LA PIECE A VERSER AU DOSSIER MERAH ?
Publié: Octobre 3rd, 2017, 10:02 am
Ce collectif de juifs qui a infiltré beaucoup de manifs pro-palestiniennes malgré le danger a fait plusieurs vidéos intéressantes.
J'ai moi-même fait exactement pareil pour entendre et voir qui étaient ces nombreux islamo-gauchistes qui ne loupent jamais un événement où on conspue et hait les juifs en toute tranquillité.
Ce que dit le flic, non filmé heureusement, "CELA VIENT DE PLUS HAUT, DU CABINET DU MINISTRE" pour la permission de manifester par un groupe normalement dissout et une organisation figurant sur les listes terroristes fait froid dans le dos.
Pourquoi ? Parce que ces événements prennent place en 2014 !
Si les Ministres, préfets avaient vraiment respecté le droit et l'anti-racisme énoncé dans les lois, aurions-nous eu l'affaire Merah ainsi que les autres actes de terrorisme contre les juifs ?
N'y a-t-il pas précisément à cette époque pas si lointaine une forme de LICENCE POUR TUER donnée à ces groupes radicaux aussi nuisibles que les néo-nazis ?
Le gouvernement est donc fautif ? Quelle partie va évoquer cette ambiance délétère au moment où le jugement Merah est en cours ?
Quel avocat aura les couilles d'en parler de toutes ces manifestations qui ont donné des prétextes à des gens dont l'esprit est bouffé par la haine anti-juive à passer à l'acte et surtout adoubé par le gouvernement en place ?
Je connaissais cette vidéo mais le temps donne une autre perspective aux choses. 3 années auparavant, un groupe normalement interdit comme le comité Cheikh Yassin peut manifester et hurler des horreurs anti-juives en plein Paris ?
C'est ça le sérieux des pouvoirs publics ou bien devrais-je dire est ce UNE FORME DE COMPLICITE ACTIVE dans les événements qui ont précédé et suivi ces manifestations à répétition ?
Il devrait donc y avoir une AUTRE PARTIE CIVILE CONTRE LE GOUVERNEMENT DE L'EPOQUE qui a laissé s'instaurer sans remord cette forme de "droit de tuer" en laissant un groupe terroriste tous les droits d'inciter aux meurtres de juifs. Une partie civile agissant dans le procès Merah pour le compte des juifs de France mis en danger par les cabinets du Ministre et du Préfet.