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L'OBAMAGATE N'INTERESSE QUE PEU DE MEDIA

MessagePublié: Décembre 27th, 2017, 11:46 am
par Nina
J'en avais parlé dès sa sortie le 18 Décembre dernier :

http://zakhor-online.com/forum/viewtopic.php?f=3&t=2417&sid=e22eaecb8084ace9b621291d9cea9b8c

Incrédules devant l'énormité, les médias français n'ont pipé mot ou produit ne serait-ce qu'une petite lignette dans leurs canards car ON A ENCORE DU MAL A CASSER LES IDOLES.

Or OBAMA reste une idole qu'on devra vite dégommer afin que son "legacy" comme on dit aux States soit scruté à la loupe.

Un peu au Fig, rien dans le Nobs et surtout que dalle sur les autres, accordons au POINT un petit bonus tout de même.

C'est le 26 DECEMBRE 2017 qu'on a droit à cet article : Obama a-t-il « fait capoter » une enquête contre le trafic de drogue du Hezbollah ?

Selon l'administration Trump, l'ex-président aurait bloqué une opération contre l'organisation, pour ne pas nuir à l'accord nucléaire avec l'Iran.

Par Michel Colomès

Publié le 23/12/2017 à 16:07 | Le Point.fr

Vendredi 22 décembre, le ministre américain de la Justice a réclamé une enquête sur la gestion par la présidence Obama de la lutte contre le trafic de drogue aux États-Unis mené par le Hezbollah. « C'est une question importante pour la protection des Américains », a expliqué Jeff Sessions, tout en affirmant avoir « espoir » que la précédente administration n'avait pas mis de bâtons dans les roues de l'agence américaine antidrogue, la DEA.

Une accusation qui s'est attiré une riposte immédiate d'un responsable de l'administration Obama. Edward Price, ancien porte-parole du Conseil de sécurité, a affirmé à l'AFP : le « récit présenté » dans un article du site d'information Politico ne ressemble en rien à la réalité ». « L'administration Obama a répété encore et encore que les négociations sur le dossier nucléaire avec l'Iran étaient confinées exclusivement à cette question, a-t-il précisé. Nous n'avons pas fait de concessions sur d'autres sujets, et nous n'avons certainement pas entravé ou tenté d'influencer une quelconque enquête en cours, y compris par la DEA. »

Un trafic d'un milliard de dollars

Retour sur les faits. La police antidrogue américaine a lancé depuis 2008 une vaste enquête sur les agissements du Hezbollah, cette structure politico-militaire chiite, financée et télécommandée par l'Iran, qui s'est installée dans le paysage libanais à l'occasion de la guerre civile entre 1975 et 1990. Mais elle n'est pas parvenue à démanteler ce vaste réseau de trafic de drogue, sur le sol américain. Elle assure que le précédent gouvernement ne l'a pas laissé faire. Les investigations de l'agence américaine antidrogue (DEA) avaient pourtant permis de découvrir que le Hezbollah n'était plus seulement une organisation paramilitaire, impliquée dans de nombreuses actions terroristes, mais aussi un véritable cartel de drogue, comparable aux réseaux les mieux organisés de Colombie et travaillant avec eux. Le groupe militant, qui, au début de son existence, se contentait de prélever sa dîme sur les trafiquants de cocaïne de la plaine de la Bekaa, serait devenu un réseau mafieux inondant de cocaïne le marché clandestin américain. Un marché particulièrement juteux : selon la DEA, il rapporte au Hezbollah à peu près 1 milliard de dollars par an.

Cette activité aurait été couverte, sinon suggérée par la République des mollahs. Cela lui aurait permis de financer les activités du Hezbollah au Liban et les guerres auxquelles ses soldats ont participé en Irak et en Syrie. Et ainsi affaiblir l'Amérique dans ce qu'elle a de plus vulnérable : l'addiction à la drogue d'une partie de sa population.

Opération « Cassandra »

Après huit ans d'une enquête baptisée « projet Cassandra », menée depuis une structure spéciale de la DEA basée en Virginie, l'agence antidrogue américaine s'estimait en mesure de casser toute la filière, de prouver ses attaches directes avec des dirigeants importants du gouvernement à Téhéran et même de mettre la main sur le chef de ce cartel. Un Iranien surnommé « le fantôme ». D'après le site d'information américain Politico, qui a enquêté longuement sur cette affaire, c'est à ce moment que les enquêteurs se sont heurtés à des obstacles imprévisibles : ceux que leur tendaient notamment la Maison-Blanche, le département d'État et le ministère de la Justice.

Ils n'auraient pas reçu d'interdit explicite, lorsque par exemple les agents du projet Cassandra alignaient les preuves du blanchiment de l'argent du trafic du Hezbollah aux États-Unis par l'achat et l'exportation de voitures d'occasion revendues ensuite dans des pays d'Afrique ou du Moyen-Orient. Mais les autorités judiciaires leur auraient mis des bâtons dans les roues au moment de donner le feu vert ou les mandats nécessaires pour que les agents de la DEA puissent arrêter sur le sol américain ou faire intercepter à l'étranger les trafiquants repérés.

« Cowboys agressifs »

Des diplomates ont d'ailleurs reconnu auprès de Politico qu'ils considéraient les agents de la DEA comme « indisciplinés », se comportant « comme des cowboys agressifs » et surtout « qu'ils ne tenaient pas compte de la situation, géopolitique du moment ». Des responsables de l'ancienne administration, comme John Brennan, qui a été directeur de la CIA, ont expliqué que plutôt que de mettre la main sur ceux que son agence considérait comme quelques brebis galeuses au sein du Hezbollah, il était beaucoup plus productif d'établir des relations confiantes avec des membres « coopératifs » de cette organisation et d'espérer qu'ils incitent le gouvernement de Téhéran à signer l'accord sur le nucléaire, dont le président Obama considère qu'il est une des grandes réussites de son mandat. (Bravo les barbouzes !)

Si ces informations sont révélées aujourd'hui et tendent à montrer qu'Obama a favorisé ce donnant-donnant pas très avouable, c'est évidemment parce que l'ambiance a changé avec la présidence Trump. Celui-ci juge que le Hezbollah fait partie des ennemis des États-Unis et que le traité signé avec l'Iran est un marché de dupes. Du coup, on peut s'interroger sur le bien-fondé de ces graves accusations, à quelques semaines du premier anniversaire de l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche.


Et Médiapart ? Ils aiment bien le gros pognon, les réseaux obscurs et tous les merdiers. BEN QUE DALLE !

En ce moment le journal à Plenel (j'cause grave hein ?), n'arrête pas de parler de JERUSALEM ET DU ZBOUB DE TRUMP !

Si si...Allez-y..."La revanche des femmes américaines contre Trump !". Vachement intéressant...On s'en cogne comme pas possible vu que pour bosser à MEDIAPART t'as pas intérêt à BAISER, Plenel déteste ça !

Dans la foulée, sachez que le Journal à Edwynet qui doit soupirer d'amour d'avoir perdu de vue son Tarik Ramadan (au fait...Toujours que dalle sur la saisine de la justice concernant le frère musulmans ? Humm...Bizarre non ? Trêve de Noël ou arrangements avec les caïds locaux fréristes pour qu'il y ait moins de voitures qui crament durant les fêtes ? Possible.)

Sachez donc qu'une OUVERTE a lieu depuis quelques semaines entre MARIANNE.NET ET MEDIAPART !

Ca chie grave dans la colle entre ces deux là mais vu le pognon que possède le STALINIEN MOUSTACHU A LA SOLDE DES FRERES MUSULMANS, Marianne doit marcher sur des œufs.

C'est qu'il a un pognon fou le PLENEL !

A moins que...Utilisant les mêmes méthodes que cette grosse enflure d'Edwy Plenel, un journaleux d'investigation de Marianne aille vraiment chercher de véritables noises en relançant cette histoire de TVA qui remonte à maintenant beaucoup d'années mais pas assez pour que l'administration fiscale ne mette une chape dessus. ON PARLE TOUT DE MÊME DE PLUS D'UN MILLION ET DEMI D'EUROS !

Ah on rigole moins Plenel ?

Si jamais un journal a un blème pour payer ses impôts ou autres il n'a qu'à demander L'AMENDEMENT PLENEL SUR LA TVA !

Là, ça va être fendard et plus redoutable que les éternels petits articles peu ou prou "assassins" des uns et des autres.

LE STALINISME MEDIAPARTISTE NE PASSERA PAS !

Prends ça dans ton cul PLENEL !