NETTOYER LES ECURIES D'AUGIAS
Publié: Mars 30th, 2012, 12:44 pm
sous-titre : LA CIRCULATION DU FRIC ISLAMISTE
Bien le coup de filet de ce matin. 17 membres de Forzane Alizza arrêtés, bel effort !
Pourtant, combien d'autres associations se présentant d'abord comme des défenseurs de la cause palestinienne se cachent-elles d'un salafisme, wahabisme affirmés ?
Que ne vont-ils pas fouiller du côté des affreux du « Comité Cheikh Yassine » qui pourrit la vie de beaucoup d'entre nous ?
. Le « Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens » interdit au Canada et aux USA se porte bien, merci pour eux. Ils peuvent transférer tout le fric qu'il veut sans avoir à craindre de souci sur sa provenance par les service du FISC.
C'est bien d'aller chercher les fuites des riches Français pour les balancer, c'est moins bien de s'intéresser au djihad économique qui a pris ses marques depuis belle lurette.
Les Palestiniens sont des arbres qui cachent la forêt du djihad islamique qui entend bien se servir des moindres rouages des sociétés occidentales pour faire ce qu'il veut.
Tout est bon pour faire circuler l'argent et il n'y a pas si longtemps, les sociétés secrètes préférées des djihadistes se trouvaient chez les mafias russes, ukrainiennes, les triades japonaises et chinoises ainsi que les centaines de milliers de sociétés écran de par le monde.
Après le 11 septembre 2001, il devint urgent pour beaucoup de services secrets occidentaux de mettre un terme à ces transactions en en laissant quelques unes pour plaire à l'ami Saoudien souteneur en chef de la cause islamique.
C'est alors que les djihadistes eurent recours à une vieille tradition datant des premières conquêtes musulmanes : le HAWALA, système permettant de déplacer de l'argent sans laisser de traces écrites.
Chaque communauté musulmane possède ses hawaladars. Ces courtiers peuvent être de petits commerçants, chauffeurs de taxi, entrepreneurs ou imams.
Ils doivent jurer le secret et être admis qu'en étant parrainé par un hawaladar.
Système basé sur la confiance, le contrevenant s'expose à la mort ainsi que celle de sa famille si d'aventure il jouait les « fils de l'air ».
Très simple, tout le monde y gagne mais surtout en opacité.
Le hawaladar remet une somme à un autre hawaladar afin qu'il achemine cette somme vers une destination X ou Y. Le hawaladar ajoute une taxe d'environ 0,5 % du montant à transférer. Il contacte le destinataire (téléphone, fax, mail) en y ajoutant un code personnel.
Il ne reste plus au destinataire qu'à réceptionner ou à re-transférer de même.
Aucun service fiscal ne pourra remonter vers la source. Est ce de l'argent du grand banditisme ? De la drogue ? De trafics en tout genres ? Nous ne pourrons le savoir.
Aucun procédé bancaire ne peut égaler ce système qui n'est pas vraiment d'origine arabe comme ces derniers le revendiquent mais appartient à l'histoire du haut-moyen-âge et était pratiqué par des tribus juives radhanites.
Les compagnons de Mahomet s'emparèrent aussi des comptoirs des radhanites qui avaient ouvert depuis longtemps la fameuse route de la soie.
Alors, personnellement les fuiteurs de capitaux ne sont guère patriotes mais nos Français nouveaux ne le sont guère non plus.
Mieux encore, des apostats musulmans m'ont confié la rage qu'ils avaient lorsqu'ils tentaient de louer des appartements à des bi-nationaux algériens et marocains qui continuent de s'enrichir à coups de détournements d'aides sociales.
Il n'est pas rare de trouver un RSAiste propriétaire de plusieurs appartements, voire d'immeubles entiers bâtis grâce aux subsides de la CAF.
En Algérie, des morts touchant parfois 15 ans après leur enterrement des pensions vieillesse sont nombreux.
Que dire des familles polygames ? Combien coûtent-elles ? Combien sont-elles ?
Pour en revenir au nerf de la guerre : l'argent, qui circule tranquillement grâce au système HAWALA, il peut aussi bien convenir à tous les djihadistes mais peut devenir intéressant à toutes les entreprises criminelles de plus en plus repérables grâce au système de traçages des flics du fisc du monde entier.
Ils peuvent bien essayer de nous endormir avec leur charitable « économie islamique » conforme à la charia, les pouvoirs publiques sont assez bêtes pour y croire et mettre en route des cursus universitaires mis en place que pour plaire aux états du Golfe, nous ne sommes pas dupes. Ces cursus sont des facteurs prosélytes puisqu'il faut à l'étudiant apprendre le Coran avant de se pencher sur l'économie halal.
Les excités de France et de la City ont de beaux jours devant eux : le crime organisé et l'islam peuvent faire absolument tout si on ne nettoie pas les écuries d'Augias.
Bien le coup de filet de ce matin. 17 membres de Forzane Alizza arrêtés, bel effort !
Pourtant, combien d'autres associations se présentant d'abord comme des défenseurs de la cause palestinienne se cachent-elles d'un salafisme, wahabisme affirmés ?
Que ne vont-ils pas fouiller du côté des affreux du « Comité Cheikh Yassine » qui pourrit la vie de beaucoup d'entre nous ?
. Le « Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens » interdit au Canada et aux USA se porte bien, merci pour eux. Ils peuvent transférer tout le fric qu'il veut sans avoir à craindre de souci sur sa provenance par les service du FISC.
C'est bien d'aller chercher les fuites des riches Français pour les balancer, c'est moins bien de s'intéresser au djihad économique qui a pris ses marques depuis belle lurette.
Les Palestiniens sont des arbres qui cachent la forêt du djihad islamique qui entend bien se servir des moindres rouages des sociétés occidentales pour faire ce qu'il veut.
Tout est bon pour faire circuler l'argent et il n'y a pas si longtemps, les sociétés secrètes préférées des djihadistes se trouvaient chez les mafias russes, ukrainiennes, les triades japonaises et chinoises ainsi que les centaines de milliers de sociétés écran de par le monde.
Après le 11 septembre 2001, il devint urgent pour beaucoup de services secrets occidentaux de mettre un terme à ces transactions en en laissant quelques unes pour plaire à l'ami Saoudien souteneur en chef de la cause islamique.
C'est alors que les djihadistes eurent recours à une vieille tradition datant des premières conquêtes musulmanes : le HAWALA, système permettant de déplacer de l'argent sans laisser de traces écrites.
Chaque communauté musulmane possède ses hawaladars. Ces courtiers peuvent être de petits commerçants, chauffeurs de taxi, entrepreneurs ou imams.
Ils doivent jurer le secret et être admis qu'en étant parrainé par un hawaladar.
Système basé sur la confiance, le contrevenant s'expose à la mort ainsi que celle de sa famille si d'aventure il jouait les « fils de l'air ».
Très simple, tout le monde y gagne mais surtout en opacité.
Le hawaladar remet une somme à un autre hawaladar afin qu'il achemine cette somme vers une destination X ou Y. Le hawaladar ajoute une taxe d'environ 0,5 % du montant à transférer. Il contacte le destinataire (téléphone, fax, mail) en y ajoutant un code personnel.
Il ne reste plus au destinataire qu'à réceptionner ou à re-transférer de même.
Aucun service fiscal ne pourra remonter vers la source. Est ce de l'argent du grand banditisme ? De la drogue ? De trafics en tout genres ? Nous ne pourrons le savoir.
Aucun procédé bancaire ne peut égaler ce système qui n'est pas vraiment d'origine arabe comme ces derniers le revendiquent mais appartient à l'histoire du haut-moyen-âge et était pratiqué par des tribus juives radhanites.
Les compagnons de Mahomet s'emparèrent aussi des comptoirs des radhanites qui avaient ouvert depuis longtemps la fameuse route de la soie.
Alors, personnellement les fuiteurs de capitaux ne sont guère patriotes mais nos Français nouveaux ne le sont guère non plus.
Mieux encore, des apostats musulmans m'ont confié la rage qu'ils avaient lorsqu'ils tentaient de louer des appartements à des bi-nationaux algériens et marocains qui continuent de s'enrichir à coups de détournements d'aides sociales.
Il n'est pas rare de trouver un RSAiste propriétaire de plusieurs appartements, voire d'immeubles entiers bâtis grâce aux subsides de la CAF.
En Algérie, des morts touchant parfois 15 ans après leur enterrement des pensions vieillesse sont nombreux.
Que dire des familles polygames ? Combien coûtent-elles ? Combien sont-elles ?
Pour en revenir au nerf de la guerre : l'argent, qui circule tranquillement grâce au système HAWALA, il peut aussi bien convenir à tous les djihadistes mais peut devenir intéressant à toutes les entreprises criminelles de plus en plus repérables grâce au système de traçages des flics du fisc du monde entier.
Ils peuvent bien essayer de nous endormir avec leur charitable « économie islamique » conforme à la charia, les pouvoirs publiques sont assez bêtes pour y croire et mettre en route des cursus universitaires mis en place que pour plaire aux états du Golfe, nous ne sommes pas dupes. Ces cursus sont des facteurs prosélytes puisqu'il faut à l'étudiant apprendre le Coran avant de se pencher sur l'économie halal.
Les excités de France et de la City ont de beaux jours devant eux : le crime organisé et l'islam peuvent faire absolument tout si on ne nettoie pas les écuries d'Augias.