'habite dans le triangle des Bermudes de la capitale, là où toutes les manifs rappliquent.
Cela fait de moi une observatrice bien rôdée sur des décennies de ces cortèges de plus en plus violents. C'est une euphémisme.
Or, ce qui m'a sidéré ces derniers temps ce sont ces fameux "braves manifestants, sapés en noir, tapant une causette avec des membres bien définissables et aller au charbon pour eux".
Aller au charbon pour ces violents déguisés comme leurs nouveaux héros, veut dire qu'ils sont en charge d'aller trouver du MATOS (pierres, mobiliers urbains qu'on démonte rapidement, tout ce qu'on peut dénicher pour la gloire des super-vilains qui sauront comment les balancer sur la tronche des flics).
Alors, lorsque j'écoute les braves journaleux évoquer du bout des lèvres ces "petits bras des black blocks" ça me fait doucement rigoler pour les avoir vus à l'œuvre.
Ces connards qui zonent près de leurs idoles capables de fumer du flic ou encore d'attendre que ces fachos pseudo-antifas leur ouvrent un bouclard pour piller tout ce qu'ils peuvent, ne sont pas tellement chaud pour aller jusqu'au bout de leur complicité.
Place aux pros ! Même les anars et autres antifas merdiques ont besoin de petites mains pour tout détruire. On aime bien le petit prolétariat chez les BB et anars...on s'refait pas, la révolution a toujours été un truc de bourges car faut de la thune pour la faire...
Vu en direct, ça fout les glandes et lorsqu'on chiale sur une petite blondinette qui aurait pris à tort un flashball, je suis en droit de me demander : "mais putain ça craint à mort, baston générale et toi tu continue à glander dans ce merdier ?".
Elle aurait pu se casser. Elle aurait du se casser comme tant d'autres lâches qui fourbissent les armes mais qui se carapatent dès que les flics commencent à charger.
Ils reviennent renifler le sang, la lacrymo et l'odeur âcre du cocktail Molotov ainsi que les fumées de tous ces feux de joie.
Que les réels manifestants se cassent dès que ça barde, c'est bien et c'est surtout c'est mieux pour leur santé ; ceux qui restent sont les agents des black blocks qui veulent le grand frisson en évitant de se faire gauler par les cognes car ils ont appris comment le faire rapidement.
Le nombre de black blocks se trouve donc quintuplé (en tout cas sur Paris) grâce à ces apprentis anars qu'on qualifie de "gens ordinaires qui ont la rage, les nerfs de ne pas être écoutés par le gouvernement".
Ben voyons...Les pauvres ! Ils viennent munis de briquet et de petits marteaux pour casser de la pierre et refiler tout ça aux super vilains mais ils sont innocents, ils ont juste la rage.
J'en ai entendu des conneries mais là, je suis proche de l'overdose surtout quand je vois que le syndicat de la magistrature (les juges rouges) ont accouché d'un truc tellement immonde que je me demande si juridiquement on ne pourrait pas enfin se débarrasser de ces pourris.
Notez après ce petit livre rouge on a des relents du maoïsme de naguère. Sacré bande d'enculés. Après le MUR DES CONS, voilà comment échapper à la justice si on se fait gauler en mettant le feu aux forces de police.
Continuez les mecs, vous avez un boulevard devant vous pour mener vos troupes vers le grand soir révolutionnaire et surtout un garde des sceaux qui ne moufte pas.
En gros, vous êtes en roue libre et vous pariez sur un seul truc :
QUI VA CREVER LE PREMIER ? LE BLACK BLOK/MANIFESTANT SYMPATHISANT OU LE FLIC ???
Car alors, on aura forcément votre chienlit tant espérée et tous les français communieront qui avec une bougie ou un bouquet.
Un gouvernement aussi faible, c'est à pleurer car durant tout ce merdier la dope, les armes et l'immigration illégale se portent à merveille. Merci pour eux !