AUTOUR D'UNE PHRASE CULTE
Publié: Août 26th, 2019, 8:28 am
"Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses."
Clint Easwood dans : LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND
A l'heure où les kalach se font entendre dans tous les quartiers et maintenant en plein jour, on peut se demander si un jour très prochain, nous ne serons plus en mesure que de prendre la seconde option : CREUSER !
La France, géographiquement risque bien plus que les américains dont beaucoup déplorent les massacres de cinglés suprématistes qui sévissent sur ce grand territoire.
Le droit de se défendre est partie intégrante de la constitution américaine et, franchement, parfois je me demande si ce droit ne serait pas le bienvenu en France puisque de toute façon ceux qui possèdent des armes sont les narco-trafiquants qui sévissent sur d'immenses territoires partout en France.
Ces dealers qui font vivre des villes entières et que les savoureux hommes et femmes de gauche appellent gentiment "économie parallèle" n'ont absolument rien à foutre du commun des mortels.
Les lambda repoussent encore et encore l'inéluctable en cherchant où se réfugier sur le territoire français mais beaucoup ne le peuvent pas car ils perdraient leurs emplois.
Ils sont obligés de vivre sous la férule de barbus qui sont partie intégrante du système bien huilé et mafieux : vols, deals de drogue et désormais on peut rajouter prostitution de koufars (femmes non musulmanes) ainsi que trafics d'armes.
Où sont les flics ?
Je répondrais à cette question : Vous mettriez vos vies en danger pour moins de 2000 euros par mois ?
De toute façon, la consigne est simple : N'INTERVENEZ PAS.
Les bastos des flics se retrouveront dans leurs cadavres puisque le suicide est exponentiel dans ce corps de métier.
Alors vous ? Vers quelle option allez-vous vous tournez pour protéger vos familles et/ou vos vies ?
Allez vous prendre le gun chargé ou bien allez vous creuser ?
Vaste et néanmoins salutaire question car croyez-moi : les armes circulent par milliers dans ce qu'on appelle désormais : L'AUTRE FRANCE.