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LA BOMBE ANTI-OBAMA

MessagePublié: Décembre 18th, 2017, 2:21 pm
par Nina
Paru en premier lieu sur un site d'information pro-Obama et casé "centre gauche", le site d'information POLITICO vient tout bonnement de révéler que l'ex-Président Obama a bel et bien fait cesser les enquêtes sur le blanchiment d'argent de la drogue du Hezbollah afin de préserver les négociations sur le nucléaire Iranien en cours qui aboutiront aux ACCORDS DE VIENNE.

J'insiste lourdement selon certains sur cette BOMBE contre Obama car cela démontre surtout qu'outre les milliards de blanchiment d'argent que le Hezbollah a fait sur le territoire américain et via la banque libano-canadienne aussi, ce groupe terroriste a pu tranquillement agir à sa guise durant les mandatures du guignol de Washington que le jury des Nobel a trop rapidement honoré.



A global threat emerges

How Hezbollah turned to trafficking cocaine and laundering money through used cars to finance its expansion.

(Une menace mondiale émerge
Comment le Hezbollah s'est tourné vers le trafic de cocaïne et le blanchiment d'argent à travers des voitures d'occasion pour financer son expansion.)


In its determination to secure a nuclear deal with Iran, the Obama administration derailed an ambitious law enforcement campaign targeting drug trafficking by the Iranian-backed terrorist group Hezbollah, even as it was funneling cocaine into the United States, according to a POLITICO investigation.

The campaign, dubbed Project Cassandra, was launched in 2008 after the Drug Enforcement Administration amassed evidence that Hezbollah had transformed itself from a Middle East-focused military and political organization into an international crime syndicate that some investigators believed was collecting $1 billion a year from drug and weapons trafficking, money laundering and other criminal activities.

Over the next eight years, agents working out of a top-secret DEA facility in Chantilly, Virginia, used wiretaps, undercover operations and informants to map Hezbollah’s illicit networks, with the help of 30 U.S. and foreign security agencies.

They followed cocaine shipments, some from Latin America to West Africa and on to Europe and the Middle East, and others through Venezuela and Mexico to the United States. They tracked the river of dirty cash as it was laundered by, among other tactics, buying American used cars and shipping them to Africa. And with the help of some key cooperating witnesses, the agents traced the conspiracy, they believed, to the innermost circle of Hezbollah and its state sponsors in Iran.



They followed cocaine shipments, tracked a river of dirty cash, and traced what they believed to be the innermost circle of Hezbollah and its state sponsors in Iran.



But as Project Cassandra reached higher into the hierarchy of the conspiracy, Obama administration officials threw an increasingly insurmountable series of roadblocks in its way, according to interviews with dozens of participants who in many cases spoke for the first time about events shrouded in secrecy, and a review of government documents and court records. When Project Cassandra leaders sought approval for some significant investigations, prosecutions, arrests and financial sanctions, officials at the Justice and Treasury departments delayed, hindered or rejected their requests.

The Justice Department declined requests by Project Cassandra and other authorities to file criminal charges against major players such as Hezbollah’s high-profile envoy to Iran, a Lebanese bank that allegedly laundered billions in alleged drug profits, and a central player in a U.S.-based cell of the Iranian paramilitary Quds force. And the State Department rejected requests to lure high-value targets to countries where they could be arrested.

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“This was a policy decision, it was a systematic decision,” said David Asher

Veteran U.S. illicit finance expert sent from Pentagon to Project Cassandra to attack the alleged Hezbollah criminal enterprise.
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, who helped establish and oversee Project Cassandra as a Defense Department illicit finance analyst. “They serially ripped apart this entire effort that was very well supported and resourced, and it was done from the top down.”


"C'était une décision politique. Une décision systématique ", a déclaré David Asher.

(Un vétéran américain, un expert en finance illicite envoyé par le Pentagone sur le Projet Cassandra afin de s'attaquer à l'entreprise criminelle présumée du Hezbollah.)
×
, qui a aidé à établir et à superviser le projet Cassandra en tant qu'analyste des finances illicites du Département de la Défense. "Ils ont sciemment démoli tout cet effort qui était très bien soutenu et financé, et cela a été fait de haut en bas."



C'EST ENORME !!!

Le Président des Etats-Unis a moins de pouvoir en fait qu'un président français. De Gaulle voulait un exécutif fort et sa constitution sous laquelle nous sommes toujours gouvernés prouve que "l'homme au-dessus des partis" avait de grands moyens d'interférer avec le pouvoir législatif et judiciaire pour "raisons d'état" et autres conneries.

Aux USA, interférer avec une enquête du FBI et de la DEA est très grave. Même en invoquant des raisons impérieuses pour l'état, Obama n'a absolument pas le droit de demander de cesser une enquête en cours.

Le Congrès doit être absolument saisi car le Président est comptable devant lui de la moindre décision concernant le pays.


Le seul moment où il se retrouve seul à décider après consultation des généraux du Pentagone ce sera pour lancer une offensive ou contre-offensive militaire et bien entendu le bouton rouge pour le nucléaire.

Ceci est très grave et les pitreries d'Obama pour Noël ne l'aideront en rien lorsqu'il sera convoqué devant une commission sénatoriale pour répondre des accusation d'entraves à des investigations sur un groupe terroriste dont les réseaux s'étendent sur toute l'Amérique Latine et à quelques kilomètres à peine des Etats-Unis au sud (Mexique) et au Nord par le Canada.

Voilà sans doute pourquoi les guide suprême et Président Iraniens peuvent répondre de façon outrancière à ce qu'ils appellent les "abus de Trump" lorsqu'il reconnait Jérusalem pour capitale de l'état d'Israël.

Si l'administration de Trump (hélas pas vraiment au point) et les agents de la DEA et du FBI alors en place au moment où ils ont du renoncer à démanteler des réseaux de TONNES DE DROGUES ET MEDICAMENTS CONTREFAITS, générant des milliards de dollars, se penchent sur cet extraordinaire révélation et scandale, elle se referait une beauté certes mais surtout pourrait endiguer le pire problème d'insécurité à l'intérieur des Etats-Unis.

Il ne s'agit même pas d'une posture politicienne en l'espèce. Si le porte-parole de la maison blanche assure, il pourrait insister sur le fait que le Hezbollah devenu GRAND GERANT DE LA DROGUE ET BLANCHISSEUR D'ARGENT DANS LE PAYS, représente une menace sécuritaire intérieure d'une grande ampleur.

De plus, Trump devra aborder ce problème à la racine en demandant des comptes aux pays qui ont accepté que le Hezbollah puisse supplanter, remplacer les cartels démantelés de Medellin et autres.

Il s'agit d'avoir une politique cohérente concernant tous ces pays qui acceptent le Hezbollah comme patrons et notamment le Vénézuéla qui a pu obtenir ainsi du temps de Chavez déjà d'armements grâce au blanchiment d'argent.

Demandons-nous à l'issue d'un tel scandale si les "accords de Vienne" pourraient être remis en questions légitimement par les Etats-Unis ?

Dans un premier temps NON. L'UE, la Russie, la Chine iront dans le sens opposé histoire de marquer leurs territoires de demandeurs de pétrole et de gaz aux iraniens. Idem pour les allemands : le business bon sang !

Toutefois, eux aussi devraient regarder ce qui se passe chez eux !

Prenons l'UE puisque nous sommes dedans. Avons-nous des réseaux chiites du Hezbollah en France de drogue ? Sans hésitation nous pouvons répondre OUI.

D'une part, le Hezbollah peut, à partir des Antilles (spécialisé depuis longtemps dans le transit de drogues dures), faire partir sur toute l'Europe des cargaisons de coke et de médicaments contrefaits que des imbéciles achètent sur le net.

D'autre part, à partir de Berlin, étant donné la bonne place que l'Allemagne a donné aux services secrets iraniens (Vevak), les attentats terroristes et les valises diplomatiques vont bon train.

Le Hamas est à la ramasse ! Il se croyait le seul sur le marché à pouvoir jouir du label "palestiniens opprimés" et voyager en jets privés pour ramener des armes, de la drogue et de l'argent liquide, il s'est fait doubler par les chiites du Hezbollah.

Il ne reste plus au Hamas qu'à S'ASSOCIER AVEC LE HEZBOLLAH pour ne pas perdre les miettes que ce dernier voudra bien lui laisser...pour la lutte...

Obama et sa famille chérie vont passer un Noel peu apaisé semble-t-il car les claviers crépites du côtés des Trumpistes.

Rien de plus normal au fond puisque les démocrates n'ont pas cessé d'inspecter jusqu'au fond de la culotte du Président.

Une dernière remarque dans la foulée de la bonne INFO DE NOEL, c'est le communiqué du Kremlin signé de Poutine lui-même remerciant son homologue Trump pour l'avoir averti qu'un attentat de grande envergure allait avoir lieu à Moscou.


Que pouvons-nous déduire de cette information ?

D'une part, que Poutine est redevable certes mais qu'il n'est pas et son pays épargné par les djihadistes !!!

Bien qu'ayant solutionné à court terme le problème Tchétchène, il n'est guère à l'abri d'un attentat d'envergure. Cela devrait logiquement l'inciter à trouver les arabes ou les musulmans quelque peu...tordus, déjantés et prêts à le mettre à terre...lui...le Tsar !

D'autre part, si les chiites via le Hezbollah commettent un attentat sur le sol russe, c'en serait sans doute fini non seulement de l'accord de Viennes (les russes et non Poutine pourraient aller dans la rue) mais de plus, cela isolerait l'Iran.

Reste l'UE qui est si incapable d'avoir une politique étrangère et navigue à vue depuis toujours : elle fera ce que les 2 géants feront car elle est dépendante du parapluie américain et de la bonne "volonté" de Poutine de ne pas envenimer les problèmes ukrainiens.

ET LES PALESTINIENS ?

Sur le carreau ! Les merdes volent en escadrille disait Chirac.

Les PANAMA PAPERS font état des millions des fils de Mahmoud Abbas ainsi que du Raïs lui-même ! Sous couvert de Holdings pour la Palestine, on se goinfre à Ramallah et même à Gaza.

Si, après avoir vu tout cela les Européens donnent encore de l'argent, c'est à désespérer de l'UE et de sa foutue moralité à géométrie variable.

Mieux encore, Mahmoud Abbas a beau faire des tournées interminables jusqu'en Arabie Saoudite, en Turquie, partout où il peut, TOUT LE MONDE LUI TOURNE LE DOS !

Plein le dos des palos ? Il semble que oui. Le phénomène a enfin lassé les arabes du coin mais pas ceux qui demeurent en Europe. Nous avons donc la signature parfaite de l'antisémitisme arabo-musulman puisque 600 000 morts en Syrie ne provoquent aucune colère chez eux mais une dizaine de morts en Judée Samarie et les synagogues sont vandalisées.

Si ce problème n'est pas pris en compte rapidement, nous pourrons affirmer sans complexe que le Président Macron est D'ACCORD avec les néo-français qui sévissent tous les jours contre la France et contre les juifs de France.


NB : Un pote pourrait traduire l'article de Politico ? J'ai du boulot !