Ces juifs antisionistes me font de la peine. Ils œuvrent pour une raison incroyablement puérile : Ils veulent être aimés.
« Est ce ma faute à moi si je suis né juif ? Je n'ai rien demandé. Ça m'est tombé dessus alors que j'étais encore qu'un vague embryon prêt à embrasser la vie, à vivre sans inquiétude, à vivre tout simplement. »
Eh oui. Dur dur d'être juif.
Toutefois, il serait si facile pour eux de quitter leur état juif qui pèse si lourd.
Tant de griefs pour si peu de chose en vérité. Il n'y a pas de condamnation comme dans l'islam pour apostasie. Un écrivain Yoram Kaniuck a même réussi l'exploit de faire annuler la mention juive sur son passeport israélien. Il se sent mieux. Il respire enfin ce grand écrivain. J'en fus même soulagée pour lui, c'est dire si je pénètre les méandres du cerveau du romancier.
Pourquoi alors ne pas faire exactement la même chose lorsqu'on nourrit une telle haine de soi, de l'état d’Israël ou pire encore...vivre encore en terre juive ? On se le demande. Une forme de militantisme ? Une envie de rejouer la « guerre des juifs » afin qui sait, pour beaucoup de ces cinéastes adulés par delà le Jourdain, dans tous les pays arabes ou Occidentaux très indulgents vis à vis des palestiniens, d'avoir du matériel pour leurs prochains films ?
Oui...Ce doit être ça : du sang, de la sueur et des larmes sinon pour quelles raisons viendraient-ils encore en Europe ? Ils perdraient d'office leurs auréoles de Saints parmi la nation sioniste !
Il y a quelques jours à peine, un cinéaste égyptien, présent au festival de Cannes « Yousry Nasrallah « , (nom ô combien évocateur), expliquait qu'il ne voulait pas que son film concourant pour la Palme d'or, « après la bataille » soit vendu et donc visionné en Israël.
Oh ! Ben merde alors ! M'écriai-je ! On va tout de même pas raté un chef-d’œuvre plein de trucs fous sur les mœurs révolutionnaires égyptiennes ! C'est pas juste !
Monsieur Yousry Nasrallah aura eu à cœur de dépeindre la « révolution » en se gardant bien de narrer le côté vicieux, violent, sexiste, criminel de certains de ses compatriotes. Il n'allait pas nous montrer les viols en réunion des journalistes occidentales ou de leurs sœurs musulmanes. Faut pas rêver !
Il aura été cherché comme ses collègues israéliens antisionistes, une histoire vague sur ces cavaliers juchés sur des chameaux qui ont tenté de lutter contre cette révolution fantoche qui a bel et bien mis un despote à terre mais en a ramené d'autres aux affaires bien plus coriaces.
Ces cavaliers du saint-chameau ont juste voulu remettre Moubarack en place car il était leur garant de pouvoir manger et travailler normalement comme agents touristiques près des pyramides.
Pour en revenir à Nasrallah (le cinéaste pas l'autre abruti qui se terre à 200 mètres sous le niveau de la mer au Liban), le voilà tout auréolé à Cannes du titre de « révolutionnaire » accompli et mieux encore un ami de cinéastes israéliens qui eux aussi luttent contre l'impérialisme sioniste tels que Amos Gitaï qu'on ne présente plus. Sans sa foi en la pauvre Palestine occupée, il n'aurait absolument aucun intérêt cinématographique ou bien encore Avi Mograbi qui faillit à sa tâche anti-israélienne au cours d'un film qu'il tourna sur Sharon : "Comment j'ai appris à surmonter ma peur et à aimer Arik Sharon" (1996 ).
Pauvre ! pauvre Mograbi ! Il pensait filmer un assassin en puissance, il se rend compte qu'il tombe sous le charme du vil général sauveur d’Israël et qui en plus, a la particularité d'être sympathique.
Sa femme le quitte. Les femmes gauchistes en Israël sont une catégorie à part, je dirais, « hors norme ».
Comment comprendre cette « hors normalité » sinon en suivant certaines de ces femmes dans leurs parcours de vie ?
Une Amira Hass dont les parents survivants de la Shoah ont rejoint Israël au lendemain de ce crime sans nom. La passion communiste a souvent été le moteur déclenchant de la haine de soi. Je retrouve souvent ce trait ci parmi les actuels ou anciens juifs militants contre le sionisme. Lorsqu'on épouse le communisme, toute foi en autre chose devient une trahison.
Une Nurit Peled qui est devenue l'égérie de toute une presse négationniste, antisémite et qui aura expérimenté la pire calamité qui puisse s'abattre sur un être humain : la perte d'un enfant. Pas n'importe comment : la perte de son enfant de 14 ans tuée dans un attentat-suicide.
Devenue farouche anti-israélienne, elle reste une Hiérosolomytaine prof à l'Université hébraïque de Jérusalem. C'est du reste étonnant combien cette prestigieuse Université arrive à fédérer un nombre impressionnant de professeurs anti-sionistes !
Doit-on en rire ou en pleurer ? Je ne sais.
Par contre je sais que l'état de confusion mental de Nurit Peled l'amène à se produire au tribunal Russel pour la Palestine mais surtout à un travail minutieux des livres scolaires israéliens dans lesquels cette mère éplorée pense déceler une prose un peu trop sioniste pour les chères têtes blondes israéliennes. Pourquoi ne prendrait-elle pas le temps d'explorer les manuels scolaires des arabes palestiniens ? De crainte sans doute d'y voir un peu trop souvent cet antisémitisme arabo-musulman proche de celui que ses parents ont fui durant la seconde guerre mondiale sans doute.
Les mots sont les mêmes, la haine est intacte. Les bourreaux ont des keffieh et le monde entreprend de les aider en opérant une substitution des héros juifs.
Le Goliath est juif selon 75 % d'espagnols* et 99,9 % du monde arabo-musulman. Le Goliath est juif selon les trois quart de la planète. Tuons le Goliath ensemble mais en douceur, pour éviter d'être taxés d'antisémites...
En répétant que l'apartheid est israélien. En falsifiant l'information, les photos, les films, en boycottant tout ce qui se rapporte de près ou de loin à Israël.
Et les juifs de gauche de hurler : « LOVE ME PLEASE LOVE ME ! » Le monde est trop petit dans mes 0,01 % de terre du moyen-orient. Je veux Paris, Berlin, New York !!! JE VEUX JE VEUX QU'ON M'AIME !!!
Moi, je ne veux pas. Si le monde tourne encore en eau de boudin à cause des miens alors c'est que le monde mérite ses emmerdes, sa déchéance et la perte de ses identités.
Je roule pour moi et contre ces juifs. La guerre des juifs a déjà commencé et nous devons faire face. Ces petits joueurs de pipeaux qui ramènent leurs fraises en Europe, sachons les recevoir, laissons les aux arabo-musulmans, aux gauchistes, aux journalistes friands de casser du juif. ILS SONT PAREILS....
Bientôt, ils paieront. D'une manière ou d'une autre. Tout ce que nous pouvons faire pour le moment est de les considérer comme ils le désirent eux-mêmes : hors du judaïsme.
ILS NE SONT PLUS JUIFS. TANT MIEUX !