LA CHOUETTE : NI OUBLI NI PARDON
Publié: Février 21st, 2020, 12:41 pm
Sans doute la conjoncture s’y prête de nouveau mais le livre de Danny Baz ex-pilote de chasse d’Israel Air force y est pour quelque chose.
Entendre tous les ennemis les plus irrédentistes s’exprimer sans jamais payer le prix, sans jamais passer par la case tribunal ou pire encore être grassement rémunérés par des entités dont le seul contentement dans la vie est de tuer des juifs, me devient insupportable.
Tout le monde, du moins certains juifs sans doute encore terriblement blessés (très doux euphémisme) de savoir que les criminels de guerre nazis avaient non seulement bénéficié de l’aide de la Croix Rouge pour obtenir des passeports, de l’aide de pays d’Amérique du Sud pour s’installer confortablement ou encore des pays arabes pour y trouver aussi asiles, non...cela ne passera jamais.
Pour votre gouverne, sachez que les premières guerres d'Israel contre les pays arabes coalisés, étaient contre des nazis convertis à l'islam et voulant continuer le combat pour encore tuer des juifs. (Officiers nazis durant 1948, 1967)
Cela ne passera jamais et D.ieu me garde d’oublier car de nouveau la haine antisémite a refait surface sur fond de pro-palestinisme ou d’amour exotique vis à vis des arabes.
Je voue une réelle passion pour Simon Wiesenthal, pour son incroyable résilience et son travail inlassable de chasseur de nazis.
Je me souviens de cette ardeur lorsqu’il parlait de Mengele ce « docteur » qui osait les pires tortures sur des enfants. Cette partie ne peut être racontée tant elle fait horreur.
Je vous enjoins donc à vous référer aux travaux (documentaire plus livre) de Michel Cymes.
J’ai toujours cherché des justiciers qui, après la guerre ont au moins tenté de retrouver quelques nazis. Cela en devenait obsessionnel, je l’admets.
Puis, vint la bonne petite nouvelle dont très peu de gens sont au courant. La ligue des justiciers anonymes existait bel et bien : LA CHOUETTE !
Voici un résumé qui n’est pas de moi. Je préfère vous donner le lien pour trouver le livre afin que vous sachiez qu’un groupe d’hommes et de femmes, aidés par des agents (pour la plupart non juifs) de la CIA et du FBI, ont tout fait pour aider à la réparation du monde, au nom de la justice, celle-là même que les nations nous refusaient avant, pendant et après la guerre.
Au début des années 80, Danny Baz, pilote de l’air dans l’armée israélienne, rejoint une mystérieuse organisation aux Etats-Unis, appelée « la Chouette ». Œuvrant dans la clandestinité et l’illégalité la plus totale, elle bénéficie néanmoins de l’appui d’individus très hauts placés (CIA, FBI, services secrets israéliens…). « La Chouette » a été créée par un rescapé de Mauthausen ayant fait fortune dans le pétrole au Texas, et qui finance l’opération par tranches de 6 millions de dollars (somme symbolique pour rappeler les six millions de juifs victimes de l’Holocauste). Ils sont une poignée d’hommes et de femmes, anciens commandos du Vietnam, agents secrets, à se lancer sur les traces d’Aribert Heim, « le Rat », qui se cache aux Etats-Unis, près de la frontière canadienne. Après avoir gardé le silence pendant plus de vingt-cinq ans, Danny Baz raconte au jour le jour la longue traque du Docteur la Mort. Cette extraordinaire et véridique chasse à l’homme, de New York à Baden-Baden, de Jérusalem à Québec en passant par l’Alaska, est le récit d’une vengeance à laquelle les membres de cette fraternité secrète, unis par l’amitié autant que par la rage, ont tout sacrifié.
Certes, le livre est mince et une heure vous suffira pour apprendre ce que cet incroyable groupe a pu réaliser.
On vous parle dans les résumés sur le net de « groupe interdit, agissant dans l’illégalité ».
Toutefois, lorsque vous prendrez connaissance des actes et de la façon dont ces gens opéraient, vous ne pourrez que conclure que « ces gens » ont agi avec détermination et loin des clichés revanchards.
Tout ce qu’ils ont fait pour trouver, s’assurer qu’il s’agissait de la bonne personne et la traduire devant un tribunal où leurs cas étaient examinés dans une totale impartialité, vous fait presque regretter autant de précautions.
Ces nazis étaient non seulement jugés mais avaient droit de choisir un avocat qu’il les défendrait comme il l’aurait fait devant n’importe quelle cour de justice légale.
Si je parle de ce livre aujourd’hui, c’est parce que nous ne pouvons ignorer indéfiniment les injustices, les crimes antisémites et les propos de haine dont on nous abreuve partout dans le monde.
Si je parle de ce livre aujourd’hui, c’est sans nul doute parce qu’il est temps que nous organisions une ligue de justiciers qui ne se substituerait pas aux juges mais mettraient tout en œuvre pour que ces faiseurs de haine, ces meurtriers ne restent pas impunis.
La peine de mort ? Inutile et surtout cela en ferait des martyrs d’une cause aussi ignoble que leurs personnes.
Si une LDJ se créait avec des moyens, il y aurait des façons de soustraire ces meurtriers à la société dans laquelle ils vivent tranquillement.
Envoyer des Bouteljia, des Traoré, Merah (l’autre frère), Fofana très loin en Afrique subsaharienne en leur supprimant leurs papiers, est un moyen non létal mais sûr de se débarrasser de ces parasites.
Sans papiers, il leur faudra des années avant de pouvoir refouler le sol français et taper la CAF.
A force de voir ces ennemis haineux envers les juifs, les blancs, les français, les chrétiens, les athées, bref tous ces adorateurs indigénistes, obligés de traverser le désert, quémander un passeport ou un visa, il peut se passer des années.
Cela fera réfléchir bien des nazislamistes et des prêcheurs d’une république de bédouins.
Ce n’est qu’une suggestion bien sûr...D’autres options sont aussi possibles pour peu que les pouvoirs publics songent enfin à nous refiler les clefs de notre maison.
Imaginez que demain, au lieu de glisser un bulletin conventionnel aux municipales ou autres élections vous inscriviez par CENTAINES DE MILLIERS : ERIC ZEMMOUR !
Sera-ce comptabilisé ? En tout cas, cela enverrait pour sûr un message très clair aux ministres peu intègres qui nous gouvernent. Là...peut-être qu’un déclic salutaire se ferait.