RAPHAEL GLUCKSMANN, UN PETIT ROT ANTISÉMITE ?
Publié: Mars 5th, 2017, 3:32 pm
Pour avoir Fillon, Raphael Glucksmann reprend de vieux clichés dignes du FN du temps où le SENTIER et les juifs de Deauville existaient encore !
Sacré GLUCKSMANN ! J'imagine que son paternel doit être bien triste mais il n'est plus de ce monde alors...Voilà le fiston qui se sent des ailes libanaises pousser. Il paraît qu'il serait en couple avec Léa Salamé, ce qui doit l'inciter à utiliser des images d'Epinal qui puent.
http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170208.OBS5069/fillon-saint-francois-victime-de-la-transparence-par-raphael-glucksmann.html
Défendre Fillon n'est pas mon propos. C'est juste ces deux lignes dégueulasses qui me donnent envie de gifler cette journalope. Pour le coup, c'en est vraiment une de journalope ce Glucksmann.
Le Sentier ? Il n'existe plus depuis des lustres et a déménagé vers les portes d'Aubervilliers parmi les villages chinois qui ont englouti le marché du textile.
Cela saute aux yeux dès que vous pointez vos boots dans les rues d'Aboukir, Montmartre, Cléry, Montorgueil ou Sentier.
Fini le temps où les "juifs" faisaient aussi bien que l'industrie automobile. Chirac a tranché : "Dehors le Sentier ! Il faut laisser respirer Paris !"
Paris ne respire pas mieux mais des dizaines de milliers d'emplois ainsi qu'une mode inventive ont complètement disparu.
Concernant Deauville, même problématique.
D'abord le fameux "yiddishland" dont se plaignaient les normands a disparu pour leur plus grand malheur. Ils crevaient d'antisémitisme mais se sont enrichis au contact des juifs pour des générations entières.
Désormais, ce sont des arabo-musulmans qui font les beaux jours des SEULS grands hôtels mais ne vont pas bouffer dans les restau non halal.
C'est pourquoi, alors que la Normandie restait encore Normande du temps où les juifs y allaient, les kebabs ont poussé et la ville d'à côté, Trouville, a vu sa population juive fondre comme neige au soleil pour laisser la place aux masses arabo-musulmanes et chinoises qui l'ont rendu triste, sans vie et super fauchée.
A Trouville, les juifs emplissaient les restaurants. Les musulmans préfèrent ramener leur bouffe ou investir dans le kebabs pourris qui planquent non loin des planches.
Gluscksmann retarde vraiment dans son cliché merdique mais il peut avoir honte. Vraiment honte.
Ses deux lignes noyées dans un salmigondis anti-fillonniste légitime ou pas, m'ont donné envie de lui claquer le beignet.
Son père, André, lui aurait tourné le dos. Lui, qui à l'automne de sa vie commençait à voir combien l'antisémitisme se nichait chez ses anciens potes de gauche et dénonçait des dérives clientélistes de la classe politique était atterré par le visage de la nouvelle France.
Son fils, lui, a décidé de l'épouser.
Pauvre type !
Sacré GLUCKSMANN ! J'imagine que son paternel doit être bien triste mais il n'est plus de ce monde alors...Voilà le fiston qui se sent des ailes libanaises pousser. Il paraît qu'il serait en couple avec Léa Salamé, ce qui doit l'inciter à utiliser des images d'Epinal qui puent.
il aimait l'argent. Trop
L’admirateur de Tante Yvonne aimait donc l’argent. Il ne l’aimait certes pas comme on le fait dans le Sentier, à Deauville ou chez les Balkany (il n’aurait probablement pas fêté sa victoire au Fouquet’s). Il l’aimait discrètement, lui, comme il se doit, comme avant, sans l’afficher, ni le proclamer. Avec pudeur. Secrètement. Mais il l’aimait quand même. Trop. Et les "journalopes" – ces "socialopes" masquées ! – ont sauté sur l’occasion. Ils l’ont livré aux loups (l’opinion), lui, sa femme et ses enfants. Et aujourd’hui la fierté retrouvée des conservateurs français laisse place à l’amertume. Voire parfois à la rage.
http://tempsreel.nouvelobs.com/presidentielle-2017/20170208.OBS5069/fillon-saint-francois-victime-de-la-transparence-par-raphael-glucksmann.html
Défendre Fillon n'est pas mon propos. C'est juste ces deux lignes dégueulasses qui me donnent envie de gifler cette journalope. Pour le coup, c'en est vraiment une de journalope ce Glucksmann.
Le Sentier ? Il n'existe plus depuis des lustres et a déménagé vers les portes d'Aubervilliers parmi les villages chinois qui ont englouti le marché du textile.
Cela saute aux yeux dès que vous pointez vos boots dans les rues d'Aboukir, Montmartre, Cléry, Montorgueil ou Sentier.
Fini le temps où les "juifs" faisaient aussi bien que l'industrie automobile. Chirac a tranché : "Dehors le Sentier ! Il faut laisser respirer Paris !"
Paris ne respire pas mieux mais des dizaines de milliers d'emplois ainsi qu'une mode inventive ont complètement disparu.
Concernant Deauville, même problématique.
D'abord le fameux "yiddishland" dont se plaignaient les normands a disparu pour leur plus grand malheur. Ils crevaient d'antisémitisme mais se sont enrichis au contact des juifs pour des générations entières.
Désormais, ce sont des arabo-musulmans qui font les beaux jours des SEULS grands hôtels mais ne vont pas bouffer dans les restau non halal.
C'est pourquoi, alors que la Normandie restait encore Normande du temps où les juifs y allaient, les kebabs ont poussé et la ville d'à côté, Trouville, a vu sa population juive fondre comme neige au soleil pour laisser la place aux masses arabo-musulmanes et chinoises qui l'ont rendu triste, sans vie et super fauchée.
A Trouville, les juifs emplissaient les restaurants. Les musulmans préfèrent ramener leur bouffe ou investir dans le kebabs pourris qui planquent non loin des planches.
Gluscksmann retarde vraiment dans son cliché merdique mais il peut avoir honte. Vraiment honte.
Ses deux lignes noyées dans un salmigondis anti-fillonniste légitime ou pas, m'ont donné envie de lui claquer le beignet.
Son père, André, lui aurait tourné le dos. Lui, qui à l'automne de sa vie commençait à voir combien l'antisémitisme se nichait chez ses anciens potes de gauche et dénonçait des dérives clientélistes de la classe politique était atterré par le visage de la nouvelle France.
Son fils, lui, a décidé de l'épouser.
Pauvre type !