Elle peut nous la jouer "mère douleur" depuis des années, la torchonnée de l'affaire Merah n'a pu réfréner son moi profond.
Vous pouvez croire ou ne pas croire ce commentaire. Il émane d'une amie sur Facebook et, bien que mes sources soient limitées, je me sens le devoir de tout de même de le relayer :
"Le témoignage de Katia Chennouf : Témoignage de Katia Chennouf mère d'Adel Chennouf Meyer tué par Mohamed Merah, au sujet de Latifa Ibn Ziaten la nouvelle "Marianne" de la république.
"Katia Chennouf: "pardonne-moi de t'avoir encore et encore obligée à redire les faits. Oui le soir de la veillée mortuaire des 3 soldats, Imad, Abel et Mohamed, les parents d'Abel ont trouvé le cercueil de leur fils "dans un coin".
Eloigné des deux autres, installés, eux, sous le grand chapiteau. Abel, seul, veillé par ses camarades soldats. Vous êtes nombreux à connaître Albert Chennouf-Meyer.
Qui donc est allé demander des comptes:
"Oui ce corps-là, non musulman, ne pouvait donc être aux côtés des deux autres, "impur" qu'il était.
Les ordres venaient de "plus haut". "Plus haut", là où on céda donc à la chantre du vivre ensemble. Là où on fabriqua de toutes pièces cette créature, par opportunisme. Par lâcheté. Indignité. Vivre ensemble, combattre ensemble, mais pas être veillés ensemble. Et puisqu'on se penche sur mon acharnement à déconstruire cette figure sainte, je continue.
Salle Voltaire, lorsque qu'Albert et Katia sont passés devant cette dame qui prêche dans nos écoles, face à nos enfants, elle n'a pas retenu un "allez voir au diable chez les Juifs", bien sûr en arabe, vous savez ces expressions figées dont nous parla Bensoussan, et là, ils sont nombreux à l'avoir entendue, à défaut de l'avoir comprise. Mais Katia Chennouf parle arabe."
LA MATER DOLOROSA LATIFA IBN ZIATEN N'A PU S'EMPECHER DE SORTIR SON ANTISEMITISME ARABO-MUSULMAN BASIQUE !
Tranquillement, sans que cela ne puisse être rapporté à moins de comprendre l'arabe bien entendu.
Or, de façon oserais-je dire, tripale, je suis certaine que les vieux réflexes sur les injures en arabe reviennent instantanément lorsqu'on est en colère.
J'ai souvent moi-même entendu des arabes s'exprimer dans les transports en commun et croyez-moi, ils osaient tout et notamment ces injures sur les juifs ou sur les putes que nous sommes puisque françaises et non voilées.
Je n'ai jamais ou alors à quelques rares exceptions près, fait mine que je comprenais ce qu'ils disaient non par lâcheté mais parce que je n'aurai pas eu gain de cause sur le public présent soit dans le bus ou le métro.
De plus, je voulais en entendre d'avantage.
Je maudis le jour où j'ai refusé d'apprendre vraiment l'arabe. Je ne savais pas combien il m'aurait été utile un jour mais que voulez-vous...je pensais France et pas Francarabia.
Il n'empêche que les injures, ça oui...je les connais et je les comprends dans toutes les largeurs.
Cette grosse salope qui a bouffé l'espace des autres victimes est non seulement torchonnée et hypocrite mais si Katia Chenouf-Meyer persiste pour la dénoncer, je ne lâcherais pas.
Je doute qu'après, elle puisse se rendre en Israel et être ainsi capable d'aller fleurir la tombe du Raïs Yasser Arafat !
Il faut donc aminches chéris que vous disiez la vérité : les sources ne sont pas totalement fiables à moins que Mme Katia Chenouf-Meyer en parle ouvertement.
D'autre part, même si c'est absolument authentique, Mme Chenouf-Meyer voudra-t-elle ENCORE SE FADER UN PROCES car n'en doutons pas un instant, blindée de fric et auréolée de gloire depuis des années, Latifa Ibn Ziaten aura une cohorte d'avocats.
Nous en resterons donc là hélas ! J'aime lorsque les masques tombent vraiment.
PS : Une dernière chose. Je ne peux m'empêcher de penser à toutes ces familles arabes "palestiniennes" vivant grâce aux martyrs de leurs enfants.
C'est fou ce que la mort de son fils chéri a rapporté en fortune et gloire à Latifa ! Dingue !
Quand on pense à l'humilité des parents des autres victimes, cela me fout vraiment la rage.