Un article paru seulement 24 heures sur le quotidien Libération a été dé-publié.
Voici désormais ce qu’on peut lire sur ce journal :
«Tu dois quitter Gaza au plus vite et arrêter de travailler»
LIBERATION 24 JUILLET 2014 À 17:46
Cet article, qui décrivait les tentatives d'intimidation à l'encontre du journaliste palestinien Radjaa Abou Dagga, correspondant de «Ouest France» et ancien collaborateur de «Libération», a été dépublié à sa demande.
LIBERATION
http://www.liberation.fr/monde/2014/07/ ... er_1069701
Vous aurez noté les aminches qu’on ne plaisante pas avec le Hamas et ses co-groupes-terroristes.
Vous aurez noté aussi que le reste de la presse n’en parle pas.
Comme nous sommes généralement bien informés, il se trouve que juif.org, avant cette censure, avait pris soin de reproduire l’article en question. Ne vous privez pas...Lisez ceci :
http://www.juif.org/go-blogs-59304.php
On y apprend comment la gestapo du Hamas peut, à tout moment, interpellé un journaliste, palestinien de surcroit, le menacer, le chasser et faire en sorte que plus personne dans la bande de Gaza ne puisse lui venir en aide.
Rafjaa Abou Dagga puisque c’est son nom, a du avoir encore plus peur d’en avoir fait part à sa rédaction puisqu’il a exigé que l’article ci-dessus soit dé-publié.
Depuis de nombreuses années, le Hamas mais aussi le Fatah ainsi que toutes les dictatures arabes, ont compris que la guerre, la vraie, est d’abord menée dans la presse internationale.
Il faut cacher à tout prix les dérives gestapistes, nazies, terroristes, fascistes aux pro-palestiniens.
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil et la « résistance » a bon dos.
Une fois, une seule petite fois, il y a maintenant 14 ans, une journaliste italienne qui avait assisté au lynchage de deux réservistes israéliens a dénoncé les exactions ignobles des palestiniens.
(les arabes adorent tremper leurs mains dans le sang des juifs. Il paraît que ça porte bonheur!)
Ce fut de courte durée. Elle perdit son accréditation et son journal « Corriere dela Sera » dut se fendre d’excuses et autres salamalecs afin de regagner l’autorisation de couvrir les événements dans les territoires palestiniens.
On ne plaisante pas avec l’AP, le Hamas et les fameux « ezzedine el qassam ».
Inutile de vous prendre la tête avec les reportages d’une Sama Soulah ou d’un Patrick Fandio. D’un Alain de Chalvron ou d’un Charles Enderlin.
Ils sont soumis d’abord à leur amour inconditionnel des palestiniens ou plus largement encore de la cause arabe, puis soumis aux desiderata des leaders terroristes au pouvoir tant à Gaza qu’en Judée-Samarie.
Lorsque vous lirez des articles complaisants à l’égard de la grande liberté de la presse dans les territoires régis par Mahmoud Abbas, souriez…
Tout un circuit balisé à usage de la presse étrangère est conçu afin que TOUT, absolument TOUT, donne aux journalistes déjà conquis, une impression de liberté qui n’est qu’un vernis.
Parler à Gaza, de la réalité de Gaza, lorsqu’on est journaliste, nécessite un AUSWEISS.
(Toute ressemblance avec un régime passé ne serait que fortuit...)