abdallah ben Abdel Aziz consistant à échanger "terres contre paix"
- "Feuille de route pour la paix" du Quartette (Organisation des Nations unies, Union européenne, États-Unis d’Amérique et Fédération de Russie) d'avril 2003
- Discours du Caire de Barack Obama de juin 2009.
"La seule résolution, constatait le président américain, est que les aspirations des deux parties soient réalisées dans le cadre de deux États, où Israéliens et Palestiniens pourront vivre en paix."
Mais voilà, depuis 5 ans, rien n'a bougé, la situation a même empiré et la liste des morts s'est dramatiquement allongée. Trop de temps a été perdu, trop de familles ont été endeuillées, trop de sang et de larmes ont coulé. Il est temps de mettre fin à toutes ces souffrances, toutes ces douleurs porteuses de haine et donc de défiance entre les deux Peuples.
Les dirigeants de la planète doivent prendre leurs responsabilités
Comme le remarquait le 4 août Laurent Fabius, "les paramètres de la solution politique sont connus". C’est-à-dire la restitution de la majeure partie des territoires occupés par Israël débouchant sur la création d’un État palestinien, impliquant une souveraineté partagée sur Jérusalem. Faut-il que cette paix soit "imposée par la communauté internationale" comme le suggère le ministre des Affaires étrangères français ?
La solution politique est en tout cas la seule issue, il est grand temps que les dirigeants de la planète prennent leurs responsabilités.
Shimon Pérès rêve depuis la fin des années 1980 d'une Union des pays du Proche-Orient sur le modèle de l'Union européenne. C'est-à-dire bâtir la paix à travers la mise en place d'un marché commun moyen-oriental débouchant sur une Union des Pays et des Peuples de la région. Car comme l'affirme Barack Obama, les habitants de la bande de Gaza "ne peuvent survivre longtemps coupés du monde", ils ont besoin d'"espoir" et "de voir leur territoire s'ouvrir pour ne pas se sentir emmurés".
L'idée de paix quitte les esprits
Il y a urgence. Les Premiers ministres israéliens ont beau affirmer depuis des années, depuis Yitzhak Rabin, que "la paix ne pourra se faire qu’au prix de concessions douloureuses", le processus de paix n'est même plus au point mort, il régresse, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, année après année.
L'idée de paix n'est plus dans les esprits.
Les deux peuples, israélien et palestinien, ont perdu au fil du temps l'espoir mais plus grave encore la volonté de s'entendre, de s'aimer et de coexister.
La paix a un prix. Mais rien ne vaut la paix. Pour parvenir à ce que le général de Gaulle appelait "la paix des Braves", il faut du courage, de la volonté, de la clairvoyance, un dessein politique et une vision. Car comme le confiait le 13 juillet 1956, il y a déjà 58 ans, David Ben Gourion à Jean Daniel :
"Plutôt une mauvaise paix qu'une bonne guerre."
Sources : http://leplus.nouvelobs.com/contributio ... romis.html
Voilà ! Vous savez EXACTEMENT QUI EST FREDERIC AZIZA.
Tout redonner et diviser Jérusalem. Les faiseurs de guerre sont israéliens. Les accords d'Oslo c'était de la balle ! Et Yasser ? Il n'a pas osé... Si ça se trouve, il le trouvait cool puisque Abbas est un interlocuteur fiable.
C'est si... contrefait, si peu représentatif d'autre chose que la doxa française, européenne que j'en reste sur le flan.
Moi et mes contre-vérités sommes à des années lumières de la pensée d'un Fabius ou d'un Haziza, d'où sa précipitation à me faire passer auprès des auditeurs de Radio J pour une sombre manipulatrice.
J'ai touché à Najat... bouh ! Il est vrai que la Ministre est si... adorable ! et pis socialiste en plus. On touche pas ok ? Ses réformes sont de vrais pièges à cons comme tous les ministres avant elle.
L'analphabétisation ! Tout un programme pour qu'enfin nos futurs non-élites se sentent moins stigmatisés sans doute.
L'arabe à l'école était une urgence. mouarf !
Le boulot d'Haziza consiste à produire une liste de questions pour les invités à venir. Un coup à droite, un coup à gauche et enfin au centre et on recommence ! Yeah !
Ne rigolez pas, c'est vachement dur ! Il lui faut aller piocher dans tous les canards les questions déjà posées puis d'en choisir quelques-unes selon les événements du moment.
C'est qu'il en faut de la matière grise pour faire ce boulot la vache ! J'suis impressionnée, vous n'avez pas idée.
J'avoue que j'ai du mal à croire que Radio J puisse penser qu'un type aussi fade et fuyant fasse partie des meubles.
Étonnant non ?
Pour mémoire : La polémique entre Haziza et moi porte sur la phrase de Najat Vallaud Belkacem RAPPORTÉE PAR LE CANARD ENCHAÎNE ET ATLANTICO concernant l'attentat de Nice.
La Ministre de l'Education Nationale a dit : "qu'elle déplorait cet acte horrible à Nice dans lequel pour la première fois des enfants sont morts".
Benoit Rayski très justement, fait remarquer que des enfants tués lors d'attentats en France n'était guère une PREMIÈRE et que le révisionnisme ou l'oubli de la Ministre sont puants et que les mémoires des enfants tués à Toulouse ne sont pas évoquées.
http://www.atlantico.fr/decryptage/est- ... 81259.html
Copie de l'extrait du Canard enchaîné sur le site de la LDJ
http://www.liguedefensejuive.com/pour-n ... 07-28.html