QUE C'EST BON ! NE BOUDEZ PAS VOTRE PLAISIR. L'AMITIE SINCÈRE SE FAIT RARE LES AMINCHES.
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La Page-Facebook-Qui-Fait-Du-Bien du moment, avec un statut du feu de Dieu, que j’aurais pu écrire de bout en bout tant je suis d’accord avec celle-ci, et qui dépote…
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Plusieurs nous ont demandé de ne pas flancher, suite à l’accusation de trahison qui a été portée contre nous. Rassurez-vous tous, au cas où vous auriez un doute. Nos convictions sont le fruit d’une conscience et d’une réflexion longuement mûries et qui ne vacillent pas à la première accusation de trahison.
Nous trahissons certainement le repli sur soi que les français effectuent depuis plusieurs décennies et qui se traduit autant par le national-communisme des Mélenchon et Montebourg et le national-socialisme des Le Pen et Asselineau que par l’étatisme marxiste des socialistes ou l’étatisme paternaliste des gaullistes. Ça oui, on le trahit allègrement et il y a même un petit goût goût de reviens-y.
Mais nous sommes de patriotes d’une France libre, fraternelle et égalitaire devant le droit où notre histoire et notre tradition judéo-chrétienne sont reconnues et affirmées dans un respect pourtant total de la laïcité des institutions. Nous sommes patriotes d’une France non pas repliée sur elle ou sur la défensive mais sûre d’elle parce que résolue dans ses valeurs et ouverte au monde parce qu’aucune menace ne peut l’ébranler. Nous sommes patriotes d’une France qui accueille l’étranger, surtout celui qui souffre et qui est persécuté, parce qu’elle sait quel modèle de civilisation est le sien et ne se sent menacée par aucun autre. Nous sommes patriotes d’une France courageuse et non pas bornée, d’une France audacieuse et non pas timorée, d’une France qui sait souffrir pour être belle et qui refuse de s’enlaidir par paresse, d’une France qui sait s’adapter aux défis de l’avenir sans abandonner l’héritage de son passé, d’une France où, enfin, les citoyens seraient plus importants que l’Etat et où le dynamisme courageux et la vitalité créatrice seraient plus importants que les procédures administratives. Bref, nous sommes patriotes d’une France qui avance en riant au lieu de s’asseoir pour faire un caprice !
C’est dans ce cadre que nous affirmons notre alliance d’âme et de cœur avec les nations qui partagent nos valeurs, en premier lieu nos alliés historiques anglo-saxons d’Europe, d’Amérique, d’Afrique et d’Océanie dont le sang a irrigué la liberté française en 1918 et 1945 et avec toutes les nations qui se rangent à nos côtés même après des années noires, en premier lieu l’Allemagne.
C’est dans ce cadre que nous soutenons les nations et les peuples menacés qui partagent nos valeurs, en premier lieu Israël.
EXEMPLE DE TÉMOIGNAGE :
On peut évidemment nous objecter que « c’est facile pour vous derrière un écran mais allez sur le terrain voir la vérité de vos yeux! » Notre réponse? Témoignage de Michel, notre 3ème admin sur son expérience dans la force d’interposition au Liban en 1983 :
« J’ai vu de mes yeux la tactique des boucliers humains déjà utilisée par l’OLP à l’époque. Une de garderie d’enfants palestinienne était positionnée au beau milieu des champs de tir et s’est retrouvée au milieu d’un déluge de ferraille après que les miliciens de l’OLP aient ouvert le feu sur des positions chrétiennes … Un camarade et moi avons du aller chercher les dix gamins sous un feu nourri pour les mettre à l’abri. Pendant l’évacuation, j’ai été légèrement blessé. En guise de remerciement, les mères nous ont craché à la gueule pour avoir osé poser nos sales pattes d' infidèles sur leur innocents et purs enfants musulmans… Deux jours plus tard, notre position a reçu une pluie de torpilles de mortier de chez les Palestiniens. Ils se sont excusés après, prétextant une erreur de tir, des novices aux mortiers… Mais oui, tiens… Et j’ai des tas de foutus exemples du même genre en stock…6 mois de Liban en pleine tuerie, ça laisse des traces, difficilement exprimables d’ailleurs, même 30 ans après.
En tant que force d’interposition, on avait tout de même des moments tendus avec Tsahal. Mais ça se passait toujours dans l honneur et le respect, en soldats ayant chacun sa mission et ses ordres. Nos permissions, on ne pouvait les prendre qu’en Israël, dans le Nord du pays. On a eu une appréhension au départ. Ils nous ont accueillis en frères…"
Forcément, j’ai commencé à m’intéresser à Israël. »