On trouve dans la bien-pensance qui nous gouverne un tas de prédateurs qui ont les moyens de tuer proprement.
A eux les journaux, les plateaux-télé :"Tuons le philosophe ! Celui qui pense mal !"
Pourtant, il ne dit rien de plus dérangeant que ce qu'il clamait il y a une bonne dizaine d'années.
Aujourd'hui, il faut l'achever. Et ça, les aminches, la bien-pensance le fait avec maestria.
"Du sacre de Clovis au pacte de Reims", disait Finkie du temps où il venait de comprendre que l'identité française, celle qu'on nous refuse pour cause d'exotisme exacerbé (relooké multiculturalisme) était un must au socle Républicain.
Rien n'y fait ! On l'accuse de racisme car tout le monde "l'est plus ou moins" hein... Il faut extirper le démon comme du temps de l'Inquisition sauf que là, les grands Questionneurs ont des claviers et des outils très efficaces pour tuer un homme et lui faire signer des aveux.
Il résiste Finkie ! Et c'est pour ça qu'on l'aime...
Pour un Juif en plus... "Ca la fout mal", comme semble le susurrer A. Caron.
D'ailleurs, ce soir là, chez Ruquier, y 'en avait un max de juifs. Mais attention... LES BONS JUIFS ! Ceux qui pensent bien comme Seymoun (abruti et complètement con comme d'habitude), comme celle qui a fait un enfant avec un musulman et comme le très attendu Israélien de service, Assaf Avidan, qui "ne se sent pas israélien". Tu parles d'un casting d'enfer !
Finkie était donc le seul Juif non imaginaire du comité ce soir-là ? Mouaf ! Ça, c'est bien cogité les aminches ! Manquait peut-être Rony Brauman... Ç’aurait été grandiose !
Ce qu'on aime moins, c'est l'air sadique du Torquémada de service en la personne d'Aymeric Caron, dont on sait pourquoi un enfoiré comme Laurent Ruquier peut lui refiler du micro. Ruquier fait du Ardisson ! Ruquier veut du buzz sinon il ne pourra pas durer.
Ce regard... Cette haine... Cette envie maladive qu'il avait de "se taper le philosophe". Lui, le minus, qui bizarrement ne sait pas LIRE LES LIGNES MAIS UNIQUEMENT ENTRE LES LIGNES !
Vaste affaire que de ne savoir lire qu'entre les lignes. Un imbécile de la sphère complotiste qui a les moyens de faire douter le retardé-de-base qui n'attend que la baston du samedi soir devant la téloche !
Le problème, voyez-vous, c'est que le traquenard n'était pas seulement dans la vindicte du Caron de service mais dans l'utilisation de l'image.
Des petits cons de cameramen doivent apporter au "grand patron" sis un étage au-dessus, quelques images qui pourraient faire mal elles aussi.
Or, qu'avons-nous vu ce samedi soir hormi les regards de haine d'Aymeric Caron ? LE GROS PLAN SUR LA MAIN ET LA JAMBE D'ALAIN FINKIELKRAUT. Le philosophe tremblait.
Ça, c'est particulièrement DÉGUEULASSE !
Si Finkielkraut tremble, ses pensées sont aussi malades que lui... On relie forcément pour le pékin moyen le geste à la parole. Voyons voyons... "Il n'est pas "normal" c't homme-là..." qu'il se disent, Roger ou Kevin, devant leurs téloches !
Jusqu'où va l’immonde ???
Le petit merdeux chargé d'aller enregistrer les tremblements d'un philosophe comme Finkielkraut a reçu des ordres précis pour aller filmer PRÉCISÉMENT ces parties du corps.
NON, JE NE L'ADMETS PAS !
Ruquier a une responsabilité morale grave dans cette affaire puisqu'il a pu monter son émission tout à loisir, comme avant lui son mentor Ardisson.
C'est si dégueulasse qu'une sous-merde comme Ruquier puisse ainsi disposer du corps de ses invités que je me demande comment l'éditeur ou l'attaché de presse de Finkie ont pu laisser choir.
L'indécence au service de la bien-pensance !
Peuvent-ils encore se regarder en face ces gros cons qui ont décidé de nous pondre un dogme moralisateur sur le sort de la France ? Que savent-ils des souhaits des Français ? Que savent-ils de l'envie qu'ils ont de garder, si c'est encore possible, une identité qui leur est chère ?
Au lieu d'aller dans le débat, ils CONDAMNENT et mettent tout en œuvre pour envoyer Alain Finkielkraut dans un cachot. TORQUEMADA EST REVENU ! Sortez les fourches et les tenailles et allons-y dans la QUESTION.
Pas de sang versé hein... Faisons comme l'église autrefois... Tout est une question de look... On tue sans effusion de sang ! Le bûcher... ça c'était bon !