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AHMAD DAKAMSEH, LE MEURTRIER DES 7 ECOLIERES ISRAELIENNES

MessagePublié: Mars 16th, 2017, 8:32 pm
par Nina
Ahmad Dakamseh, le meurtrier des 7 écolières israéliennes

Publié le : 13 mars 2017

Les événements se sont déroulés en 1995.

Ahmad Dakamseh, soldat jordanien, passait son temps à contempler ce qui se passait de « l’autre côté » en Israël. Il tuait son ennui en regardant aux jumelles les jolies petites écolières venues avec leur professeure pour une sortie scolaire.

Ce jour là, sans doute mû par une envie de meurtres que je laisse aux soins des journaleux de Libération, le Monde et Médiapart, de vous trouver les raisons « psychologiques » alambiquées, il prit son arme et fit un carnage.

Juste comme ça…Par haine pure et gratuite.

Le parlement jordanien a souvent mis à l’ordre du jour sa libération anticipée.

Si la paix fragile entre Israël et la Jordanie ne mettait pas surtout la famille royale qui, sans l’aide des services secrets israéliens serait depuis longtemps massacrée, en position délicate, Ahmad Dakamseh aurait été libéré depuis très longtemps.

Tous les ans, l’Assemblée jordanienne a mis à l’ordre du jour la libération de ce meurtrier qualifié de « héros qui a assassiné des petites filles israéliennes ».

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Il faut dire que les frères musulmans sont très puissants en Jordanie. Les Hachémites, petite tribu dont est issu le Roi d’un pays totalement fabriquée par l’Angleterre, ne représentent qu’environ 20 % de la population dont la majorité est devenue de facto la garde rapprochée du monarque.

Le roi Hussein (père de l’actuel roi de Jordanie) ne le savait que trop. Si sa famille a pu rester en place c’est uniquement grâce aux services de renseignements israéliens et à quelques prébendes saoudiennes et américaines.

Que de fois, la famille hachémite ne dut son salut au Mossad ? Un nombre incalculable. La pression de l’Egypte et de la Syrie engageait à son corps défendant la Jordanie en 1967 et 1973 qui ne voulait pas entrer en guerre contre l’état juif.

Pas fou le Roi ! Une victoire contre les juifs et c’en était fini de son palais et de sa garde rapprochée.

Cela sentit tellement le roussi pour l’OLP, que le Roi Hussein fit exécuter dans une boucherie indescriptible les « palestiniens » qui voulaient tout bonnement le virer du pouvoir. Le fameux « septembre noir ».

Lorsque cette ordure d’Ahmad Dakamseh, qui s’ennuyait ce jour là, tira sur des sionistes pour perpétrer son massacre, beaucoup de Jordaniens sortirent dans les rues pour louer le héros. On fit de même dans tous les pays arabes environnants !

Aman, Gaza ou Ramallah, ce sont les mêmes arabes ! Mêmes réflexes, même haine, même jalousie extrême d’être restés au fond de lamentables bédouins attendant tout du Calife ou du Roi sans jamais vouloir changer un iota de leurs mœurs moyenâgeuses.

Il y a environ une huitaine d’années, des femmes jordaniennes sortirent dans les rues de la capitale en grand nombre pour qu’on laisse à leurs époux le droit de les frapper !

Alors, lorsque au détour d’une interview, la reine Rania de Jordanie censura la parution de son livre pour enfants pour le seul état d’Israel, je me suis dis que dans le fond, c’était une bonne chose…

Allez savoir si le message subliminal n’était pas d’apprendre aux gosses que prendre des beignes était une valeur sûre ?

Toutefois, ce terrible attentat dans lequel moururent 7 jeunes écolières israéliennes aurait normalement du être traité pour ce qu’il fut : « un acte de guerre » et non une affaire criminelle quelconque.

Nous parlons bien d’un SOLDAT jordanien qui a tiré délibérément sur des civiles israéliennes.

Le Roi Hussein encore au pouvoir à l’époque, était à l’étranger au moment des faits.

Il prit le premier avion, et, sachant que les meurtres d’Ahmad Dakamseh, auraient tout à fait pu être interprétés comme un acte de guerre, vint présenter ses condoléances aux familles ainsi qu’une « contrepartie financière » dont personne est capable de dire à combien elle s’élève.

De plus, à combien peut-on seulement évaluer la vie de votre enfant ?

Certaines personnes bien informées, vous assènent certaines informations parfois intéressantes.

Il y a une sorte de pratique qui ne concerne en fait que Tsahal.

Si un soldat a été kidnappé ou tué, une sorte de loi non écrite mais qui fait office de serment ou d’éthique propre à cette armée, assure que les « frères d’armes » seront vengés un jour ou l’autre.

On y met le temps mais les renseignements militaires ont des listes de noms qui, s’ils ressortent lors d’une mission, sont « allégées » et les coupables envoyés vers un monde plus conforme à leur martyr.

On aimerait tant qu’il en soit de même pour ceux qui assassinent les civils et surtout les enfants d’Israel.

Que ce soit ainsi pour ceux qui ont « commandité puis financé » la mort de ces trois jeunes adolescents en Judée Samarie mais qui mena à une guerre à Gaza, inachevée…hélas…

Que ce soit pour ces arabes échangés contre un seul prisonnier israélien et qui ont du sang sur les mains mais vivent une vie tranquille à Gaza, Ramallah voire même aux USA.

Alors je ne sais pas ce qu’il adviendra de ce « héro » de malheur Ahmad Dakamseh mais si j’apprenais un jour prochain qu’il a été victime d’un accident, il est fort probable que je me mette à faire des beignets.

Le savoir parmi les siens, fêtant son retour et traité comme un grand homme pour avoir tué 7 petites filles…Non…J’ai vraiment du mal à le digérer !

La pureté des armes qu’on a balancé au soldat Azaria pour avoir achevé un assassin ?

Je demande alors la pureté des âmes pour les tueurs d’enfants ou de civils juifs.

Nina