LE NEW YORK TIMES RÉCOMPENSÉ !
Publié: Janvier 1st, 2014, 11:46 pm
Le New York Times s’est vu attribué le titre de « JOURNAL LE PLUS MALHONNÊTE » par l’association « Honest Reporting ».
Ce prix amplement mérité depuis de longues années a fait l’unanimité du jury de Honest Reporting » pour les très (trop) nombreux, articles, éditoriaux et analyses sur le conflit israélo-palestinien.
Le NYT est le journal le plus influent des États-Unis, d’une part parce qu’il jouit d’une « excellence » journalistique et d’autre part, parce qu’il réunit près d’1,8 millions d’abonnés, 4,7 millions de lecteurs sur Facebook et 10,4 millions sur Twitter.
Cela en fait un incontournable médium de référence. « Ce que dit le Times est forcément vrai ».
Or, Honest Reporting a voulu en décernant le prix du journal le plus malhonnête, donner la mesure de l’incroyable obsession de la rédaction du Times en ce qui concerne Israel.
Tout au long de cette année 2013, le NYT n’a cessé de glorifier les « résistants lanceurs de pierres » palestiniens tout en ignorant ou faisant mine d’ignorer les victimes des terroristes.
Les articles d’opinion remettant ni plus ni moins en question la légitimité d’Israel et son droit à exister sont très nombreux.
Ne parlons pas des éditoriaux dont le ton méprisant suintait dans chaque ligne afin de moquer l’attitude de l’état juif face à ses craintes sur l’Iran nucléaire.
Pour mieux servir la cause palestinienne, le New York Times s’est même adjoint les services d’un auteur Egyptien Alaa Al Aswany dont la haine pour l’état juif est pathologique.
C’est ainsi que le nouveau plumitif s’était fait connaître en :
- Refusant l’autorisation de traduire ses livres en hébreu,
- Assurant dans divers articles qu’Israel se mêlait de la révolution qui secouait son pays et que certains dérapages étaient sans nul doute un complot sioniste,
- Cet auteur a milité et continue de le faire dans son pays et maintenant à partir des USA pour qu’aucun livre sur l’antisémitisme ne puisse être publié.
En Mars 2013, le Times a offert un diaporama où apparaissaient selon ses termes « les résistants », autrement dit des palestiniens en train de caillasser toutes les voitures qui passaient à proximité de leur village à Nabi Saleh.
En Août 2013, le Times propose exactement la même attraction : un diaporama de lanceurs de pierres dont la légende laisse pour le moins perplexe : « Rites de passage et acte d’honneur et de mépris ».
Il va sans dire que les israéliens qui ont été parfois lourdement blessés durant ces « rites » n’ont pas du tout été mentionnés. Une petite phrase cependant échappe à la censure lorsque le journaliste évoque en trois mots l’enfant de trois ans qui fut gravement blessé.
Ne pouvant sans doute se laisser aller sa haine, le Times (à l’instar d’autre média dans le monde mais en France c’est devenu une spécialité), a donné à commenter un professeur de philosophie Joseph Lévine, afin de dépasser les bornes.
Ce dernier a pu jouir assurément de la liberté d’expression chère aux adorateurs du bouffon camerounais. Joseph Lévine a longuement expliqué par exemple qu’il n’était pas antisémite de militer pour qu’Israel disparaisse en un état arabe où les juifs pourraient rester. « Un Etat juif est anti-démocratique » par essence selon ce brave philosophe.
Ce qu’on ne peut dire soi-même…on peut parfaitement le faire dire aux autres…
Comme si cela n’était pas encore très clair, le Times a donné la parole à un autre professeur, Ian Lustick en Septembre dernier. Lui aussi préconise la solution à un état dans lequel les juifs seraient "tolérés."
Dans tout ce fatras qui semble réellement obséder le New York Times, apparait une autre névrose.
Le canard qui fait l’opinion américaine a un compte personnel à régler avec Benyamin Netanyaou.
Avec les négociations de Genève sur l’Iran nucléaire, la Vendetta s’est faite plus terrible que jamais.
Plus de 12 éditoriaux, des analyses à foison, puis d’autres éditoriaux extérieurs (dont les auteurs n'appartiennent pas à la rédaction) dûment édités par le journal, des commentaires terribles ont été proposés au point que certains abonnés ont demandé s’il ne s’agissait pas d’une affaire personnelle entre le Directeur et Netanyaou. Une folie, non... une crise de démence rarement atteinte.
Lorsque encore en Novembre dernier (le 13) le jeune soldat Eden Attias était lâchement assassiné, durant son sommeil, dans un bus qui le ramenait à la maison, le New York Times rapportait le fait de façon étrange.
Pas de photo du jeune soldat mort à 19 ans…Non…Mais le portrait de la mère de l’assassin du jeune homme s’étalait comme une excuse.
Notons pour la petite histoire que des abonnés se sont émus de voir la mère du terroriste à la place de celle de la victime. Ils ont écrit au NYT et l'éditrice Margaret Sullivan s'est fendue de petites excuses pour cette "bourde".
Les terroristes, pourvu qu’ils soient palestiniens ont toujours raison.
Il ne faut donc pas s’étonner que l’antisémitisme explose en paroles et en actes. Là-bas, aux USA mais aussi en France, en Europe, partout…
La presse et son obsession maladive du conflit israélo-ARABE aura fait tout ce qu’il faut pour cela.
Le pire, c’est qu’elle continue. Après ce qu’on a connu en France, ces meurtres d’enfants et l'explosion d’actes antisémites, PAS UN JOURNAL ne s’est remis en question.
L'éditorial de Joffrin sur le Nobs concernant les délires de Dieudonné n'absous en rien le journal dont il est le rédacteur en chef. L'erreur majeure est dans la couverture excessive, maladive, du conflit israélo-arabe.
La presse a fabriqué l'antisémitisme d'aujourd'hui.
Ce prix amplement mérité depuis de longues années a fait l’unanimité du jury de Honest Reporting » pour les très (trop) nombreux, articles, éditoriaux et analyses sur le conflit israélo-palestinien.
Le NYT est le journal le plus influent des États-Unis, d’une part parce qu’il jouit d’une « excellence » journalistique et d’autre part, parce qu’il réunit près d’1,8 millions d’abonnés, 4,7 millions de lecteurs sur Facebook et 10,4 millions sur Twitter.
Cela en fait un incontournable médium de référence. « Ce que dit le Times est forcément vrai ».
Or, Honest Reporting a voulu en décernant le prix du journal le plus malhonnête, donner la mesure de l’incroyable obsession de la rédaction du Times en ce qui concerne Israel.
Tout au long de cette année 2013, le NYT n’a cessé de glorifier les « résistants lanceurs de pierres » palestiniens tout en ignorant ou faisant mine d’ignorer les victimes des terroristes.
Les articles d’opinion remettant ni plus ni moins en question la légitimité d’Israel et son droit à exister sont très nombreux.
Ne parlons pas des éditoriaux dont le ton méprisant suintait dans chaque ligne afin de moquer l’attitude de l’état juif face à ses craintes sur l’Iran nucléaire.
Pour mieux servir la cause palestinienne, le New York Times s’est même adjoint les services d’un auteur Egyptien Alaa Al Aswany dont la haine pour l’état juif est pathologique.
C’est ainsi que le nouveau plumitif s’était fait connaître en :
- Refusant l’autorisation de traduire ses livres en hébreu,
- Assurant dans divers articles qu’Israel se mêlait de la révolution qui secouait son pays et que certains dérapages étaient sans nul doute un complot sioniste,
- Cet auteur a milité et continue de le faire dans son pays et maintenant à partir des USA pour qu’aucun livre sur l’antisémitisme ne puisse être publié.
En Mars 2013, le Times a offert un diaporama où apparaissaient selon ses termes « les résistants », autrement dit des palestiniens en train de caillasser toutes les voitures qui passaient à proximité de leur village à Nabi Saleh.
En Août 2013, le Times propose exactement la même attraction : un diaporama de lanceurs de pierres dont la légende laisse pour le moins perplexe : « Rites de passage et acte d’honneur et de mépris ».
Il va sans dire que les israéliens qui ont été parfois lourdement blessés durant ces « rites » n’ont pas du tout été mentionnés. Une petite phrase cependant échappe à la censure lorsque le journaliste évoque en trois mots l’enfant de trois ans qui fut gravement blessé.
Ne pouvant sans doute se laisser aller sa haine, le Times (à l’instar d’autre média dans le monde mais en France c’est devenu une spécialité), a donné à commenter un professeur de philosophie Joseph Lévine, afin de dépasser les bornes.
Ce dernier a pu jouir assurément de la liberté d’expression chère aux adorateurs du bouffon camerounais. Joseph Lévine a longuement expliqué par exemple qu’il n’était pas antisémite de militer pour qu’Israel disparaisse en un état arabe où les juifs pourraient rester. « Un Etat juif est anti-démocratique » par essence selon ce brave philosophe.
Ce qu’on ne peut dire soi-même…on peut parfaitement le faire dire aux autres…
Comme si cela n’était pas encore très clair, le Times a donné la parole à un autre professeur, Ian Lustick en Septembre dernier. Lui aussi préconise la solution à un état dans lequel les juifs seraient "tolérés."
Dans tout ce fatras qui semble réellement obséder le New York Times, apparait une autre névrose.
Le canard qui fait l’opinion américaine a un compte personnel à régler avec Benyamin Netanyaou.
Avec les négociations de Genève sur l’Iran nucléaire, la Vendetta s’est faite plus terrible que jamais.
Plus de 12 éditoriaux, des analyses à foison, puis d’autres éditoriaux extérieurs (dont les auteurs n'appartiennent pas à la rédaction) dûment édités par le journal, des commentaires terribles ont été proposés au point que certains abonnés ont demandé s’il ne s’agissait pas d’une affaire personnelle entre le Directeur et Netanyaou. Une folie, non... une crise de démence rarement atteinte.
Lorsque encore en Novembre dernier (le 13) le jeune soldat Eden Attias était lâchement assassiné, durant son sommeil, dans un bus qui le ramenait à la maison, le New York Times rapportait le fait de façon étrange.
Pas de photo du jeune soldat mort à 19 ans…Non…Mais le portrait de la mère de l’assassin du jeune homme s’étalait comme une excuse.
Notons pour la petite histoire que des abonnés se sont émus de voir la mère du terroriste à la place de celle de la victime. Ils ont écrit au NYT et l'éditrice Margaret Sullivan s'est fendue de petites excuses pour cette "bourde".
Les terroristes, pourvu qu’ils soient palestiniens ont toujours raison.
Il ne faut donc pas s’étonner que l’antisémitisme explose en paroles et en actes. Là-bas, aux USA mais aussi en France, en Europe, partout…
La presse et son obsession maladive du conflit israélo-ARABE aura fait tout ce qu’il faut pour cela.
Le pire, c’est qu’elle continue. Après ce qu’on a connu en France, ces meurtres d’enfants et l'explosion d’actes antisémites, PAS UN JOURNAL ne s’est remis en question.
L'éditorial de Joffrin sur le Nobs concernant les délires de Dieudonné n'absous en rien le journal dont il est le rédacteur en chef. L'erreur majeure est dans la couverture excessive, maladive, du conflit israélo-arabe.
La presse a fabriqué l'antisémitisme d'aujourd'hui.