SI LES TUGUES S'Y METTENT AUSSI...
Publié: Novembre 20th, 2016, 8:54 pm
Des activistes anti-israéliens ont vandalisé un restaurant au Portugal en raison de la participation de son chef à un festival culinaire en Israël.
Les auteurs de cet acte de dégradation, qui seraient des activistes appartenant au mouvement anti-israélien BDS (Boycott, Divestment and Sanctions), ont projeté dans la nuit de vendredi de la peinture rouge sur la façade du restaurant Cantinho do Avillez, dans la ville de Porto située au nord du pays.
Ils ont de plus collé des feuillets sur lesquels étaient inscrits « Palestine libre », « Avillez collabore avec l’occupation sioniste » et « Entrée : une dose de phosphore blanc ».
Cette attaque, qui est rare au Portugal, a suivi une opération de piquetage organisée face au restaurant et menée par des activistes de BDS dans le sillage de la participation du chef Jose Avillez aux côtés de 11 autres – tous issus d’établissements renommés dans le monde entier – au Festival ‘Round Tables’ qui est organisé ce mois-ci à Tel Aviv et parrainé par American Express.
Robert Singer, président du Congrès juif mondial, a condamné le mouvement BDS pour cet acte de vandalisme qu’il a qualifié d’antisémite.
“Le mouvement BDS a montré son vrai visage. Il a prouvé n‘être rien d’autre qu’un regroupement de vandales. C’était un acte antisémite. Viser un chef au Portugal uniquement parce qu’il a participé à un festival à Tel Aviv est méprisable », a expliqué Singer dans un communiqué publié samedi.
« Ces militants des droits de l’Homme auto-proclamés sont en fait complètement l’opposé de ce qu’ils prétendent être : Ils font se répandre la haine, pas les droits de l’Homme ».
Plusieurs autres chefs participant au festival ‘Round Tables’ ont été visés par des activistes de BDS, dont Stéphane Jégo, chef du restaurant L’Ami Jean de Paris.
A la suite du piquetage organisé aux abords de son bistrot, il a répliqué le mois dernier à ses critiques, interpellant ces derniers sur Twitter. Il a évoqué sur le réseau social ces militants qui “donnent le triste spectacle d’individus qui sont au mieux désinformés, mélangeant tout et – au pire – partiaux et malhonnêtes », tout en faisant remarquer que BDS est illégal en France.
Jego, Avillez et les autres chefs conviés ont pris en charge les cuisines des restaurants locaux de Tel Aviv pendant une semaine. Parmi les invités de cette manifestation, des professionnels venus du Musket Room de New-York et de La Bottega à Genève.
Selon The Electronic Intifada, un média anti-israélien en ligne, le chef, né au Danemark, d’un restaurant de Bolivie a renoncé à se rendre au festival en raison des pressions qu’il avait dû subir.
Que ce soient les espingouins qui nous fassent chier au point de laisser libre-cours à leur antisémitisme de toujours déguisé évidemment en antisionisme ou maintenant les tugues qui font de même histoire d'exister, il faut admettre que LE MOMENT EST BIZARREMENT CHOISI.
Cela fait quoi ? 2 ou 3 ans que les Ibères espagnols et portugais se sont décidés à refiler la nationalité aux descendants des juifs virés de leurs pays par la pute d'Inquisition en 1492 et un chouille plus tard pour les portugais.
Pas con et avare comme son pote le roi Ferdinand, le roi Juan du Portugal avait tenté de se marier avec la fille de Dona Gracia Mendes, richissime veuve du banquier juif espagnol.
Or, connaissant son appétit pour l'or, Dona Gracia qui n'était chrétienne que d'apparence et avait gardé la foi de ses pères ainsi que son célèbre neveu Don Joseph Nassi, fomenta un SUPERBE COUP AU ROI PORTUGAIS.
Quand on pense que le roi voulait épouser Béatrix la fille de Dona Gracia qui était alors une petite fille pour avoir tout le pognon qui allait en dot...m'enfin !
Dona gracia fit mine de partir prendre les eaux alors que durant des mois auparavant, petit à petit, elle avait fait partir toutes ses affaires hors du Portugal ainsi que ses richesses.
Pour rassurer le Roi, elle mit en évidence deux coffres remplis d'or dans son salon.
Rassuré et bien sûr que les juifs n'abandonneraient pas de telles richesses, il laissa partir Dona Gracia et sa fille prendre les eaux.
Ce qu'elles firent en fuyant d'abord vers l'Italie mais voyant que là aussi leurs destins étaient compromis, elles s'installèrent au Pays Bas.
Chère Dona Gracia...Elle ne cessa jamais d'acheter par navires entiers des esclaves juifs pour les installer où elle pouvait et les sauver.
Elle dut de nouveau partir vers d'autres horizons puisque la reine des pays bas était cousine du roi du Portugal. C'est avec beaucoup de rage qu'elle laissa les juifs partir car ils avaient apporté avec eux, prospérité et vie économique intense.
Ce sera donc en Turquie que Dona Gracia ainsi que ses neveux s'installèrent.
Toujours en quête de sauver son peuple, on voyait régulièrement cette grande dame hanter les quais du port d'Istambul pour racheter encore et encore les esclaves juifs emprisonnés et prêts à être vendus à des marchands arabes.
Que son nom et sa mémoire soient bénis à jamais.