L'EMBRASEMENT ANTISÉMITE AUX USA
Publié: Avril 12th, 2017, 10:15 am
Là où l’islam passe, la démocratie trépasse.
Depuis l’avènement du chouchou des médias démocrates aux Etats-Unis, Edward Saïd, tous les pays arabes riches de pétro-dollars ont pu investir par centaines de millions de dollars qui se sont mués maintenant en milliards, dans une propagande antisémite d’une rare violence.
L’exotisme que représentait Edward Saïd concernant son « orientalisme » fut surtout interprété par l’intelligentsia juive américaine ainsi que par les groupes dits de gauche, comme un moyen de « révolutionner » un système où l’idéologie manquait cruellement après la guerre froide.
Que faire ? Que combattre ? Car pour la classe intellectuelle et universitaire, trouver d’abord un ennemi est indispensable pour survivre et engager un pseudo-idéal sur toute une vie.
La cause palestinienne, incrustée aux forceps par le New York Times, Edward Saïd et tout un pan de la société juive américaine réformée et loin, voire très loin d’un judaïsme traditionnel, a réussi à prendre tellement de place que ces « ex-juifs » qui se présentent toujours comme juifs, peuvent enfin s’exprimer clairement sur le peu de cas qu’ils font du peuple dont ils sont pourtant issus.
Ils n’ont pas seulement oublié qui ils étaient et de quelle façon leurs familles ont atterri ou amerri aux USA. Ils ont perdu la mémoire et c’est ce qui fait d’eux des juifs dangereux, des juifs honteux, des juifs antisémites.
Comment comprendre sinon la haine qu’ils éprouvent à l’égard d’un état juif parfaitement respectable car pleinement démocratique et défendent étrangement un dogme et un peuple dont personne avant 1967 n’avait jamais entendu parler ?
Encore une fois, la nature a horreur du vide et les intellectuels américains sont la preuve que sans combat idéologique, ils doivent retourner dans la recherche fondamentale et cela les ennuie terriblement car les caméras et les micros sont beaucoup moins présents. Or, les égos de ces têtes pensantes ont un besoin tout aussi pressant que le banlieusard du 93 de s’admirer sur youtube ou à la télé.
Etre un intellectuel américain est une chose. Etre un intellectuel américain dont on reproduit la moindre phrase idéologique en est une autre. On n’échappe pas à ce petit moment de gloire qui fera vendre le dernier essai aussi fastidieux à lire soit-il.
L’embrasement des universités américaines provient uniquement des étudiants arabes qui ont pris racines grâce aux deniers saoudiens, qataris et autres pays du golfe.
Mais aujourd’hui, la parole s’est envolée ! On peut absolument tout dire et tout faire pour déclarer sa haine des juifs sans aucune conséquences.
Cette parole libérée comme celles-ci :
(J’ai finalement trouvé ce que j’allais faire de ma vie, je vais terminer ce qu’Hitler a commencé ! Et rajouter des noirs à ma liste aussi !).
Je vais ramener des pierres à l’école lundi. Je foutrai la merde à la bibliothèque : les juifs ont intérêt à se planquer !.
Il y a ainsi des milliers de tweets, totalement décomplexés qui ne font pas seulement sourire les arabes américains mais aussi et cela n’est pas banal arrivent à fédérer les étudiants de gauche et les suprématistes d’extrême droite.
Enfin ! Oserais-je dire…L’antisémitisme arrive à unir des gens qui n’ont absolument rien en commun sinon une haine inouïe des juifs pour différentes raisons.
Parmi ceux là, il y a aussi ces ex-juifs qui, pour avoir l’âme un peu moins tourmentée, iront jusqu’à émarger à JStreet afin de cautionner une « paix » pour les terroristes et non une reconnaissance de l’état d’Israël sur les 22 % restant de la Palestine historique.
Des milliers de déclarations via les tweets, Facebook ou instagramme pour jeter toute sa haine des juifs, se baladent sur les réseaux de tous les USA jusqu’au Canada voisin.
C’est à peu près tout ce qu’il reste comme façon de résister pour ces juifs qui ont du mal à regarder et entendre tous les jours ces appels aux meurtres des juifs. Les statistiques ont explosé sur ces actes antisémites.
Pire encore, Linda Sarsour, la nouvelle égérie féministe et voilée de l’Amérique a réussi un coup magistral de pub pro-islamique qui a complètement occulté la véritable nature de cette femme aussi hypocrite et islamiste qu’antisémite.
Elle cadre bien dans les décors télévisuels. Elle est photogénique et en plus, elle serait « palestinienne » d’origine, ce qui lui confère une aura particulière auprès du public arabo-gauchiste américain.
Récemment, pour étaler en grand sa magnanimité et sa « bonté islamique », elle fit une levée de fond afin de reconstruire un cimetière juif vandalisé. Par qui ? Nul ne le sait à ce jour et cela n’a presque aucune importance.
Ce qui l’est par contre, c’est ce que véhicule Linda Sarsour, à savoir une haine pathologique des juifs qu’elle a appris à dissimuler depuis qu’elle a grandi à Brooklyn et qu’elle dut accepter à 17 ans un mariage forcé.
Partisane de l’application de la charia et bien évidemment de tout ce qui pourrait détruire Israël, son coup de pub de « levée de fonds pour le cimetière juif », en a fait une personne respectable ce qui n’est absolument pas le cas.
Des rabbins s’y sont laissés prendre ainsi que bon nombre d’associations juives telles que JStreet et l’Anti-difamation League qu’on aura connu plus éclairée avant sa nouvelle direction par Jonathan Greenblatt.
L’AIPAC est aussi infiltré par des tenants de « 2 états pour 2 peuples » façon JStreet. Il est, à l’instar du CRIF, totalement bousculé par de nouvelles factions et associations souvent arabes et/ou gauchistes qui n’ont qu’une idée en tête, détruire cette institution comme récemment lors de sa grande soirée.
Le Betar et la LDJ sécurisaient les alentours mais un américano-arabe a réussi l’exploit de se faire taper dessus lors de la manifestation des anti-AIPAC par un membre de la sécurité.
C’était précisément le but à atteindre. Un petit martyr arabe devant l’AIPAC est du nanan pour le New York Times et affiliés.
La LDJ ne compte pas se laisser faire devant les tribunaux et ont du « matériel » concernant cet homme qui fut effectivement giflé par un gardien de la Ligue de défense juive.
Si les médias de gauche ont diffusé la vidéo, il se trouve que celle-ci est largement tronquée et qu’on ne voit pas ce que cet arabe a dit et hurlé durant de longs moments à l’adresse de la sécurité de la LDJ. Possédant les provocations faites en amont, la LDJ compte bien diffuser TOUTE la vidéo et prouver ainsi que cet homme voulait un affrontement physique. On appelle ceci « pousser à la faute » comme dans une compétition sportive.
Pour résumer la situation, les USA sont maintenant divisés entre pro et anti-Trump mais à l’intérieur de cette division on note une sorte de consensus concernant les juifs et Israël entre factions normalement inconciliables.
Des suprématistes signant un projet BDS avec des gauchistes et des arabes, il y a de quoi parler de sur-réalisme !
Les mêmes adorateurs du Klan peuvent s’associer, le temps d’une pétition avec des noirs de « black lives matter » au nom de l’anti-sionisme. Cela aussi est absolument incroyable.
Le terreau juif est devenu synonyme de guerres larvées et d’unions jusqu’à ce jour totalement improbables mais réalisées pourtant.
Nous importons beaucoup d’Amérique. Cette fois-ci n’aurions-nous pas, nous, français et européens, exporté l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme ? Même si la terre américaine était fertile pour ce genre de dérives, nous aurions pensé que la grosse machine de guerre juive se serait mise en branle et que même les intellos anti-israéliens verraient la lumière et ce que cache cet antisionisme.
RIEN ! Ils persistent dans leur aveuglement au point de ressusciter les Noam Chomsky, les Richard Falk ou Bernie Sanders qui ont fait du choix « palestinien » leur plat principal.
En ce premier jour de Seder de Pessah, que devons-nous avoir en tête sinon que notre fête de la liberté retrouvée est plus que jamais de mise ?
Si la transmission n’est pas correctement établie avec nos enfants et/ou petits enfants, nous pouvons redouter le pire pour notre peuple et l’état d’Israël ne pourra pas sauver tout le monde.
C’est à chacun et chacune d’entre nous qu’il appartient de transmettre la volonté farouche de ne jamais laisser tomber un combat qui est ni plus ni moins qu’existentiel.
J’ose parler de SURVIE en l’espèces. On tue impunément des juifs partout dans le monde et il est grand temps que nous nous organisions contre cette guerre intra-juive d’abord afin que nos ennemis ô combien nombreux, sachent que notre unité a toujours été et restera notre meilleure arme.
Ce soir, ayons dans nos pensées que le long voyage et combat entrepris par Moshe Rabbinou notre Maître, (Moïse) n’est pas achevé et que nous devons chaque année relever le défit de l’amour de notre peuple et de son entêtement à survivre malgré la haine.
Nous sommes au-dessus du lot non par vanité mais parce que nous avons une mission d’une extrême importance concernant notre peuple et l’humanité entière.
Hag Pessah Sameah.
Que cette nuit magique vous soit propice à la réflexion car peu à peu, si nous n’y prenons pas garde, nous pourrions retourner en exil, dans ce désert terrible de la pensée.
Depuis l’avènement du chouchou des médias démocrates aux Etats-Unis, Edward Saïd, tous les pays arabes riches de pétro-dollars ont pu investir par centaines de millions de dollars qui se sont mués maintenant en milliards, dans une propagande antisémite d’une rare violence.
L’exotisme que représentait Edward Saïd concernant son « orientalisme » fut surtout interprété par l’intelligentsia juive américaine ainsi que par les groupes dits de gauche, comme un moyen de « révolutionner » un système où l’idéologie manquait cruellement après la guerre froide.
Que faire ? Que combattre ? Car pour la classe intellectuelle et universitaire, trouver d’abord un ennemi est indispensable pour survivre et engager un pseudo-idéal sur toute une vie.
La cause palestinienne, incrustée aux forceps par le New York Times, Edward Saïd et tout un pan de la société juive américaine réformée et loin, voire très loin d’un judaïsme traditionnel, a réussi à prendre tellement de place que ces « ex-juifs » qui se présentent toujours comme juifs, peuvent enfin s’exprimer clairement sur le peu de cas qu’ils font du peuple dont ils sont pourtant issus.
Ils n’ont pas seulement oublié qui ils étaient et de quelle façon leurs familles ont atterri ou amerri aux USA. Ils ont perdu la mémoire et c’est ce qui fait d’eux des juifs dangereux, des juifs honteux, des juifs antisémites.
Comment comprendre sinon la haine qu’ils éprouvent à l’égard d’un état juif parfaitement respectable car pleinement démocratique et défendent étrangement un dogme et un peuple dont personne avant 1967 n’avait jamais entendu parler ?
Encore une fois, la nature a horreur du vide et les intellectuels américains sont la preuve que sans combat idéologique, ils doivent retourner dans la recherche fondamentale et cela les ennuie terriblement car les caméras et les micros sont beaucoup moins présents. Or, les égos de ces têtes pensantes ont un besoin tout aussi pressant que le banlieusard du 93 de s’admirer sur youtube ou à la télé.
Etre un intellectuel américain est une chose. Etre un intellectuel américain dont on reproduit la moindre phrase idéologique en est une autre. On n’échappe pas à ce petit moment de gloire qui fera vendre le dernier essai aussi fastidieux à lire soit-il.
L’embrasement des universités américaines provient uniquement des étudiants arabes qui ont pris racines grâce aux deniers saoudiens, qataris et autres pays du golfe.
Mais aujourd’hui, la parole s’est envolée ! On peut absolument tout dire et tout faire pour déclarer sa haine des juifs sans aucune conséquences.
Cette parole libérée comme celles-ci :
(J’ai finalement trouvé ce que j’allais faire de ma vie, je vais terminer ce qu’Hitler a commencé ! Et rajouter des noirs à ma liste aussi !).
Je vais ramener des pierres à l’école lundi. Je foutrai la merde à la bibliothèque : les juifs ont intérêt à se planquer !.
Il y a ainsi des milliers de tweets, totalement décomplexés qui ne font pas seulement sourire les arabes américains mais aussi et cela n’est pas banal arrivent à fédérer les étudiants de gauche et les suprématistes d’extrême droite.
Enfin ! Oserais-je dire…L’antisémitisme arrive à unir des gens qui n’ont absolument rien en commun sinon une haine inouïe des juifs pour différentes raisons.
Parmi ceux là, il y a aussi ces ex-juifs qui, pour avoir l’âme un peu moins tourmentée, iront jusqu’à émarger à JStreet afin de cautionner une « paix » pour les terroristes et non une reconnaissance de l’état d’Israël sur les 22 % restant de la Palestine historique.
Des milliers de déclarations via les tweets, Facebook ou instagramme pour jeter toute sa haine des juifs, se baladent sur les réseaux de tous les USA jusqu’au Canada voisin.
On n’a jamais vu ça ! Les étudiants juifs n’osent plus se revendiquer comme tels lorsqu’ils se pointent dans leurs universités. Ils rasent les murs et tentent parfois lorsque le courage les prend de s’opposer mollement pour cause de violence physique de la part des étudiants arabes et leurs nouveaux amis de gauche, à une motion pro-BDS.
C’est à peu près tout ce qu’il reste comme façon de résister pour ces juifs qui ont du mal à regarder et entendre tous les jours ces appels aux meurtres des juifs. Les statistiques ont explosé sur ces actes antisémites.
Pire encore, Linda Sarsour, la nouvelle égérie féministe et voilée de l’Amérique a réussi un coup magistral de pub pro-islamique qui a complètement occulté la véritable nature de cette femme aussi hypocrite et islamiste qu’antisémite.
Elle cadre bien dans les décors télévisuels. Elle est photogénique et en plus, elle serait « palestinienne » d’origine, ce qui lui confère une aura particulière auprès du public arabo-gauchiste américain.
Récemment, pour étaler en grand sa magnanimité et sa « bonté islamique », elle fit une levée de fond afin de reconstruire un cimetière juif vandalisé. Par qui ? Nul ne le sait à ce jour et cela n’a presque aucune importance.
Ce qui l’est par contre, c’est ce que véhicule Linda Sarsour, à savoir une haine pathologique des juifs qu’elle a appris à dissimuler depuis qu’elle a grandi à Brooklyn et qu’elle dut accepter à 17 ans un mariage forcé.
Partisane de l’application de la charia et bien évidemment de tout ce qui pourrait détruire Israël, son coup de pub de « levée de fonds pour le cimetière juif », en a fait une personne respectable ce qui n’est absolument pas le cas.
Cette femme est très certainement le pire phénomène médiatique que les USA ont accouché. Partisane du Hamas et du djihad islamique, elle signe toutes les résolutions de BDS et s’assure des tournées nationale dans tous les états afin de promouvoir la haine des juifs qui sont TOUS solidaires par nature de l’état d’Israël « pratiquant l’apartheid ».
Des rabbins s’y sont laissés prendre ainsi que bon nombre d’associations juives telles que JStreet et l’Anti-difamation League qu’on aura connu plus éclairée avant sa nouvelle direction par Jonathan Greenblatt.
L’AIPAC est aussi infiltré par des tenants de « 2 états pour 2 peuples » façon JStreet. Il est, à l’instar du CRIF, totalement bousculé par de nouvelles factions et associations souvent arabes et/ou gauchistes qui n’ont qu’une idée en tête, détruire cette institution comme récemment lors de sa grande soirée.
Le Betar et la LDJ sécurisaient les alentours mais un américano-arabe a réussi l’exploit de se faire taper dessus lors de la manifestation des anti-AIPAC par un membre de la sécurité.
C’était précisément le but à atteindre. Un petit martyr arabe devant l’AIPAC est du nanan pour le New York Times et affiliés.
La LDJ ne compte pas se laisser faire devant les tribunaux et ont du « matériel » concernant cet homme qui fut effectivement giflé par un gardien de la Ligue de défense juive.
Si les médias de gauche ont diffusé la vidéo, il se trouve que celle-ci est largement tronquée et qu’on ne voit pas ce que cet arabe a dit et hurlé durant de longs moments à l’adresse de la sécurité de la LDJ. Possédant les provocations faites en amont, la LDJ compte bien diffuser TOUTE la vidéo et prouver ainsi que cet homme voulait un affrontement physique. On appelle ceci « pousser à la faute » comme dans une compétition sportive.
Pour résumer la situation, les USA sont maintenant divisés entre pro et anti-Trump mais à l’intérieur de cette division on note une sorte de consensus concernant les juifs et Israël entre factions normalement inconciliables.
Des suprématistes signant un projet BDS avec des gauchistes et des arabes, il y a de quoi parler de sur-réalisme !
Les mêmes adorateurs du Klan peuvent s’associer, le temps d’une pétition avec des noirs de « black lives matter » au nom de l’anti-sionisme. Cela aussi est absolument incroyable.
Le terreau juif est devenu synonyme de guerres larvées et d’unions jusqu’à ce jour totalement improbables mais réalisées pourtant.
Nous importons beaucoup d’Amérique. Cette fois-ci n’aurions-nous pas, nous, français et européens, exporté l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme ? Même si la terre américaine était fertile pour ce genre de dérives, nous aurions pensé que la grosse machine de guerre juive se serait mise en branle et que même les intellos anti-israéliens verraient la lumière et ce que cache cet antisionisme.
RIEN ! Ils persistent dans leur aveuglement au point de ressusciter les Noam Chomsky, les Richard Falk ou Bernie Sanders qui ont fait du choix « palestinien » leur plat principal.
En ce premier jour de Seder de Pessah, que devons-nous avoir en tête sinon que notre fête de la liberté retrouvée est plus que jamais de mise ?
Si la transmission n’est pas correctement établie avec nos enfants et/ou petits enfants, nous pouvons redouter le pire pour notre peuple et l’état d’Israël ne pourra pas sauver tout le monde.
C’est à chacun et chacune d’entre nous qu’il appartient de transmettre la volonté farouche de ne jamais laisser tomber un combat qui est ni plus ni moins qu’existentiel.
J’ose parler de SURVIE en l’espèces. On tue impunément des juifs partout dans le monde et il est grand temps que nous nous organisions contre cette guerre intra-juive d’abord afin que nos ennemis ô combien nombreux, sachent que notre unité a toujours été et restera notre meilleure arme.
Ce soir, ayons dans nos pensées que le long voyage et combat entrepris par Moshe Rabbinou notre Maître, (Moïse) n’est pas achevé et que nous devons chaque année relever le défit de l’amour de notre peuple et de son entêtement à survivre malgré la haine.
Nous sommes au-dessus du lot non par vanité mais parce que nous avons une mission d’une extrême importance concernant notre peuple et l’humanité entière.
Hag Pessah Sameah.
Que cette nuit magique vous soit propice à la réflexion car peu à peu, si nous n’y prenons pas garde, nous pourrions retourner en exil, dans ce désert terrible de la pensée.