LA MUSIQUE REND LIBRES LES HOMMES
Publié: Novembre 14th, 2017, 10:55 am
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Ce que vous allez visionner est jouissif sur le moment.
Pourtant, la dimension coranique ou plutôt la relation du prophète à la musique est si détestable que cet art indispensable est proscrit dans l'islam.
La reine des Pays-Bas et ses amis viennent assister à un concert de musique classique. Le chef d'orchestre est musulman.
Il n'a pu s'empêcher de commencer sa représentation avant de réciter des versets du Coran et à aller plus loin encore en demandant à l'assistance venue pour écouter de comprendre que seul Allah est le vrai D.ieu.
Les musiciens, ulcérés, quittent tous leurs places et le public applaudit cette décision.
Mieux encore, un musicien vient lui retirer son micro et le fait sortir de la scène.
La caméra s'attarde un peu en coulisses et on voit des hommes (sans doute appartenant à la sécurité) lui demandant une pièce d'identité.
Si on ignore la haine profonde de Mahomet à l'égard de la musique, on ne peut comprendre comment ce fondamentaliste qui a étudié cet art au point de devenir chef d'orchestre, redevient un bédouin stupide qui n'a absolument rien compris ni à l'islam (qui condamne la musique) ni à la musique qui élève l'âme.
La musique est une science sacrée, celle qui apaise l'âme, celle qui l'élève au-dessus de toutes les contingences terriennes.
Voilà pourquoi on peut s'avancer et dire du prophète qu'il était aliéné, incapable de s'élever au-dessus des hommes et des guerres.
Un art, une science, un réseau pour employer un terme moderne qui vous emporte dans un ailleurs que vous choisissez.
Est ce précisément pour cette raison que Mahomet haïssait la musique ? Sans l'ombre d'un doute. Elle aurait désacralisé son personnage et ses prescriptions approximatives et mensongères.
Imaginez vous un monde sans Bach, Beethoven, Schubert, Mozart et tant d'autres génies musicaux ?
Dans le judaïsme, il n'est pas anodin de relater les "séances" du petit David jouant de sa harpe pour apaiser le Roi Saül.
Aujourd'hui, on appelle cela de la musicothérapie ! Des milliers d'années alors, un petit berger comprit le besoin, la soif d'apaisement et l'élévation de l'âme grâce aux sons de son instrument.
Du blues des esclaves noirs qui parvenaient avec une corde tendue au linteau de leurs portes et des chants aux mélodies rocailleuses du bluegrass en passant par toutes ces musiques extraordinaires qui ont fait bien plus pour les hommes que tout autre art sans doute, l'islam a condamné.
Si certains se souviennent de ces images de Kaboul libéré des taliban, ils comprendront encore mieux ce que je tente d'exprimer.
La première chose que firent les Afghans après le départ des meurtriers talibans fut de se procurer une radio, quelque chose pour écouter de la musique. LA MUSIQUE !
Ils avaient été plongés dans le silence morbide rythmé seulement des coups de fouet, de bâton, des mises à mort dans les stades et bien sûr des rafales de kalach.
Leurs âmes et leurs corps meurtris depuis tant d'années n'aspiraient qu'à une seule chose : la musique !
Croyez-vous un instant que nous pourrons parlementer, discuter, s'entendre avec des fidèles dont le dogme range la musique dans le camp de la mécréance ?
Personne, dans aucun débat, n'ose poser cette simple question : pourquoi l'interdiction de la musique ?
Ce que vous allez visionner est jouissif sur le moment.
Pourtant, la dimension coranique ou plutôt la relation du prophète à la musique est si détestable que cet art indispensable est proscrit dans l'islam.
La reine des Pays-Bas et ses amis viennent assister à un concert de musique classique. Le chef d'orchestre est musulman.
Il n'a pu s'empêcher de commencer sa représentation avant de réciter des versets du Coran et à aller plus loin encore en demandant à l'assistance venue pour écouter de comprendre que seul Allah est le vrai D.ieu.
Les musiciens, ulcérés, quittent tous leurs places et le public applaudit cette décision.
Mieux encore, un musicien vient lui retirer son micro et le fait sortir de la scène.
La caméra s'attarde un peu en coulisses et on voit des hommes (sans doute appartenant à la sécurité) lui demandant une pièce d'identité.
Cela prend quelques minutes pour que ce mec qui avait la chance de conduire un orchestre national se conduise en vil frère musulman et confonde musique et prosélytisme.
Si on ignore la haine profonde de Mahomet à l'égard de la musique, on ne peut comprendre comment ce fondamentaliste qui a étudié cet art au point de devenir chef d'orchestre, redevient un bédouin stupide qui n'a absolument rien compris ni à l'islam (qui condamne la musique) ni à la musique qui élève l'âme.
La musique est une science sacrée, celle qui apaise l'âme, celle qui l'élève au-dessus de toutes les contingences terriennes.
Voilà pourquoi on peut s'avancer et dire du prophète qu'il était aliéné, incapable de s'élever au-dessus des hommes et des guerres.
Un art, une science, un réseau pour employer un terme moderne qui vous emporte dans un ailleurs que vous choisissez.
Est ce précisément pour cette raison que Mahomet haïssait la musique ? Sans l'ombre d'un doute. Elle aurait désacralisé son personnage et ses prescriptions approximatives et mensongères.
Imaginez vous un monde sans Bach, Beethoven, Schubert, Mozart et tant d'autres génies musicaux ?
Dans le judaïsme, il n'est pas anodin de relater les "séances" du petit David jouant de sa harpe pour apaiser le Roi Saül.
Aujourd'hui, on appelle cela de la musicothérapie ! Des milliers d'années alors, un petit berger comprit le besoin, la soif d'apaisement et l'élévation de l'âme grâce aux sons de son instrument.
Du blues des esclaves noirs qui parvenaient avec une corde tendue au linteau de leurs portes et des chants aux mélodies rocailleuses du bluegrass en passant par toutes ces musiques extraordinaires qui ont fait bien plus pour les hommes que tout autre art sans doute, l'islam a condamné.
Si certains se souviennent de ces images de Kaboul libéré des taliban, ils comprendront encore mieux ce que je tente d'exprimer.
La première chose que firent les Afghans après le départ des meurtriers talibans fut de se procurer une radio, quelque chose pour écouter de la musique. LA MUSIQUE !
Ils avaient été plongés dans le silence morbide rythmé seulement des coups de fouet, de bâton, des mises à mort dans les stades et bien sûr des rafales de kalach.
Leurs âmes et leurs corps meurtris depuis tant d'années n'aspiraient qu'à une seule chose : la musique !
Croyez-vous un instant que nous pourrons parlementer, discuter, s'entendre avec des fidèles dont le dogme range la musique dans le camp de la mécréance ?
Personne, dans aucun débat, n'ose poser cette simple question : pourquoi l'interdiction de la musique ?