PAR OLIVIER YPSILANTIS
Le recyclage des pétrodollars dans nos économies est un désastre dont nous commençons à payer le prix… L’argent a une odeur… Les appareils du pouvoir (et je pourrais commencer par le Quai d’Orsay) sont devenus nauséabonds. Mon odorat ne supporte plus la puanteur anti-israélienne qui s’en dégage ! Cette histoire d’étiquetage (conduite sous la pression financière de nos amis arabes, diversement salafistes et wahhabites) m’atteint comme une honte ; en tant que Français et Européen, je me sens merdeux, véritablement merdeux ; et je refuse cette dégradation. Que tous trahissent Israël, je m’élèverai contre tous, quitte à finir dans la solitude. Mais est-on seul quand on aime Israël ? Non, jamais ! On est en compagnie des meilleurs, femmes et hommes.
Alors que divers lobbies (au plus haut niveau des institutions européennes) se trouducultent au sujet de l’étiquetage des produits venus de Judée-Samarie (car il n’y a ni « territoires occupés » ni « Cisjordanie »), Paris devient le théâtre d’attentats particulièrement meurtriers. Je pleure ces morts mais je pleure aussi de rage. Je ne suis ni juif ni israélien mais l’attitude des masses et de leurs « élites » (un mot que je ne prononcerai plus qu’avec dégoût) me révulse. La France et l’Europe putassent avec leurs Arabes.
Stand up ! Débarrassez-vous de ces vieilles fièvres antisémites — qui ne sont pas que d’origine musulmane et d’importation ! Cessez de mettre vos nez dans les affaires d’un pays souverain en allant de mesquinerie en mesquinerie ! Cessez de vous préoccuper des « Palestiniens » avec une (fausse) ferveur de nurse ! Remontez en selle plutôt que de traîner vos guêtres dans le crottin ! Congédiez ces Bédouins en plaqué or qui répandent leur idéologie mortifère !
Les laquais ont pris le pouvoir. Il convient de promouvoir une nouvelle aristocratie qui par ses qualités intrinsèques ne peut être que sioniste, c’est-à-dire libre et souveraine, attentive au monde et à la vie mais impitoyable envers les ennemis de la vie.
Je fais mienne la puissante devise des Clermont-Tonnerre : Etiam si omnes ego non en l’extrayant de son contexte (chrétien) pour la porter vers Israël : « Si tous sont contre Israël, moi non », autrement dit : « Je serai contre tous, pour Israël ».
Je le redis, les sionistes portent dans leur cœur (et parfois sans le savoir) la devise d’une des plus anciennes familles d’Europe : Etiam si omnes ego non
(Baron Major Philipp Freiherr von Boeselager (1917-2008). Il avait fait inscrire cette devise à l’entrée de sa résidence en signe de résistance au nazisme.)
Un mot encore. L’étiquetage mis en place par EU (sur les produits des « colonies » ou des « territoires occupés » si vous préférez) est le symptôme d’une dégradation morale que je refuse en tant qu’Européen, d’une salissure qui m’atteint comme une giclée de vomis. Il n’y a qu’une manière de se purifier de cette saleté : confirmer son sionisme, s’engager d’une manière ou d’une autre du côté d’Israël, par la parole, l’écrit, l’engagement physique ou financier, qu’importe, mais s’engager !
NDLR : Les aminches ! Diffusez largement ce texte de l'ami Olivier Ypsilantis :[url]zakhor-online.com[/url]
Des combattants de cette trempe sont rares et précieux.