L'ambiance était surchauffée et les journaleux anxieux d'avoir du juteux à filer à leurs audiences.
1) On mate d'abord la tronche de Bibi et Macron au sortir de la pièce. Putain ! Ca démarre plutôt mal. Ils ont l'air constipés grave et les journaleux de piaffer d'impatience.
2) Selon les journalopes nombreuses ce jour là, attendaient la revanche de Macron rapport à sa récente branlée "chaleureuse" avec Trump
. D'ailleurs, la 1ère question devait venir d'une islamo-gauchiste puisque évidemment elle évoqua Gaza illico ! Yeah ! Médiapart ? Le Monde ? The Gardian pour moi (un léger accent britannique).
3) Après les politesses d'usage dont personne n'en a rien à cirer sur la France qui tenait à la sécurité d'Israel, on eut enfin l'os à sucer, ronger, que la presse attendait. LA PHRASE QUI TUE...normalement...
"Alors que les célébrations à Jérusalem avaient lieu, des morts à Gaza..." dixit notre président philosophe selon Brice Couturier.
Et oui ! Il n'a pas pu s'en empêcher Macron.
Faut dire qu'avec plus de 15 % de musulmans dans son pays, il fallait donner un gage d'empathie à l'égard de ces gazaouis qui n'avaient rien fait que défiler "pacifiquement" sur la frontière...Mais ça, c'est Piotr Smolar du Monde qui le dit alors qu'il sirote tranquillou des jus de fruits à Tel Aviv.
Si les gazaouis ont défilé pacifiquement, ils roulent désormais sur les jantes vu qu'ils ont cramé tous leurs pneus. Y a du business à faire pour les gaulois. J'dis ça, j'dis rien.
Si les gazaouis ont défilé pacifiquement, le Hamas n'est pas vraiment d'accord sur l'identité des morts. Plus des 3/4 appartenaient au Hamas et au djihad islamique voire quelques uns du groupe Al Qods. Rien que du beau linge avec les éternelles moukères et leurs gosses qui vont à la soupe pour avoir quelques subsides pour continuer à nourrir leur marmaille.
On est mal logés à Gaza et on vit mal mais on a plein d'armes, de roquettes et de la dope à gogo !
Merci qui ? Merci le Hamas. Vous voyez qu'au fond le Hamas est un père pour tout ce monde qui, à force de ne pas bosser, fait encore plus de gosses.
Le reste fut insignifiant.
Bibi reste convaincu (à raison) que l'Iran est une nation hostile qui veut et peut enrichir son uranium pauvre pour en faire du plutonium. C'est quasi-certain. Les mollahs doivent faire face à une révolte intérieure et leur seul salut est d'entamer une guerre.
Au premier abord, ça ne devrait pas déranger Israël mais les pays arabes alentours.
Sauf si l'Iran reste en Syrie. De cela, Macron a très peu parlé.
Advienne qui pourrira ?
Les journaleux n'en ont pas eu de quoi faire de gros titres et ils l'ont mauvaise. Si mauvaise que les JT en ont à peine parlé.
Tant mieux ! Il n'y avait pas grand chose à dire sinon que "Tout le monde il est beau et gentil et que la France et Israël c'est du béton".
Le seul moment jouissif pour ma part, fut l'inauguration de l'événement culturel qui eut lieu au Grand Palais pour la saison ISRAEL - FRANCE.
La petite phrase de Macron : "Les étudiants israéliens n'arrivent qu'en 12è position pour postuler dans nos universités et il faut que ça change et que la France fasse partie du tiercé gagnant !".
C'est vrai ?
J'aurais dit 15ème...je me trompe peut-être mais Macron aurait du y penser à deux fois avant de sortir une telle incongruité :
Si déjà 40 000 collégiens, lycéens français juifs ont déserté l'école républicaine, les israéliens juifs seraient mal avisés de venir dans les universités françaises où on tague des "Mort aux sionistes" dès qu'on a une AG surprise.
Non ! Président. Les israéliens ne sont pas cons au point de postuler dans des cursus français où les syndicats étudiants sont antisémites et représentées par des moukères voilées.
Postuler pour du médiocre ? Alors que toutes les plus grandes entreprises du monde viennent s'installer en Israël, je doute que les étudiants israéliens visent de s'améliorer en France.
Selon un sondage, 57 % des français auraient un point de vue négatif d'Israël.
J'aimerais connaître le panel utilisé (Seine Saint Denis ?) mais les français savent-ils seulement ce qui se passe en Israël ?
Ils le sauront bientôt mais il sera trop tard. Il n'y aura même pas de frontières à défendre. Là, je m'estimerais...vengée ?
OUAIS !