DOIT-ON HESITER A RAPATRIER LES KIDS ?
Publié: Janvier 6th, 2018, 6:43 pm
Il y a plusieurs centaines d'enfants qui ont vécu le djihadisme avec l'état islamique. Certains sont nés durant la guerre et d'autres sont venus avec leurs parents s'installer en terre d'islam.
Notons que le terme "enfants" s'appliquent pour les petits de quelques mois à 17 ans révolus ! Sont-ce encore des enfants après avoir donné de leurs personnes dans certaines écoles de tueurs de Daesch ?
Après sondages, les français ne veulent pas majoritairement que ces "français" reviennent sur le territoire.
Mais c'est un vœu pieu ou plutôt un gros mensonge de la part des politiques du gouvernement actuel de faire croire qu'ils ne seront pas TOUS (parents et enfants) rapatriés en France.
La ligue de vertu des "humanistes associés", avocats et associations humanitaires s'est mise en branle car "les conditions de jugements équitables ne sont pas réunies pour que les Kurdes s'en chargent".
Les grands-parents des djihadistes voire les proches à divers degrés veulent "récupérer" les enfants afin qu'ils retrouvent une vie familiale normale.
Ces fameux proches parents exigent un ensemble d'aides afin de dé-radicaliser les enfants ainsi que des allocations supplémentaires pour leur donner un foyer.
Vous aurez compris que tout ceci va obérer encore l'immense trou abyssale du déficit de la France. En plus, les résultats ne sont guère garantis.
Pourquoi ne pas songer à trouver des proches dans les pays d'origine des grands-parents comme en Algérie, Tunisie, Maroc ?
Parce qu'ils sont...français ? Plus maintenant ! Eux-mêmes le disent et le clament : ils sont MUSULMANS avant tout.
Puisque ce fut leur première et ultime motivation pour partir en Syrie et Irak, ces gens là, adultes et enfants ne doivent plus poser le pied en France.
Nous avons déjà des milliers de ces français qui sont arabes et musulmans ou africains et musulmans. Cela coûte déjà un bras pour la DGSI de tenir à l'œil les anciens et nouveaux radicalisés au point qu'il faudra des années avant de se débarrasser de ces malades.
Il faut aussi la volonté de le faire ! Ce dont je doute vraiment.