Les afro-français puisqu’il est tendance de reprendre le champ lexical américain, sont de sortie et terriblement sûrs de leurs droits mais pas des devoirs.
J’en ai assez des vidéos dites VIRALES par nos présentateurs de radios et télés.
En regardant comme une abrutie la énième vidéo censée me faire bondir et m’émouvoir jusqu’à la moelle d’une femme afro-française qui veut passer une porte de la SNCF sans y mettre son titre de transport et la suite qui se produit, je me dis que vraiment ce pays ne peut plus être sauvé à ce stade.
Que chacun y voit ce qu’il veut, qui suis-je pour y trouver d’étranges connotations avec ce que font les terroristes palestiniens que la presse française adore appeler « activistes ».
TU VEUX ÊTRE NOIR ET ACTIVISTE ? PROCURE TOI UN SMARTPHONE.
Comme les palestiniens munis par l’ultra gauche israélienne et mondiale, la guerre des images et des séquences choisies peuvent induire en erreur tous ces pseudo « pacifistes » qui, curieusement ressemblent à s’y méprendre à ceux de 1940 et qui finirent TOUS dans la collaboration.
Désormais, les mouvements afro-français qui arboraient comme de vieilles fashion victims les colliers, les bagues et tout l’attirail des rappeurs américains, s’emparent du dernier avatar à la mode : « les black lives matter ».
Il est donc de bon ton et normal que n’importe quel afro-français (se) se montre agressif, insultant et violent alors même qu’il ou elle est en infraction totale.
« Je suis noir (e), je vous emmerde, allez vous faire enculer, je passe et je ne paye pas ».
Sous-entendez par cette phrase prononcée désormais devant tous les flics de France et de Navarre : « Je suis noire, j’ai libéré la France à moi tout seul, c’est désormais MON pays ».
Circulez ! Y a rien à voir.
Le discours victimaire s’accompagnant de vidéos tronquées, de « morceaux choisis » pour inciter à la violence alors que l’apaisement est non seulement nécessaire mais vitale à l’économie en perdition après le confinement, devrait être sinon interdit au moins pas relayé par ces abrutis comme Morandini et tant d’autres.
« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde » disait Camus.
Or, tronquer la vérité d’une situation est exactement la même chose puisque la France, la nouvelle France ne lit pas et ne veut surtout pas lire des blancs.
Mais qui viendra à bout de ces gens qui n’ont comme revendication que la couleur de leur peau, haïssent sans complexe la France et pourtant n’irait ailleurs pour rien au monde ?
Devrions nous toujours rester cois devant ce qui ressemble de plus en plus non à une partition comme le prétendait Hollande mais à une colonisation à grande vitesse par des minorités qui sont les seules à accuser une démographie galopante ?
Qui aura le bon sens et les corones qui va avec pour débarrasser la France des illégaux, des multirécidivistes qui n’ont que des permis de séjour, des binationaux aux casiers judiciaires trop remplis ?
QUI ?
Et pourquoi n’oserais-je pas avoir ce discours sans que l’on me range dans la catégorie REAC ou FASCISTE ?
Alors que des centaines de milliers de « jeunes » de zones sensibles tiennent les murs et font du trafic tout en émargeant au RSA et allocations en tous genres, il faudrait laisser venir encore plus de monde ?
Pour leur donner quoi au juste ?
- Des appartements ? Il n’y en a pas.
- Du travail ? Il n’y en a pas. Pire on accuse plus d’un demi-million de chômeurs en plus.
- Des allocations ? Les caisses sont vides et tant pis pour ceux qui ont cotisé, ils n’auront même plus le retour normal d’un système qui leur est dû.
- Des soins ? Les hôpitaux croulent sous le manque de finances et doivent faire l’objet d’un plan Marshall tellement il est vidé de sa substance.
Tous ces gens qui se croient au-dessus des lois et alléguant en plus que leurs grands-parents ont défendu la France donc ils ont droit à TOUT et surtout à nous faire chier le plus possible, CA SUFFIT !
Aujourd’hui, alors qu’on évoque l’appel du 18 Juin, ne serait-il pas temps d’entrer en résistance citoyenne et de foutre enfin les indésirables, les violents et même ceux qui sont en prison et se revendiquent d’abord comme musulmans, hors de nos frontières ?
Qu’on ne me ressorte plus le couplet « sens moral et France terre d’asile ». On a donné et voici le résultat.
On ne peut se défendre : les flics sont agressés à l’arme lourde
On ne peut plus attaquer en justice : les juges rouges ne sanctionnent pas et ils ont des « quotas » pour manque de places en prison.
La France est comme le radeau de la Méduse. Elle dérive jusqu’au moment où le cannibalisme l’emporte rapidement, les meurtres, les massacres.
"Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question.", préconisait Baudelaire.
Alors sortons de l’ivresse pour voir la réalité crue de notre histoire présente.
Au lieu de pester chacun devant ces dérives et ces massacres à venir, il faut se réveiller et prendre notre destin en main avant que tout ne devienne que ruines.
Le système afro-français et arabo-français ont trouvé la même parade que les arabes de Gaza et de Judée Samarie : Chercher l’affrontement par tous les moyens et ne filmer qu’au moment où les soldats lassés viennent rétablir l’ordre.
A ce moment précis, et seulement là, les arabes filment la riposte.
C’est ainsi que depuis plus de 30 ans, ils ont conquis la sympathie par l’image falsifiée.
C’est ainsi que nos « chances pour la France » procèdent. Cela tombe bien, ils sont les « palestiniens » de France, les « black lives matter » de France, les « Nelson Mandela » de France.
La France a tout donné et reçoit désormais la monnaie de sa pièce.
Pourtant, le négoce est vieux comme le monde : Tu donnes et tu obtiens une contrepartie.
En France le pacte républicain est dévoyé jusqu’au trognon : ON DONNE SANS CONTREPARTIE.