Page 1 sur 1

LA REPUBLIQUE FACE A L'ISLAMISME

MessagePublié: Mars 30th, 2017, 9:39 am
par Nina
La république face à l’islamisme

Publié le : 20 mars 2017

Le colloque de l’UPJF concernant la république face à l’islamisme a eu pour principal objectif de donner une vue d’ensemble sur tout ce que véhicule le dogme islamique à travers plusieurs tables rondes :
•Les médias
•Les intellectuels
•Les politiques

Si nous avons eu notre longue liste de pathologies directement attachées à l’islamisation de la France et de l’Europe, il ne s’est trouvé aucun participant pour proposer ne serait-ce qu’un début d’antidote.

Les derniers événements muselant toute critique de l’islam ont mené quelques courageux, pourtant modérés dans leurs déclarations, devant les tribunaux.

Pascal Bruckner qui a été relaxé était présent et son analyse fut un peu plus pertinente que les autres intellectuels sur l’islamisation en France.

En effet, il évoqua non seulement les accommodements autour des demandes incessantes identitaires mais insista sur un point essentiel consistant à la « politisation de ce dogme » qui s’introduit dans tous les rouages de la société : qu’ils soient administratifs, politiques (mairies, conseils régionaux et assemblées ainsi que les centaines d’associations qui ont essaimé en France), éducation, culturels.

Le reste fut à l’avenant. L’éternelle restriction du « pasdamalgame » afin de ne pas laisser le FN prendre du terrain n’avait pas lieu d’être évoquée. Nous connaissons les satellites de Marine Le Pen, il était inutile de nous faire la leçon. La mémoire ne nous fait pas défaut.

La colère qui anime tout citoyen quelque peu équilibré, vient d’abord du mutisme de l’oumma, la communauté des croyants, depuis plus de 20 ans ! Elle se tait devant l’horreur et devant les assauts incessants des salafistes. Genre…elle n’est pas concernée…ben voyons…

Certains peuvent toujours attribuer ce mutisme par une « peur » du reste de la communauté, il n’empêche que se revendiquer « français » et ne pas réagir au nom d’un dogme commun ne peut durer éternellement.

Si être français c’est sortir par milliers pour brandir des drapeaux palestiniens car ce sont les seuls victimes au monde qui réveillent les foules arabo-musulmanes de France, ou encore des milliers de drapeaux Turcs à la demande du Président Erdogan, alors je ne vois aucune francité dans de tels comportements.

On ne peut indéfiniment se planquer derrière ses « droits de français » et souhaiter tout le mal possible à son pays. Il faut impérativement que les droits du sol et d’asile n’aient plus lieu d’exister ni même d’être pratiqués. C’est un total non-sens et cela met réellement la République en danger.

Tous les intervenants ont donc eu un discours identique, celui que nous connaissons par cœur car nous aussi suivons l’actualité de très près.

Aucun réveil brutal n’a été opéré sur le public venu en nombre chercher non pas une solution : il est intelligent et assez cultivé pour savoir qu’on ne nettoie pas les écuries d’Augias sans que la France entière ne s’y mette de concert.

Ce ronronnement sur l’actualité que nous vivons au quotidien ne nous indique aucune direction et ne donne aucun espoir d’un règlement dans un futur proche. Cette islamisation doit être sinon arrêtée du moins freinée rapidement. Et pourquoi pas par décrets comme le préconise François Coppé ? Faire des lois prends des mois à rallonge alors qu’une série de décrets-lois pris par l’Exécutif est la seule solution pour enfin faire cesser d’autorité certaines pratiques intolérables sur le sol français.

Nous avons appris par exemple que le challenger de François Puponi à la Mairie de Sarcelles est un salafiste bon teint qui est à peu près sûr d’avoir assez de « clients » pour s’installer sans trop de problèmes dans le bureau du Maire. Le délire est total.

Si des juifs avaient élu domicile depuis des décennies dans cette ville qui fut celle de DSK, peu sont restés par la force des blocs d’implantations salafistes et qu’hormis une zone pavillonnaire peu ou prou protégée, la ville est sous la domination des barbus. Que restera-t-il de la communauté assyro-chaldéenne (donc chrétienne) qui est là depuis longtemps et s’entendait très bien avec la communauté juive d’antan ?

Ce qui a d’éprouvant dans cette islamisation, c’est sans doute la judiciarisation qui va de paire avec l’installation de ce dogme à tous les niveaux.

Utiliser les faiblesses qui existent dans toutes les démocraties, c’est à dire les lois, pour en détourner l’esprit et faire entrer aux forceps un dogme religieux aussi contraire à ce qu’auront voulu les législateurs, est devenu une spécialité des tenants de ces français arabo-musulmans.

Vos lois sont nos armes !

Récemment, une loi était en cours d’écriture pour interdire l’ouverture d’écoles confessionnelles islamiques, tendances très salafistes, mais les députés ont du y renoncer : connaissant le concept de jurisprudence, les catholiques se sont manifestés et à posteriori cela aurait pu porter préjudice aux écoles juives. Les écoles salafistes poussent comme des champignons et osent même s’installer dans des locaux appartenant à des mairies : gains d’argent, gains de temps…Lorsque des maires s’émeuvent de tant d’incivisme pour ne pas dire de culot, les préfets demandent gentiment à « ce qu’on laisse couler ». Quoi ? Le navire ?

L’introduction de Bat Yé’or fut intéressante et rappela surtout certains concepts qui échappent au public : celui de la charia et celui de la dhimmitude et ce que cela implique. Le combat de cette femme est avant tout politique. « Comment faire plier l’UE devant un dogme envahissant qui s’en prend au mode de vie de tous les pays de l’Union européenne ? ».

Autant écoper le trou d’un navire avec une petite cuillère ! Tout prend l’eau dans cette institution européenne. Les intérêts idéologiques, économiques et surtout le manque d’union dans la défense de l’Europe sont autant d’obstacles insurmontables.

J’ai pourtant évoqué durant ce colloque la nécessité de fermer un temps l’espace Schengen.

Si Merkel trouve intéressant économiquement de faire entrer 1,5 millions de migrants, elle a pris sa décision sans consulter ses partenaires de l’UE. C’est une faute grave puisqu’elle engage de facto ses partenaires dans cette « aventure qui risque fort de nous nuire »sous peu.

Si d’aventure certains maliens, somaliens, syriens, ou autres ne se sentent pas bien en Allemagne, tout l’espace Européen leur est ouvert.

Avons-nous seulement été consultés pour cela ?

L’Allemagne a voulu jouer en solo, elle doit assumer en solo.

Un colloque intéressant mais encore une fois, nous avons eu la longue liste des pathologies sans l’ombre d’un début de protocole de soin.

Tout le monde cherche un chef de guerre mais personne n’aura été jusqu’au bout de son raisonnement. L’auto-censure est primordiale, c’est tout de même nos vies qui sont en jeu dans un second temps. Le premier consistant à donner à manger aux juges « compréhensifs » et avenants dès qu’il s’agit d’accorder des dispenses de penser à des « opprimés » d’office.

J’apprends avec regret que Georges Bensoussan après sa relaxe en première instance, doit encore se présenter devant les tribunaux : LE PARQUET A FAIT APPEL DE LA DÉCISION !

Si après cela on pense encore qu’il existe une séparation des pouvoirs, alors je veux bien envoyer une carte au père Noel l’an prochain !

L’acharnement judiciaire sur la personne de Georges Bensoussan préfigure une terrible menace : le pouvoir politique et judiciaire sont intimement liés et veulent faire de cette affaire minable comparée à celle de Medhi Meklat, un exemple pour la néo-France, la France de demain qui a déjà toutes les cartes en mains pour que nous entrions de plain-pieds dans une dhimmitude « républicaine ».

Mon pays me fait honte chaque jour d’avantage.

Nina