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L’ORIGINE DU MENSONGE

MessagePublié: Janvier 27th, 2017, 12:14 pm
par Nina
Si une quantité considérable d’Universités américaines, des juifs comptabilisés comme démocrates, des étudiants américains ont versé dans l’ansionisme primaire, il faut comprendre l’origine du mal.

Les guerres des pays arabes coalisés contre un état naissant et minuscule ont toutes été perdues.

Il fallait prendre des revanches à la mesure des milliards dont disposaient les pays producteurs de pétrole. En tête l’Arabie Saoudite.

La dépendance au pétrole de l’Occident permettait aux pays arabes de gagner la guerre de l’idéologie. C’est par coups de milliards de dollars qu’ils y parvinrent et grâce à celui qui ouvrira toutes grandes les portes des universités les plus prestigieuses des USA ainsi que des médias influents comme le New York Times et le Washington Post.

Il s’agit de l’incontournable EDWARD SAÏD.

Tout chez cet homme invite à la haine des juifs de par le monde sous couvert de « Palestine volée ».

L’intellectuel adulé des médias et des étudiants a trouvé sa voie et surtout les voix qui relaieront une somme de mensonges si énormes que peu de gens oseront remettre en question.
Un seul, toutefois, n’aura pas vraiment pris la peine de considérer Edward Saïd. Comme un enfant teigneux, trépignant de rage, Saïd ira se plaindre, mieux encore, pleurer de rage dans un article mémorable du Monde.

Cet homme était Jean Paul Sartre. E. Saïd raconte par le menu comment le « grand homme » qu’il traite de « romancier » pour éviter de lui donner le titre de philosophe, n’a pas pris le soin de l’écouter et pire encore de l’ignorer durant cette conférence où l’intelligentsia se pressait.
Il osera même mettre sur le compte de Benny Lévy (le juif), secrétaire de Sartre, le manque d’intérêt de son éminence Edward Saïd !

Alors que le chantre de « Palestine mon amour » ira dans toutes les grandes universités prêcher la haine d’Israel, Colombia (NY) dans laquelle il détient une chaire mais aussi Harvard, université Johns-Hopkins, Princeton…et tant d’autres pour répandre non seulement le pro-palestinisme mais une quantité de mensonges à commencer par sa propre biographie.
Tel un romancier de gare, il remaniait sa bio au gré des gens venus l’écouter.

Je reprends ici une partie d’un article de Justus Reid Weiner paru en Août 1999 qui démontrait comment Edward Saïd, tout comme le KGB, falsifiait son autobiographie et tricotait le mythe du peuple « palestinien ».

http://www.freeman.org/m_online/sep99/weiner.htm

Beaucoup de l'autorité morale de M. Said découle de ses pouvoirs personnels. En tant que personnage vivant de la cause palestinienne, il a fait grand cas de sa naissance, de son enfance et de sa scolarité en Palestine, racontant une histoire de débuts idylliques et de dépossession violente.

Voici ce que Saïd lui-même a raconté à propos de ses débuts (dans Harper, 1992): «Je suis né en novembre 1935 à Talbiya, un quartier arabe très nouveau et prospère de Jérusalem. A la fin de 1947, quelques mois seulement avant que Talbiya ne cède aux forces juives. Je suis parti avec ma famille pour le Caire.
De nouveau, cette fois-ci dans le London Review of Books, en 1998 : «Je suis né à Jérusalem et j'ai passé la plupart de mes années de formation là-bas. Après 1948, toute ma famille s’est réfugiée en Égypte».


Edward Said, plusieurs fois dans ses écrit, se qualifie d’archétype de l’homme en exil, celui qui, comme "son peuple", a été séparé de sa patrie par un acte soudain de violence historique.

Mais, hormis le détail de sa naissance, c'est un tissu de mensonges.

Voici précisément l’histoire de la famille Saïd.

Wadie Saïd (père d’Edward) a grandi à Jérusalem mais émigré en 1911 aux États-Unis.
Durant la Première Guerre mondiale, Wadie a servi avec les forces américaines en Europe avant de retourner au Moyen-Orient avec un passeport américain afin de mener une carrière commerciale qui a réussi.

Pendant au moins neuf ans avant la naissance de son fils en 1935, Wadie Said résidait en permanence au Caire, où lui et sa famille restèrent jusqu'en 1962. *

Et Jérusalem ? Dans cette ville vivait la sœur de Wadie Said et sa famille, donc la tante d’Edward Saïd.

Basée au Caire, la famille effectuait des visites périodiques à leurs proches dans tout le moyen-orient. En novembre 1935, au cours d'une de ces visites, Edward Said est né.

Sur son certificat de naissance, préparé par le Ministère de la santé pour le Mandat britannique, ses parents indiquèrent leur adresse permanente au Caire en spécifiant qu'ils ne demeuraient pas en Palestine, au point de laisser en blanc « l’adresse locale ».

Edward Saïd devient faussement lyrique :

"Quant à la résidence familiale de Talbieh (Talbiya), M. Said a déclaré ceci dans une interview au Jerusalem Times en mars dernier : «Je me sens encore plus déprimé quand je me souviens de ma belle maison entourée de pins et d'orangers d'Al- Talbiyeh à l'est [il veut dire à l'ouest] Jérusalem ...
J'y suis allé il y a quelques jours et j'ai pris plusieurs photos. Lors d'une visite en 1992 ».
Selon M. Saïd, il a pu localiser cette maison à une carte dessinée à la main et "une copie de l'acte de propriété".
:lol:

Mais si M. Said avait réellement une copie du titre de propriété, cela l’aurait sans doute aidé à remarquer l'absence des noms de ses parents, des noms de ses frères et sœurs et de son propre nom.


La propriété en question appartenait d'abord au grand-père de M. Said, puis à sa tante et à ses cinq enfants. Jusqu'en 1942, elle fut entièrement louée à d'autres, et, seul un appartement fut alors occupé par la tante de M. Saïd et ses enfants (et, sans doute, des visiteurs occasionnels de la famille).

Ce n'est pas non plus la seule façon dans ce récit que M. Said évoque son éducation dans «sa» belle vieille maison qui démontre ses mensonges. Il a parlé avec véhémence caractérisée d’un fameux locataire plus tard.

Tenant toujours son rôle de victime, il a déclaré: «La maison initiale de ma famille en 1948 a été déplacée. Cette maison était aussi la maison où le grand philosophe juif Martin Buber a vécu pendant un certain temps, et Buber grand Apôtre de la coexistence entre Arabes et Juifs, ne se soucia pas de vivre dans une maison arabe dont les habitants avaient été déplacés ?

La vérité est l'inverse. C'est la tante de M. Said qui a expulsé Buber, et non pas en 1948, mais en 1942 - la période même où le jeune Edward Said était censé résider dans la maison.

Cela nous amène à un autre élément dans la reconstruction de Saïd de son enfance de Jérusalem : son éducation.

Selon sa version standard, il était élève à l'école préparatoire anglicane St. George à Jérusalem-Est.

Dans un récent documentaire de la BBC, on aperçoit M. Said retourner dans cette école et feuilleter les pages d'un ancien registre de d’étudiants en cuir de sa jeunesse. On le voit pointer du doigt l'entrée d’un de ses «amis juifs».

Intéressant…Le reportage ne nous montre aucune preuve de la présence d’Edward Saïd ayant fréquenté cette école. Plus tard, nous sommes retournés sur les lieux et avons constaté qu’aucune mention de la présence de Saïd dans cette institution n’a été découverte. Il n’a jamais fréquenté cette école.

L'étudiant juif qu'il prétend se rappeler ne se souvient pas non plus de M. Said.

Qu'en est-il du départ de la famille en tant que «réfugiés» de Jérusalem au Caire ?

M. Said a à maintes reprises placé cet événement à la mi-décembre 1947, citant la «panique» causée à Talbieh par la menace des forces juives.

Pourtant, au cours de la période de 51 mois qui a précédé la création de l'État d'Israël en mai 1948, des documents volumineux ne font état que de deux incidents de violence inter-communautaire qui bouleversent le calme de Talbieh, et aucun d'entre eux n'a abouti au départ permanent des Arabes locaux.

La conclusion inévitable est qu’Edward Saïd et sa famille immédiate n'étant pas des résidents à long terme ou permanents à Talbieh dans les années 1930 et 40, ils n'étaient pas présents durant les derniers mois du Mandat britannique. Ils ne peuvent donc en aucun cas être considérés comme des «réfugiés» ou des «exilés» de Palestine dans un sens significatif de ces deux termes très lourds et politiquement chargés. :shock:

Et bien sûr, il n'arrive pas au Caire pour la première fois à la fin de 1947. Comme en témoignent de nombreux dossiers publics.

Le Caire est l'endroit où le jeune Edward Saïd a grandi. Là, il a résidé avec sa famille dans des appartements luxueux, a fréquenté des écoles anglaises privées, et a joué au tennis au club sportif exclusif de Gezira comme les fils d'un de quelques membres arabes jusqu'à ce qu'il soit envoyé en 1951 aux États-Unis pour parachever sa scolarisation.

M. Saïd lui-même a maintenant confirmé tout cela dans son mémoire, «Out of Place».

Dans cet ouvrage, l'homme qui, depuis des décennies, s’est présenté au monde comme un réfugié professionnel, qui a puissamment décrit l'effet traumatisant sur lui-même et sa famille de leur exil soudain et paniqué pour sa ville bien-aimée de naissance et de son enfance, Jérusalem, s'avère, être un vil menteur.

Ce n'était pas l'âme et le centre de la jeunesse de M. Said. C'était un lieu de vacances occasionnel.

Mais nulle part dans son nouveau livre M. Saïd ne reconnaît qu'il s'est fabriqué un récit très différent de la version qu'il a donné durant trois décennies.

Comme le disait M. Saïd, son prétendu exil de 50 ans de Palestine a été la «métaphore centrale» non seulement de sa biographie personnelle, mais de son identité même. Cela l’a conduit à faire une campagne incessante contre Israël.

Il a même exprimé à maintes reprises son souhait de demander des réparations pour "sa" propriété à Jérusalem. En fait, il ne peut y prétendre et plus révélateur encore, n'a jamais déposé de plainte auprès de l’état d’Israël à ce sujet.

Contrairement à ses multiples plaintes contre l’état Égyptien, où les magasins de son père ont été brûlés par une foule révolutionnaire en 1952, puis nationalisés par le président Gamal Nasser.

Il est étonnant de constater combien Edward Saïd est muet au sujet de ses pertes immobilières en Egypte.

Said a écrit que la responsabilité de l'intellectuel est :lol: «de dire la vérité aussi clairement, directement et aussi honnêtement que possible».

Dans sa propre affaire, la vérité simple, directe et honnête est radicalement opposée à la légende qu'il a été en peine de construire au cours des décennies. Cette histoire mensongère, conçue pour alimenter les passions qui ont animé le programme revancharde de tant de nationalistes palestiniens.

NDLR :

Tous ces mensonges, toutes ces légendes fabriquées par Saïd ont trouvé leurs places dans les plus grandes universités américaines.

Ne vous étonnez plus si vous découvrez comment et avec quelle ampleur l’antisionisme a gagné les places fortes en Amérique, en Europe, partout dans le monde.

Le mensonge fabriqué par le KGB, Nasser et relayé par toute une armada de gauchistes en panne de combat idéologique s’est répandu comme la peste.

Le pire, c’est que la gauche et l’ultra-gauche sont devenus les partenaires d’une idéologie basée sur un dogme haineux : l’islam et le panarabisme.

Pour la droite, seuls les puits de pétrole ont joué. L'argent n'a pas d'odeur et encore moins celui de la vérité. Les arabes étaient et restent les seuls "SOLVABLES".

Edward Saïd, la coqueluche de « l’orientalisme » adulé par le New York Times, les universités américaines, européennes et toute la gauche bien-pensante n’était qu’un vil menteur qui élabora une légende sur son faux exil, sa fausse nationalité, comme un vulgaire barbouze parti infiltrer l’occident pour le pourrir de l’intérieur et répandre son infection antisémite.

Il a réussi. Le poison a atteint tout le monde. Aujourd’hui, le juif c’est toujours celui qui a un gros nez et qui vole tout le monde…Les remake c’est lassant !