LE LOBBY ARABE AUX USA
Publié: Mai 5th, 2012, 8:54 am
Bien que le phénomène n'est pas nouveau, il est intéressant de lire sous la plume de Ronn Torossian lui-même spécialiste de relations publiques, la portée plus que symbolique du lobby arabe.
Ce n'est pas nouveau car on peut aisément dater l'entreprise d'investissement massif de l'Arabie Saoudite et d'autres pays du golfe dans les affaires intérieures des USA.
Le premier bastion à prendre fut pour les richissimes émirs : l'Université et la presse.
C'est à coups de centaines de millions de dollars que les Conseils universitaires changèrent, engageant les professeurs à établir un nouvel étalon dans leurs cours : le pro-palestinisme ou la légitimité du peuple inventé les palestiniens. L'homme-emblème providentiel en fut Edouard Saïd qui força les portes de l'endroit où l'on pense, où l'on forme les cerveaux en réclamant presque aussitôt après avoir décroché sa chaire, plus de profs arabo-musulmans.
Dans la foulée, le New York Times lui ouvrait ses portes ainsi que qu'à ces nouveaux "penseurs de la cause palestinienne". Pour ne pas rester en seconde position, des profs juifs assimilés à la gauche, firent écho à cette "réforme" en accréditant les thèses et mensonges de Saïd et de ses troupes désormais installées dans toutes les Universités qui comptent.
Le constat de Ronn Torossian est une preuve de plus que le lobby arabe continue son djihad aux Etats-Unis. Changer l'opinion majoritairement pro-israélienne dans ce grand pays est affaire d'argent. Or, de l'argent, on en manque cruellement. Les arabes ont compris le "pragmatisme financier" qui conduit les américains. Le profit n'a pas d'odeur, seul parle le dollar.
Le pro-palestinisme ardent en occident est SURTOUT une affaire d'argent. Le panarabisme et l'islamisation est affaire de représentation et donc d'argent. Le Qatar, toujours à l'affût de mauvais coup et de publicité pour l'islam achète par petits bouts des territoires français, que ce soit dans les entreprises ou les zones sensibles ou banlieues.
Ce n'est pas nouveau car on peut aisément dater l'entreprise d'investissement massif de l'Arabie Saoudite et d'autres pays du golfe dans les affaires intérieures des USA.
Le premier bastion à prendre fut pour les richissimes émirs : l'Université et la presse.
C'est à coups de centaines de millions de dollars que les Conseils universitaires changèrent, engageant les professeurs à établir un nouvel étalon dans leurs cours : le pro-palestinisme ou la légitimité du peuple inventé les palestiniens. L'homme-emblème providentiel en fut Edouard Saïd qui força les portes de l'endroit où l'on pense, où l'on forme les cerveaux en réclamant presque aussitôt après avoir décroché sa chaire, plus de profs arabo-musulmans.
Dans la foulée, le New York Times lui ouvrait ses portes ainsi que qu'à ces nouveaux "penseurs de la cause palestinienne". Pour ne pas rester en seconde position, des profs juifs assimilés à la gauche, firent écho à cette "réforme" en accréditant les thèses et mensonges de Saïd et de ses troupes désormais installées dans toutes les Universités qui comptent.
Le constat de Ronn Torossian est une preuve de plus que le lobby arabe continue son djihad aux Etats-Unis. Changer l'opinion majoritairement pro-israélienne dans ce grand pays est affaire d'argent. Or, de l'argent, on en manque cruellement. Les arabes ont compris le "pragmatisme financier" qui conduit les américains. Le profit n'a pas d'odeur, seul parle le dollar.
Ron Torossian de l’agence de relations publiques 5WPR publie cet article sur un sujet peu connu du grand public dans The Allgemeiner :
Bien que très en vue aux États-Unis l'industrie des relations publiques est une communauté relativement petite très unie. Seulement environ 75 entreprises américaines de relations publiques ont plus de 50 employés, ce qui serait suffisant pour peser, avoir de l'influence et la capacité de représenter un gouvernement étranger. Au cours d'un récent déjeuner, un de mes pairs, qui, comme moi, possède une des 25 plus grandes agences de relations publiques aux États-Unis a expliqué pourquoi son entreprise ne prendrait pas en tant que clients des organisations juives et pro-israéliens.
Il a expliqué qu'il y a tout simplement plus d'argent à travailler pour des organisations et des intérêts arabes, y compris des groupes de façade, et des projets d'affaires. C'est une tendance qui, je crois va croître - et nous verrons les intérêts arabes dépeints encore plus positivement dans les médias américains.
Récemment il est apparu que le Bahreïn a embauché au moins dix sociétés de relations publiques au cours des 12 derniers mois . Oui, vous avez bien lu, 10, y compris Qorvis, la société basée à Washington qui a été embauchée par l'Arabie saoudite pour sauver la réputation du royaume à l'étranger suite aux attaques terroristes du onze septembre. Le régime de Bahreïn, qui torture ses propres citoyens, qui a un bilan déplorable des droits de l'homme et qui ne reconnaît pas l'État d'Israël, a également embauché Joe Trippi, ancien directeur de campagne pour Howard Deana la candidature présidentielle de 2004 et Sanitas International, parmi les partenaires, dont est issu Christopher Harvin, un ancien conseiller de la Maison Blanche du temps de Bush (http://jalopnik.com/5900113/how-bahrain ... -the-press)
Dans le «nouveau» Moyen-Orient des choses ont changé - mais l'hostilité envers Israël reste une constante, et des millions sont dépensés pour transmettre les positions arabes à travers des campagnes de relations publiques professionnelles :
Harbour Group, une firme de lobbying basé à Washington DC a été embauchée par le nouveau gouvernement libyen et le blog The Hill a révélé récemment que le groupe Harbour a depuis peu signé un nouveau contrat de 15.000 dollars par mois avec l'ambassade de Libye.
Patton Boggs, un autre grand groupe lobbying de Lobbying représente maintenant lui aussi le nouveau régime libyen.
Auparavant, ils ont travaillé avec Kadhafi, de concert avec MONITOR GROUP basé à Cambridge et dans le Massachusetts qui avait un contrat de $ 250.000 par mois avec Tripoli, afin de recruter des universitaires américains éminents pour chanter les louanges du gouvernement libyen.
Ce n'est pas nouveau au Moyen-Orient - les gouvernements arabes dépensent beaucoup d'argent pour les relations publiques. Le régime syrien continue à décimer son propre peuple par milliers dans les rues - et relativement, bien peu est publié dans les principaux médias (l'une des raisons pour laquelle une bonne agence de relations publiques est engagée en situation de crise, c'est de s'assurer que les informations négatives n'atteignent pas les pages de la presse.) Un jour, nous saurons qui travaille pour la Syrie aujourd'hui. Il y a quelques mois des pirates ont révélé des centaines d'e-mails du bureau du président syrien Assad, dont un document préparatoire de Bachar Al-Assad à l'interview avec Barbara Walters de la chaîne ABC en Décembre 2011.
Le profil éclatant et magnifique en pleine page avec des photos de Asma al-Assad, Première Dame de la Syrie qui a paru dans Vogue magazine en Février 2011 et intitulée: "Asma al-Assad : Une rose dans le désert" a été discrètement retiré du site Web Vogue. Vogue n'a pas souhaité commenter les raisons pour lesquelles l'histoire a été retirée - mais l'article qui l'a décrite comme "glamour, jeune, et très chic - la plus fraîche et la plus attirante des premières dames,» alors qu'en même temps le gouvernement syrien massacrait des opposants. Le cabinet de relations publiques, Brown Lloyd James a travaillé pour la Syrie en organisant la mise en scène et la trame de l'article de Vogue.
Cette même société, Brown Lloyd James, a travaillé dans le passé pour renforcer le régime du dictateur libyen Mouammar Kadhafi. Ils ont dit, "... nous avons aidé le gouvernement libyen dans ses efforts pour améliorer son image aussi bien sur la scène internationale à travers les Nations Unies, qu'auprès de l’establishment politique des États-Unis et de la communauté universitaire."
Les organisations terroristes Hamas et Hezbollah ont également embauché des agences de relations publiques pour faire pression pour eux dans la presse et dans d'autres domaines. Les groupes terroristes engagent des journalistes, partagent des repas, boivent avec eux et gagnent leur faveur.
Fenton Communications - firme de relations publiques de New York - travaille en collaboration avec l'État arabe du Qatar pour le développement de campagnes, visant essentiellement à délégitimer Israël en orchestrant les efforts internationaux anti-israéliens, visant à briser le blocus de la bande de Gaza. Fenton Communications travaille également pour "Al Fakhoora, une initiative pro-palestinienne basée au Qatar qui vise à "déposer une plainte en justice contre Israël et changer la perception du public en Occident au sujet de ses actions." En Avril 2012, le web designer Tim Hobert a écrit sur son travail avec Fenton sur la "campagne pour aider à mettre fin au blocus de Gaza." : Ils continuent à aider ouvertement les groupes terroristes.(http://www.timhobert.com/portfolio/case ... n-campaign)
L'année dernière, la mission de l'OLP aux États-Unis a signé un contrat avec le cabinet de relations publiques Bell Pottinger, un leader en relations publiques internationales pour obtenir des "conseils sur les communications stratégiques, les relations publiques, les relations avec les médias et avec le Congrès."
En réponse à l'appel d'offres israélien pour l'organisation d'une réunion, le géant américain de relations publiques Burson-Marsteller a déclaré : "Nous ne répondrons pas à un appel d'offres pour un tel projet ... nous sommes une entreprise commerciale. Si nous acceptons ce projet, cela suscitera beaucoup de réactions négatives ... Israël est un projet particulièrement controversé. "
Si les Arabes gagnent dans les médias, il y a une raison - ils embauchent des professionnels de la communication - ils donnent la priorité et dépensent de l'argent pour cela, et malheureusement si cela reste le cas, ils vont continuer à gagner. Au Moyen-Orient, le massacre des innocents continue - du Bahreïn à la Syrie, et les professionnels des relations publiques publics continueront à aider les gouvernements et les organisations arabes à nous obscurcir la vue avec leur propagande.
J'ai été attristé lorsqu'un de mes pairs m'a expliqué pourquoi son agence n'accepterait plus de travail pour les intérêts juifs ou israéliens - et tandis que 5WPR ne travaillera pas pour des barbares qui massacrent les gens innocents, nos concurrents gagnent des millions en faisant la promotion de la terreur et de la brutalité.
Ronn Torossian est le PDG de 5WPR, une agence américaine de relations publiques , leader sur le marché, et auteur de “For Immediate Release: Shape Minds, Build Brands, and Deliver Results with Game-Changing Public Relations.” Le livre a été appelé «le meilleur livre jamais sur les relations publiques Israéliennes "par le vice-président de la Knesset israélienne, Danny Danon.
Le pro-palestinisme ardent en occident est SURTOUT une affaire d'argent. Le panarabisme et l'islamisation est affaire de représentation et donc d'argent. Le Qatar, toujours à l'affût de mauvais coup et de publicité pour l'islam achète par petits bouts des territoires français, que ce soit dans les entreprises ou les zones sensibles ou banlieues.