Hier, j’ai vu arriver une horde de djihadistes au bas de mon immeuble. Je n’avais pas vraiment saisi ce qui se passait. Je n’avais pas fait le rapprochement avec la synagogue de la rue de la roquette et j’observais ces jeunes, keffiehs masquant leurs visages en train de démonter des chaises pour en faire des armes.
Le foot ? Des petits cons venus de banlieues pour les « bals du 14 juillet » ?
En fait, ils venaient tous de la manifestation pour la Palestine qui se tenait à quelques centaines de mètres, place de la Bastille.
D’un coup, des cris « allah ouakbar » sont lancés par les keffiehs. « A mort les juifs ! Palestine vaincra ! » Bref ! les litanies habituelles avec une franche envie de buter du juif.
Je descends illico presto pour tenter de voir ce qui se passe de plus près.
Des juifs, jeunes, excédés par les cris de haine de la horde sauvage décident de les repousser et de protéger du même coup la synagogue de la rue de la Roquette.
Ils sont inférieurs en nombre les juifs mais ne se démontent pas. Leur détermination fera reculer les arabes et gauchistes venus aussi pour taper du sioniste.
Ce n’est que longtemps après, environ une heure, que les CRS viendront pour tenter d’imposer un peu de calme. Entre temps, les antisémites à keffieh auront tout de même fracassé le crâne d’un jeune juif pour lequel on appellera une ambulance.
Ce qui m’apparut tout de même étrange, pour ne pas dire dérangeant, c’est la peur qui semblait habiter les CRS durant les premières minutes où ils firent face aux djihadistes masqués.
Ils ont (les CRS) évalué l’offensive et ont reculé rapidement sous l’assaut de ces « bons français » d’origine arabo-musulmane qui n’ont plus et ce, depuis longtemps, peur de l’uniforme.
Les djihadistes ont foncé droit sur les CRS qui ont pris le parti de se carapater le temps de recevoir des renforts.
Par la suite, ce sont les juifs qui ont été entourés par les CRS. D’une part, pour qu’ils ne répondent pas aux violences des arabes et selon leurs termes pour « calmer le jeu ».
De quel jeu parlons-nous vraiment ? Où sont les arrestations prévues en cas de violence concertée et en groupe ? Où sont les flics qui auraient du intervenir et sécuriser la synagogue ? Et la préfecture de police, pourquoi a-t-elle encore une fois autorisé une manifestation pro-palestinienne alors que des tarés djihadistes violents vont encore sévir ?
Les djihadistes sont restés longtemps postés dans les rues adjacentes (Popincourt, Place Voltaire-Léon Blum, Bastille) pour continuer le combat et frapper un maximum de juifs.
J'ai vu parmi la horde sauvage quelques blondinets portant keffieh et faisant le salut nazi avec un bonheur non dissimulé. Heureux d'être armés de barres de fer et jouissant du petit pouvoir momentané de les casser sur la tête des juifs, ils riaient et lançaient aussi des "allah ouakbar !".
Leur nuit de cristal enfin !
La violence extrême mena les tarés devant la synagogue qu'ils entourèrent afin de piéger les juifs à l'intérieur. Oradour sur Glane ? Ils en avaient envie.
Je lisais sur leurs visages une haine si féroce que je craignais le pire pour les miens, les juifs. Ils n'auraient pas fait de cadeau. Ils étaient vraiment venus pour en tuer quelques uns.
Autour de moi, quelques gaulois tranquilles regardaient la scène de loin et je les entendais rouspéter contre les arabes. "Y'en a marre ! qu'ils rentrent chez eux !".
Ce n'est qu'aux alentours de 21 heures, sans doute pour ne pas rater la finale du foot (quoique...), que les djihadistes sont repartis. Certains se sont pointés dans le Marais, Rue de Turenne, histoire de faire des prolongations dans le quartier juif. Cette fois-ci, les CRS ont vite arrêté les SA arabes.
Qu’est ce que ces drapeaux algériens, turcs, marocains, palestiniens sur la colonne de la Bastille ? Sommes-nous encore en France ?
Avons-nous encore le droit de respirer nous JUIFS DE France ? Ou devons-nous de nouveau raser les murs de nos villes et pourquoi pas porter un signe distinctif comme aux heures les plus sombres de notre histoire ?
Beaucoup ont pris le parti de déménager, de faire leur alya ou encore de partir vers des cieux plus cléments.
Je crois hélas qu’il faut l’envisager et rapidement. Lorsqu’on voit le peu de cas que nos concitoyens non-juifs font de l’antisémitisme dans notre pays, on ne peut que faire une comparaison avec la collaboration passive des années 40.
Mais avant de partir, il faut sévir. Je n’envisage pas de laisser le champ libre à ces primates qui ont installé un climat de terreur.
Puisque les français ne prennent pas la mesure de ces réalités, il faut mettre la France devant ses responsabilités et envisager d’émettre une plainte devant la Cour Pénale Internationale et/ou la Cour Européenne.
Forcer le pouvoir en place à avoir autre chose comme réponse que des communiqués débiles pour dénoncer le comportement de ces faux français, de ces antisémites qui n’ont qu’un combat, celui de buter du juif au nom du groupe terroriste Hamas.
Il est temps de lancer une campagne nationale sur le principe le plus élémentaire qui soit : le droit à une existence normale pour les citoyens juifs de France.
Ce n’est qu’après que chacun choisira de partir et de vivre son judaïsme sous d’autres cieux.
Si nos compatriotes de France ne prennent pas le train en marche alors, nous aurons compris.
LOUPE :
Jamais en retard dans l'antisémitisme sous couvert d'antisionisme, les verts EELV, lâchent parfois la bave haineuse en tweetant.
Alors qu'un cocktail Molotov a été lancé dans la nuit de vendredi à samedi contre une synagogue à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, Pierre Minnaert a tweeté samedi soir : "Quand les synagogues se comportent comme des ambassades, il n'est pas étonnant qu'elles subissent les mêmes attaques qu'une ambassade."
BRAVES ECOLOS ! Qu'ils aillent donc brouter du Hamas, pas sûr qu'ils en reviendront en entier. Vittorio Agorini, soutien inconditionnel du Hamas et vivant à Gaza, torturé et pendu par ses "frères islamistes.". Faut se méfier des barbus islamistes !