SCANDALE DES VIOLS MUSULMANS EN GRANDE BRETAGNE
Publié: Août 29th, 2014, 10:27 pmLE SCANDALE DU RÉSEAU PÉDOPHILE ISLAMO-ANGLAIS
Rotherham, grande agglomération dans le Sud du Yorkshire est en train de vivre un douloureux scandale.
On compte plus de 1 400 viols sur mineurs depuis une dizaine d’années et l’enquête en profondeur a seulement commencé.
Le problème qui s’est d’abord posé et qui révulserait n’importe quel défenseur de la loi et de la protection des enfants est lié aux groupes ethniques incriminés dans ce réseau pédophile.
Majoritairement, les Pakistanais sont les principaux acteurs de ces viols sur enfants. Mais ils ne sont pas les seuls musulmans à avoir perpétré de véritables horreurs sur de très jeunes enfants. Des Afghans ainsi que des arabes de différentes nations faisaient parties de ces gangs qui opéraient à Rotherham.
Le plus révoltant est d’apprendre que si la police, n’a pas osé enquêter avec toute la rigueur que cette affaire nécessitait.
Pourquoi ?
Parce que les flics britanniques ont eu peur d’être taxés de racistes. Sidérant !
Au milieu de cette boue, trône la plus grande association britannique de charité en faveur des enfants, BARNARDO.
A sa tête, un anglais d’origine pakistanaise Javed Khan qui, selon les débuts de l’enquête, avait été mis au courant des affaires de ces gangs de violeurs pédophiles mais n’a pas jugé bon de poursuivre.
Dans une terrible interview donnée sur Sky News, Javed Khan explique qu’il n’a pas voulu demander la démission du chef de Police de Rotherham malgré le laxisme évident dont il a fait preuve concernant les viols de masse sur des enfants. Il semblait même donner des excuses à chacune des charges du journaliste qui l’interrogeait.
« Vous êtes l’expert en la matière ! Dit Holmes (Sky News). Comment avez-vous pu laisser faire ? Vous êtes le dernier vers qui les enfants se tournent pour trouver écoute et protection. Comment avez-vous pu laisser faire ? »
Javed Khan a éludé toutes les questions.
Selon un rapport détaillé de cette histoire signé par Peter McLoughlin, "pour ces gangs musulmans pédophiles, les petites blanches britanniques sont selon leurs termes « de la viande facile ».
Ce rapport consacre une large partie à la fondation BARNARDO qui vit le jour en 1866. Ses revenus actuels sont de 250 millions d'euros dont une bonne partie est fournie par le gouvernement britannique c'est-à-dire par les contribuables.
La politique est un des paramètres à prendre en compte dans cette affaire de viols musulmans.
Comment expliquer sinon que BARNARDO n’a jamais, ne serait-ce qu’une fois, tenté d’intervenir malgré les appels répétés de certains travailleurs sociaux de la ville ?
La fondation pour l’enfance Barnardo a de drôles de façons de pondre des rapports sur la relation entre pédophilie et l’ethnicité.
Ainsi, dans un rapport en 2011, peut-on lire sous la plume d’un cadre de Barnardo, Martin Narey, au sujet de l’enfance maltraitée :
« D’après notre expérience, nous savons que dans certaines régions, l’origine ethnique peut avoir un rôle et donc devenir un problème dans les viols sur enfants. Mais dans d’autres domaines, cette ethnicité n’est pas un problème. ( ?) Si vous vous concentrez sur un modèle d'exploitation sexuelle, les enfants qui sont exploités dans des circonstances différentes ne verront pas que c'est un problème pour eux. Les jeunes qui ont besoin de soutien ne viendront pas parce qu'ils ne correspondent pas au modèle qui leur est présenté. «
On touche à l’abject. Si l’enfant n’a pas vraiment de modèle puisqu’il est né dans un milieu très défavorisé, il ne verra pas, ne comprendra pas qu’il est violé et exploité sexuellement.
Alors que la BBC et le Gardian interrogeaient cet exécutif, Narey, au sujet des viols sur enfants et le fait que les pakistanais étaient sur-représentés dans ces gangs pédophiles, il répondit :
« Je ne pense pas que ce soit un comportement uniquement de Pakistanais. Mon personnel utiliserait plus des phrases comme : « il y a une sur-représentation de personnes issues de groupes ethniques minoritaires - Afghans, peuple des nations arabes - mais ce n'est pas seulement une nation.».
Bien…Ils ont des phrases toutes faites pour ne pas discriminer.
Supposons qu’ils s’en prennent aussi à des enfants musulmans, cela n’en fait-il pas des monstres de toute façon ? Ce serait des musulmans abusant des enfants musulmans et ce serait parfaitement condamnable.
Toutefois, dans cette affaire précisément, nous assistons à une guerre raciale. Ces pakistanais et arabo-musulmans s’en prennent presque exclusivement à des petites blanches britanniques.
Narey, la Fondation BARNADO et toute la clique de faiseurs de rapports sur l’enfance maltraitée, ont appris à utiliser une langue administrative pour cacher la réalité la plus sordide.
En évoquant uniquement les termes comme « groupes ethniques », ils dédouanent l’islam qui pourtant est le dénominateur commun de tous ces pédophiles pakistanais, afghans, arabes.
C’est bien plus commode et cela n’écorne surtout pas la fameuse religion d’amour.
- En 2004, un documentaire sur Channel 4 présentait une enquête sur l’affaire de pédophilie des gangs de Rhoterham. Brusquement, sur demande du Chef de Police de la ville, le documentaire arrêta d’être diffusé.
La plus grande fondation britannique sur l’enfance était tout de suite intervenue sur le côté médiatique de cette terrible enquête mais pas sur L’AFFAIRE ELLE-MÊME QUI PERDURA JUSQU'À AUJOURD’HUI.
- En 2003, une députée du nom d’Ann Cryer a évoqué l’affaire de Rotherham et a été traitée de raciste.
- En 2005, l’enquête fut close par la police de Rhoterham et la Fondation Barnardo n’a rien demandé. Elle a laissé faire.
Pire encore, on peut douter de sa détermination à connaître les détails de cette longue et scabreuse affaire.
Javed Khan, l’actuel Président de cette fondation a été nommé l’année dernière. Très largement rétribué par la fondation, il peut se permettre d’être fuyant et d’éviter de répondre aux questions embarrassantes des journalistes.
La Fondation savait. La Fondation BARNARDO a été complice des gangs de « toilettages » qui ont abusé de plus 1 400 enfants depuis dix ans.
Si la police, sous le fallacieux prétexte d'anti-racisme, n’a pas voulu aller plus loin lorsque les plaintes s’accumulaient dans ses bureaux. Pourtant, il serait bon de connaître l’autre raison. Celle t des liens qui unissaient le Chef de police de Rotherham, à la Fondation BARNARDO et aux gangs de violeurs « ethniques ».
Cela pourrait altérer les relations entre la Fondation BARNARDO pour l'aide à l'enfance et le gouvernement britannique au point de voir sucrer les 38 millions d'euros alloués par an.
Cette affaire risque aussi ternir l'image du musulman britannique le plus influent du Royaume : Javed Khan.
(interview de Javed Khan sur Sky News)
Rotherham, grande agglomération dans le Sud du Yorkshire est en train de vivre un douloureux scandale.
On compte plus de 1 400 viols sur mineurs depuis une dizaine d’années et l’enquête en profondeur a seulement commencé.
Le problème qui s’est d’abord posé et qui révulserait n’importe quel défenseur de la loi et de la protection des enfants est lié aux groupes ethniques incriminés dans ce réseau pédophile.
Majoritairement, les Pakistanais sont les principaux acteurs de ces viols sur enfants. Mais ils ne sont pas les seuls musulmans à avoir perpétré de véritables horreurs sur de très jeunes enfants. Des Afghans ainsi que des arabes de différentes nations faisaient parties de ces gangs qui opéraient à Rotherham.
Le plus révoltant est d’apprendre que si la police, n’a pas osé enquêter avec toute la rigueur que cette affaire nécessitait.
Pourquoi ?
Parce que les flics britanniques ont eu peur d’être taxés de racistes. Sidérant !
Au milieu de cette boue, trône la plus grande association britannique de charité en faveur des enfants, BARNARDO.
A sa tête, un anglais d’origine pakistanaise Javed Khan qui, selon les débuts de l’enquête, avait été mis au courant des affaires de ces gangs de violeurs pédophiles mais n’a pas jugé bon de poursuivre.
Dans une terrible interview donnée sur Sky News, Javed Khan explique qu’il n’a pas voulu demander la démission du chef de Police de Rotherham malgré le laxisme évident dont il a fait preuve concernant les viols de masse sur des enfants. Il semblait même donner des excuses à chacune des charges du journaliste qui l’interrogeait.
« Vous êtes l’expert en la matière ! Dit Holmes (Sky News). Comment avez-vous pu laisser faire ? Vous êtes le dernier vers qui les enfants se tournent pour trouver écoute et protection. Comment avez-vous pu laisser faire ? »
Javed Khan a éludé toutes les questions.
Pour mieux cerner le Président de la fondation pakistanais, rappelons qu'il y a quelques semaines, pour régler un vieux litige foncier entre pakistanais, Javed Khan s'est rendu dans le village pakistanais Haveli Bagal, entouré d'une horde de 8 hommes armés de fusils automatiques.Des coups de feu ont été tirés et Javed Khan s'est retrouvé aux arrêts au poste de police local.
Selon un rapport détaillé de cette histoire signé par Peter McLoughlin, "pour ces gangs musulmans pédophiles, les petites blanches britanniques sont selon leurs termes « de la viande facile ».
Ce rapport consacre une large partie à la fondation BARNARDO qui vit le jour en 1866. Ses revenus actuels sont de 250 millions d'euros dont une bonne partie est fournie par le gouvernement britannique c'est-à-dire par les contribuables.
La politique est un des paramètres à prendre en compte dans cette affaire de viols musulmans.
Comment expliquer sinon que BARNARDO n’a jamais, ne serait-ce qu’une fois, tenté d’intervenir malgré les appels répétés de certains travailleurs sociaux de la ville ?
La fondation pour l’enfance Barnardo a de drôles de façons de pondre des rapports sur la relation entre pédophilie et l’ethnicité.
Ainsi, dans un rapport en 2011, peut-on lire sous la plume d’un cadre de Barnardo, Martin Narey, au sujet de l’enfance maltraitée :
« D’après notre expérience, nous savons que dans certaines régions, l’origine ethnique peut avoir un rôle et donc devenir un problème dans les viols sur enfants. Mais dans d’autres domaines, cette ethnicité n’est pas un problème. ( ?) Si vous vous concentrez sur un modèle d'exploitation sexuelle, les enfants qui sont exploités dans des circonstances différentes ne verront pas que c'est un problème pour eux. Les jeunes qui ont besoin de soutien ne viendront pas parce qu'ils ne correspondent pas au modèle qui leur est présenté. «
On touche à l’abject. Si l’enfant n’a pas vraiment de modèle puisqu’il est né dans un milieu très défavorisé, il ne verra pas, ne comprendra pas qu’il est violé et exploité sexuellement.
C’est non seulement révoltant mais absurde. Un jeune enfant subissant des tournantes par des adultes (et le rapport en fait beaucoup mention), ne comprendra pas qu’il souffre dans sa chair parce qu’il est issu d’une famille très défavorisée ?
Alors que la BBC et le Gardian interrogeaient cet exécutif, Narey, au sujet des viols sur enfants et le fait que les pakistanais étaient sur-représentés dans ces gangs pédophiles, il répondit :
« Je ne pense pas que ce soit un comportement uniquement de Pakistanais. Mon personnel utiliserait plus des phrases comme : « il y a une sur-représentation de personnes issues de groupes ethniques minoritaires - Afghans, peuple des nations arabes - mais ce n'est pas seulement une nation.».
Bien…Ils ont des phrases toutes faites pour ne pas discriminer.
Mais qui discrimine sinon ces gangs musulmans ? S’en prenant à « la viande facile », c’est-à-dire blanche et britannique, que font-ils ?
Supposons qu’ils s’en prennent aussi à des enfants musulmans, cela n’en fait-il pas des monstres de toute façon ? Ce serait des musulmans abusant des enfants musulmans et ce serait parfaitement condamnable.
Toutefois, dans cette affaire précisément, nous assistons à une guerre raciale. Ces pakistanais et arabo-musulmans s’en prennent presque exclusivement à des petites blanches britanniques.
Narey, la Fondation BARNADO et toute la clique de faiseurs de rapports sur l’enfance maltraitée, ont appris à utiliser une langue administrative pour cacher la réalité la plus sordide.
En évoquant uniquement les termes comme « groupes ethniques », ils dédouanent l’islam qui pourtant est le dénominateur commun de tous ces pédophiles pakistanais, afghans, arabes.
C’est bien plus commode et cela n’écorne surtout pas la fameuse religion d’amour.
- En 2004, un documentaire sur Channel 4 présentait une enquête sur l’affaire de pédophilie des gangs de Rhoterham. Brusquement, sur demande du Chef de Police de la ville, le documentaire arrêta d’être diffusé.
La plus grande fondation britannique sur l’enfance était tout de suite intervenue sur le côté médiatique de cette terrible enquête mais pas sur L’AFFAIRE ELLE-MÊME QUI PERDURA JUSQU'À AUJOURD’HUI.
- En 2003, une députée du nom d’Ann Cryer a évoqué l’affaire de Rotherham et a été traitée de raciste.
- En 2005, l’enquête fut close par la police de Rhoterham et la Fondation Barnardo n’a rien demandé. Elle a laissé faire.
Pire encore, on peut douter de sa détermination à connaître les détails de cette longue et scabreuse affaire.
Javed Khan, l’actuel Président de cette fondation a été nommé l’année dernière. Très largement rétribué par la fondation, il peut se permettre d’être fuyant et d’éviter de répondre aux questions embarrassantes des journalistes.
La Fondation savait. La Fondation BARNARDO a été complice des gangs de « toilettages » qui ont abusé de plus 1 400 enfants depuis dix ans.
Si la police, sous le fallacieux prétexte d'anti-racisme, n’a pas voulu aller plus loin lorsque les plaintes s’accumulaient dans ses bureaux. Pourtant, il serait bon de connaître l’autre raison. Celle t des liens qui unissaient le Chef de police de Rotherham, à la Fondation BARNARDO et aux gangs de violeurs « ethniques ».
Cela pourrait altérer les relations entre la Fondation BARNARDO pour l'aide à l'enfance et le gouvernement britannique au point de voir sucrer les 38 millions d'euros alloués par an.
Cette affaire risque aussi ternir l'image du musulman britannique le plus influent du Royaume : Javed Khan.
(interview de Javed Khan sur Sky News)