L'IRAN PÉRORE
Publié: Février 13th, 2017, 3:18 pm
Qu'est ce qu'ils aiment se la péter les enturbannés ! J'ai hâte de voir comment le duel engagé entre Trump et Rohani-Khamenei va se terminer.
Un officiel iranien est venu jouer les cadors en se moquant ouvertement des phrases selon lui "intimidantes" de Donald Trump à l’égard de l’Iran.
Ali Akbar Velayati (ci-dessus), chef du centre de recherche stratégique répondait à la phrase non énigmatique, ce qui est plutôt usuel en politique étrangère, de Trump : « L’Iran devrait faire plus attention car il est en train de dépasser largement la mesure et tente surtout de tester mes capacités à répondre alors qu’il s’amuse à tester des missiles balistiques de longues portées ! ».
Ali Akbar Velayati a donc répondu : «Trump ne devrait pas tenter sa chance contre notre pays. Nous avons-nous aussi un dôme de fer ! (Référence au système israélien bien sûr).Nous ne sommes nullement inquiets des propos de Trump même s’il utilise un vocabulaire grandiloquent.
Trump est incapable d'agir simplement sur caprice, en raison de l'opposition féroce dans les médias, le pouvoir judiciaire et parmi les politiciens influents.
Velayati a conclu son entretien en disant que l'Iran ne cherche pas des confrontations militaires avec aucun pays, mais n'hésitera pas à défendre ses intérêts nationaux.
Les propos de Veleyati faisaient suite à l’allocution du Président Rohani pour les 38 ans de la RÉVOLUTION ISLAMIQUE qui a vu l’avènement du guide suprême Khomeiny et l’installation des mollahs à la tête de l’Iran.
Clairement belliqueux, Rohani a prononcé le discours que le guide Khamenei lui avait sans l’ombre d’un doute dicté :
« Nous vivons des conditions dans lesquelles certains novices sont arrivés au pouvoir dans la région, dans le monde et aux États-Unis ... Ils devraient tous savoir qu'ils doivent parler à la nation iranienne avec la langue du respect et de la dignité. »
Dans une phrase à peine voilée à l’adresse de Donald Trump, il commente la joie de ses citoyens de la république islamique car « des centaines de milliers de personnes ont pris les rues de Téhéran et d'autres endroits à travers le pays et ont brûlé l’effigie du nouveau président américain, tout en chantant «Mort à l'Amérique» et «Mort à Israël».
Cette fameuse agence travaille depuis longtemps sous perfusion du « gagnant » du moment.
Exemple : Tant que l’AIEA était présidée par Boutros-Boutros Ghali, rares furent les mauvaises notes attribuées à l’Iran même si les ingénieurs dépêchés sur place n’avaient pas accès à tous les sites nucléaires de la théocratie iranienne.
Quelques ingénieurs de l'AIEA s’en sont émus au point de mettre le poing sur la table mais peu de médias ont rapporté ces événements hormis bien sûr les principaux intéressés (l’état d’Israël qui connait parfaitement les emplacements des zones jamais inspectées et votre humble servante qui s’intéresse depuis fort longtemps au problème de la nucléarisation de l’Iran).
D’autre part, nous avons appris tout récemment ceci :
Faut-il être cons, aveugles ou faussement arriérés pour envisager que ces tonnes d’uranium faiblement enrichis ne le deviennent lourdement sous peu ?
Lorsqu’on possède « publiquement » 6000 centrifugeuses et plus du triple dans des sites non répertoriés et si cela se trouve dans des pays considérés comme non à risque tel que l’Irak voisin dont les tenants du pouvoir sont inféodés à l’Iran puisque chiites eux-mêmes, on ne peut que sourire ou pleurer.
Ne peut-on dans un futur proche, entrevoir l’installation d’autres centrifugeuses en Syrie sous contrôle d’Al Assad et de l’ami Russe ?
Il y a des zones tranquilles de ce côté-ci et je dirais que cette guerre incessante est propice à certaines activités dont personne ne se préoccupe.
Les officiels iraniens peuvent pérorer et nous donner du «mort à l’Amérique et mort à Israel » autant qu’ils peuvent. Disons que leur vocabulaire n’a guère changé depuis 1979 et qu’ils sont gonflants. En attendant, ils en crèvent d'avoir vu certains de leurs citoyens dans l'incapacité d'avoir des visas pour entrer chez le grand Satan. Heureusement que les californiens gauchistes étaient là ! Ouf !
Dans le fond, ils ont raison de pérorer les Iraniens. Ils le disent ouvertement : « Trump est incapable d'agir simplement sur caprice, en raison de l'opposition féroce dans les médias, le pouvoir judiciaire et parmi les politiciens influents. » IL EST PRÉCISÉMENT LA LE PROBLÈME.
Souvenons-nous cependant que SANS LES DÉMOCRATES, l’Iran ne serait jamais devenu un état théocratique sanglant régi par la charia, merci Jimmy Carter et qu’il n’aurait jamais pu recouvrer ses milliards gelés dans les banques ainsi qu’une reconnaissance globale par le conseil de sécurité si un autre président démocrate Barak Hussein Obama, n’avait pas terminé le travail.
L'Iran, à l'agonie, les mollah sur le point d'être enfin virés par le peuple iranien faute de donner des perspectives d'avenir, une économie était sur le point de tomber. Obama l'a sauvé !
Toutefois, il convient de terminer sur une note optimiste.
Lors d'un événement organisé jeudi dernier à Washington par United Against Nuclear Iran (Union contre le nucléaire iranien) et l'Institut juif pour la sécurité nationale de l'Amérique, le sénateur Cory Gardner, sénateur du Colorado, membre de la Commission des relations étrangères du Sénat, a déclaré que Trump avait l'appui du Congrès pour « Les politiques échouées du passé et de commencer à exercer des pressions sur l'Iran de cesser son comportement illicite.
«Gardner a également déclaré que le Corps de la Garde révolutionnaire islamique iranien (IRGC) devrait être désigné comme une organisation terroriste.
Mazette ! Les gardiens de la révolution pourraient être sur la liste noire ? C’est le Hezbollah qui va fulminer.
Ne plus avoir leurs moniteurs de colos pour leurs ateliers « attentats contre les sionistes » ça va leur faire un choc ! Cela ne les arrêtera pas. Faut pas rêver tout de même...Au Liban, ils font ce qu'ils veulent personne n'ira les contrer.
Concernant Israël, la menace est toutefois très proche. Le Hezbollah est le groupe à abattre et ceci ne sera possible que dans un conflit ouvert. Hélas !
L’Iran et son bras armé tout proche de l’état juif ont besoin d’une leçon mémorable.
Mon avis ne vaut pas grand-chose mais j’utiliserais l’antagonisme des sunnites libanais alliés pour la circonstance aux chrétiens qui ne sont pas fidèles à Michel Aoun (qui lui est clairement un allié sans faille des chiites du Hezbollah), afin de miner de l’intérieur les prérogatives de ces fous d’Allah aux ordres de l’Iran.
Les Libanais sunnites sont plus nombreux. Ils savent depuis la guerre de Liban 2 que si le Hezbollah engage un conflit contre l'état juif, ils en paieront aussi le prix lourd car tous les chefs d’état major qui se sont succédés depuis cette guerre ont eu la même phrase en guise de crédo :
« Si le Hezbollah ouvre les hostilités, nous renverrons le Liban à l’âge de pierre. ».
C’est assez explicite pour moi. Le Hezbollah aussi a compris et c’est pour cela qu’il mise sur la guerre larvée : fournitures d’armes de plus en plus sophistiquée au Hamas, troupes proches du Golan, hégémonie sur les trafics dans le Sinaï.
Guerre d’usure qui peut effectivement faire beaucoup de dégâts à moins que…lassé par ces coups bas, Israël lance ses forces aériennes sur des points précis comme des troupes du Hezbollah et dans la foulée quelques gardiens de la révolution iraniens ?
C’est déjà fait…On n’en parle pas, c’est plus…opérationnel !
Un officiel iranien est venu jouer les cadors en se moquant ouvertement des phrases selon lui "intimidantes" de Donald Trump à l’égard de l’Iran.
Ali Akbar Velayati (ci-dessus), chef du centre de recherche stratégique répondait à la phrase non énigmatique, ce qui est plutôt usuel en politique étrangère, de Trump : « L’Iran devrait faire plus attention car il est en train de dépasser largement la mesure et tente surtout de tester mes capacités à répondre alors qu’il s’amuse à tester des missiles balistiques de longues portées ! ».
Ali Akbar Velayati a donc répondu : «Trump ne devrait pas tenter sa chance contre notre pays. Nous avons-nous aussi un dôme de fer ! (Référence au système israélien bien sûr).Nous ne sommes nullement inquiets des propos de Trump même s’il utilise un vocabulaire grandiloquent.
Trump est incapable d'agir simplement sur caprice, en raison de l'opposition féroce dans les médias, le pouvoir judiciaire et parmi les politiciens influents.
Velayati a conclu son entretien en disant que l'Iran ne cherche pas des confrontations militaires avec aucun pays, mais n'hésitera pas à défendre ses intérêts nationaux.
Les propos de Veleyati faisaient suite à l’allocution du Président Rohani pour les 38 ans de la RÉVOLUTION ISLAMIQUE qui a vu l’avènement du guide suprême Khomeiny et l’installation des mollahs à la tête de l’Iran.
Clairement belliqueux, Rohani a prononcé le discours que le guide Khamenei lui avait sans l’ombre d’un doute dicté :
« Nous vivons des conditions dans lesquelles certains novices sont arrivés au pouvoir dans la région, dans le monde et aux États-Unis ... Ils devraient tous savoir qu'ils doivent parler à la nation iranienne avec la langue du respect et de la dignité. »
Dans une phrase à peine voilée à l’adresse de Donald Trump, il commente la joie de ses citoyens de la république islamique car « des centaines de milliers de personnes ont pris les rues de Téhéran et d'autres endroits à travers le pays et ont brûlé l’effigie du nouveau président américain, tout en chantant «Mort à l'Amérique» et «Mort à Israël».
C’était le moins que pouvait dire le Président Rohani car Trump quelques jours auparavant avait mis en place quelques nouvelles sanctions contre l’Iran et demandé à ce que soit convoquée l’AIEA (agence de contrôle de l’énergie atomique).
Cette fameuse agence travaille depuis longtemps sous perfusion du « gagnant » du moment.
Exemple : Tant que l’AIEA était présidée par Boutros-Boutros Ghali, rares furent les mauvaises notes attribuées à l’Iran même si les ingénieurs dépêchés sur place n’avaient pas accès à tous les sites nucléaires de la théocratie iranienne.
Quelques ingénieurs de l'AIEA s’en sont émus au point de mettre le poing sur la table mais peu de médias ont rapporté ces événements hormis bien sûr les principaux intéressés (l’état d’Israël qui connait parfaitement les emplacements des zones jamais inspectées et votre humble servante qui s’intéresse depuis fort longtemps au problème de la nucléarisation de l’Iran).
D’autre part, nous avons appris tout récemment ceci :
L’Iran va recevoir mardi le dernier chargement de 149 tonnes de concentré d’uranium, fourni par la Russie, dans le cadre de l’accord nucléaire avec les grandes puissances, ont déclaré lundi les responsables de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA).
«Le premier chargement est arrivé le 26 janvier par avion et le dernier arrivera demain mardi (...) Au total 149 tonnes de Yellow Cake (concentré d’uranium) s’ajoutent aux réserves du pays», a déclaré Ali Akbar Salehi, le chef de l’OIEA à l’agence de presse Fars.
Il a ajouté que depuis l’entrée en vigueur de l’accord nucléaire avec les grandes puissances en janvier 2016, l’Iran avait «importé 210 tonnes de concentré d’uranium et envoyé en contrepartie à l’étranger de l’uranium enrichi à 3,5%» comme le prévoyait cet accord.
Selon Behrouz Kamalvandi, le porte-parole de l’OIEA, le concentré d’uranium a été importé depuis la Russie.
Faut-il être cons, aveugles ou faussement arriérés pour envisager que ces tonnes d’uranium faiblement enrichis ne le deviennent lourdement sous peu ?
Lorsqu’on possède « publiquement » 6000 centrifugeuses et plus du triple dans des sites non répertoriés et si cela se trouve dans des pays considérés comme non à risque tel que l’Irak voisin dont les tenants du pouvoir sont inféodés à l’Iran puisque chiites eux-mêmes, on ne peut que sourire ou pleurer.
Ne peut-on dans un futur proche, entrevoir l’installation d’autres centrifugeuses en Syrie sous contrôle d’Al Assad et de l’ami Russe ?
Il y a des zones tranquilles de ce côté-ci et je dirais que cette guerre incessante est propice à certaines activités dont personne ne se préoccupe.
Les officiels iraniens peuvent pérorer et nous donner du «mort à l’Amérique et mort à Israel » autant qu’ils peuvent. Disons que leur vocabulaire n’a guère changé depuis 1979 et qu’ils sont gonflants. En attendant, ils en crèvent d'avoir vu certains de leurs citoyens dans l'incapacité d'avoir des visas pour entrer chez le grand Satan. Heureusement que les californiens gauchistes étaient là ! Ouf !
Dans le fond, ils ont raison de pérorer les Iraniens. Ils le disent ouvertement : « Trump est incapable d'agir simplement sur caprice, en raison de l'opposition féroce dans les médias, le pouvoir judiciaire et parmi les politiciens influents. » IL EST PRÉCISÉMENT LA LE PROBLÈME.
Des forces de gauche, incapables d'envisager ne serait-ce qu'un instant qu'ils défendent des théocrates, des nazislamistes, des gens qui n'ont qu'une seule idée en tête : posséder l'arme nucléaire pour non pas s'en prendre au moyen-orient comme tout le monde le croit mais l'Occident, ils sont devenus LES AVOCATS DU DIABLE. Incroyable mais vrai.
Souvenons-nous cependant que SANS LES DÉMOCRATES, l’Iran ne serait jamais devenu un état théocratique sanglant régi par la charia, merci Jimmy Carter et qu’il n’aurait jamais pu recouvrer ses milliards gelés dans les banques ainsi qu’une reconnaissance globale par le conseil de sécurité si un autre président démocrate Barak Hussein Obama, n’avait pas terminé le travail.
L'Iran, à l'agonie, les mollah sur le point d'être enfin virés par le peuple iranien faute de donner des perspectives d'avenir, une économie était sur le point de tomber. Obama l'a sauvé !
Toutefois, il convient de terminer sur une note optimiste.
Lors d'un événement organisé jeudi dernier à Washington par United Against Nuclear Iran (Union contre le nucléaire iranien) et l'Institut juif pour la sécurité nationale de l'Amérique, le sénateur Cory Gardner, sénateur du Colorado, membre de la Commission des relations étrangères du Sénat, a déclaré que Trump avait l'appui du Congrès pour « Les politiques échouées du passé et de commencer à exercer des pressions sur l'Iran de cesser son comportement illicite.
«Gardner a également déclaré que le Corps de la Garde révolutionnaire islamique iranien (IRGC) devrait être désigné comme une organisation terroriste.
Mazette ! Les gardiens de la révolution pourraient être sur la liste noire ? C’est le Hezbollah qui va fulminer.
Ne plus avoir leurs moniteurs de colos pour leurs ateliers « attentats contre les sionistes » ça va leur faire un choc ! Cela ne les arrêtera pas. Faut pas rêver tout de même...Au Liban, ils font ce qu'ils veulent personne n'ira les contrer.
Concernant Israël, la menace est toutefois très proche. Le Hezbollah est le groupe à abattre et ceci ne sera possible que dans un conflit ouvert. Hélas !
L’Iran et son bras armé tout proche de l’état juif ont besoin d’une leçon mémorable.
Mon avis ne vaut pas grand-chose mais j’utiliserais l’antagonisme des sunnites libanais alliés pour la circonstance aux chrétiens qui ne sont pas fidèles à Michel Aoun (qui lui est clairement un allié sans faille des chiites du Hezbollah), afin de miner de l’intérieur les prérogatives de ces fous d’Allah aux ordres de l’Iran.
Les Libanais sunnites sont plus nombreux. Ils savent depuis la guerre de Liban 2 que si le Hezbollah engage un conflit contre l'état juif, ils en paieront aussi le prix lourd car tous les chefs d’état major qui se sont succédés depuis cette guerre ont eu la même phrase en guise de crédo :
« Si le Hezbollah ouvre les hostilités, nous renverrons le Liban à l’âge de pierre. ».
C’est assez explicite pour moi. Le Hezbollah aussi a compris et c’est pour cela qu’il mise sur la guerre larvée : fournitures d’armes de plus en plus sophistiquée au Hamas, troupes proches du Golan, hégémonie sur les trafics dans le Sinaï.
Guerre d’usure qui peut effectivement faire beaucoup de dégâts à moins que…lassé par ces coups bas, Israël lance ses forces aériennes sur des points précis comme des troupes du Hezbollah et dans la foulée quelques gardiens de la révolution iraniens ?
C’est déjà fait…On n’en parle pas, c’est plus…opérationnel !