DAVID SHAMBADAL
Publié: Novembre 26th, 2016, 11:40 am
En 1936, un simple ouvrier électricien, David Shambadal, dut se rendre à Haïfa dans un café pour y réparer les lampes.
Les arabes procédaient comme aujourd'hui encore, mettant le feu partout afin de faire fuir les juifs.
Ces arabes pour la majorité d'entre eux étaient envoyés en "Palestine mandataire" afin d'être comptés parmi les déshérités de la terre arabe.
Ils n'avaient donc aucun scrupule pour brûler tout ce que les juifs plantaient, construisaient dans l'espoir de la renaissance de leur patrie ancestrale.
Les pogroms d'abord puis les révoltes par la suite au nom du Coran et du grand Mufti qui voulait paver les routes de Palestine du sang des juifs.
Cet ouvrier électricien, David Shambadal, plein d'espoir et d'amour pour son pays et son peuple, avait l'âme d'un poète.
Ce jour néfaste du 19 Avril 1936, où il s'apprêtait à réparer un système électrique dans un café de Haïfa, c'est une horde de barbares arabes qui lui tomba dessus.
Il fut égorgé d'abord puis découpé en morceaux.
Parmi ses affaires on trouva beaucoup de poèmes qu'il avait composés dont un qui fut prémonitoire puisqu'il le composa seulement quelques jours avant son horrible mort.
Il haïssait comme nous tous la destruction des arbres, des forêts. L'arbre...ce symbole juif si fort.
Traduit de l'hébreu en anglais puis...en français par mes soins
C'est une leçon de vie. Une leçon que nous devons presque tous les ans reprendre pour comprendre combien nous sommes d'une part entourés d'ennemis prêts à encore nous brûler vifs comme au moyen-âge, comme dans les années 40, comme aujourd'hui.
Ils ne veulent pas de cette terre. Ils ne l'aiment pas car elle n'est pas la leur. Ils veulent juste effacer, brûler ce pays et ses juifs.
Ils n'ont rien appris de l'histoire et pourtant nous parle d'un Allah miséricordieux et "pardonneur".
Non ! Ils ne peuvent pas comprendre un millième de l'amour de Sion que nous portons en nous depuis des millénaires parce qu’il est infini, authentique et plus profond que toutes les haines du monde.
Ces "barbares" disait David Shambadal sont les mêmes.
Ce qu'hélas notre frère mort sous les coups de couteaux de ces barbares avant d'avoir vu naître son pays, ne savait pas c'est qu'ils n'ont pas changé. Qu'ils ne changeront jamais.
Pire, cher David, ils sont "compris", "aimés", "aidés" par le reste du monde.
Comme en 1936...comme quelques années où on cessera de brûler les arbres et les forêts pour brûler notre peuple.
Ils continuent mon frère !
Peut-être parce que Sion leur est étranger tout autant que l'amour.
Ils brûlent eux-mêmes d'absence d'amour.
Alors nous éteindrons encore avec amour et oui, nous planterons, planterons et planterons encore parce que nous avons choisi depuis longtemps l'arbre de la connaissance, celui qui donne à l'homme le repos, l'ombre nécessaire lorsqu'il fait si chaud et tout simplement la vie.
Les arabes procédaient comme aujourd'hui encore, mettant le feu partout afin de faire fuir les juifs.
Ces arabes pour la majorité d'entre eux étaient envoyés en "Palestine mandataire" afin d'être comptés parmi les déshérités de la terre arabe.
Ils n'avaient donc aucun scrupule pour brûler tout ce que les juifs plantaient, construisaient dans l'espoir de la renaissance de leur patrie ancestrale.
Les pogroms d'abord puis les révoltes par la suite au nom du Coran et du grand Mufti qui voulait paver les routes de Palestine du sang des juifs.
Cet ouvrier électricien, David Shambadal, plein d'espoir et d'amour pour son pays et son peuple, avait l'âme d'un poète.
Ce jour néfaste du 19 Avril 1936, où il s'apprêtait à réparer un système électrique dans un café de Haïfa, c'est une horde de barbares arabes qui lui tomba dessus.
Il fut égorgé d'abord puis découpé en morceaux.
Parmi ses affaires on trouva beaucoup de poèmes qu'il avait composés dont un qui fut prémonitoire puisqu'il le composa seulement quelques jours avant son horrible mort.
Il haïssait comme nous tous la destruction des arbres, des forêts. L'arbre...ce symbole juif si fort.
Traduit de l'hébreu en anglais puis...en français par mes soins
"Les ennemis ne nous trouveront jamais
Les vandales du désert qui ne font que détruire de leurs mains
Ne nous atteindrons pas.
C'est avec foi et courage que nous reconstruirons cette terre.
En avant ! En avant !
Nous allons planter dans ce désert
Malgré les ennemis.
Les forêts tombent,
Les figues sont en feu
Mais frère
Plante, plante, plante
C'est une leçon de vie. Une leçon que nous devons presque tous les ans reprendre pour comprendre combien nous sommes d'une part entourés d'ennemis prêts à encore nous brûler vifs comme au moyen-âge, comme dans les années 40, comme aujourd'hui.
Ils ne veulent pas de cette terre. Ils ne l'aiment pas car elle n'est pas la leur. Ils veulent juste effacer, brûler ce pays et ses juifs.
Ils n'ont rien appris de l'histoire et pourtant nous parle d'un Allah miséricordieux et "pardonneur".
Non ! Ils ne peuvent pas comprendre un millième de l'amour de Sion que nous portons en nous depuis des millénaires parce qu’il est infini, authentique et plus profond que toutes les haines du monde.
Ces "barbares" disait David Shambadal sont les mêmes.
Ce qu'hélas notre frère mort sous les coups de couteaux de ces barbares avant d'avoir vu naître son pays, ne savait pas c'est qu'ils n'ont pas changé. Qu'ils ne changeront jamais.
Pire, cher David, ils sont "compris", "aimés", "aidés" par le reste du monde.
Comme en 1936...comme quelques années où on cessera de brûler les arbres et les forêts pour brûler notre peuple.
Ils continuent mon frère !
Peut-être parce que Sion leur est étranger tout autant que l'amour.
Ils brûlent eux-mêmes d'absence d'amour.
Alors nous éteindrons encore avec amour et oui, nous planterons, planterons et planterons encore parce que nous avons choisi depuis longtemps l'arbre de la connaissance, celui qui donne à l'homme le repos, l'ombre nécessaire lorsqu'il fait si chaud et tout simplement la vie.