L’ART ANTI-ISRAELIEN EN ISRAEL
Publié: Septembre 25th, 2016, 1:53 pm
Si l’histoire d’Israël est toute tournée vers ces colons venus d’Europe de l’Est qui n’avaient d’autres choix que de s’installer ou mourir, l’histoire israélienne et les politiques israéliens ont été menées par ces mêmes juifs.
Il était de bon ton voire « amusant » de faire des « juifs arabes » de la chair à canon, des abrutis incultes et de la main d’œuvre bon marché.
La révolte des juifs marocains dans les années 70 (Black Panthers) put enfin donner sinon une place disons une perspective sur ces juifs un peu trop oubliés sur les listes électorales alors que sur le front ils en faisaient autant avec moins de felafels sur l’épaule (grades).
Le pays se faisait. Le pays entrait dans une nouvelle ère où tous les juifs venus au grand rendez-vous pour vivre libres sur leur terre ancestrale, jamais affranchie d’un bon nombre de juifs qui y vivotaient sous les différents diktats islamiques, s’accrochaient tant bien que mal au rêve juif et seulement juif.
Non hélas ! Israel n’a pas été épargné par le racisme primaire de certains ashkénazes au pouvoir.
Le rêve sioniste démarrait mal alors qu’il appartenait à tout le monde juif.
Ils se sont accroché ces juifs arabes. Ils n’avaient pour la plupart rien à perdre en fuyant grâce des stratagèmes terribles l’Irak, la Syrie, le Yémen et quelques pays du Maghreb qui se frottaient les mains.
Ces pays arabes, riches de leurs toutes nouvelles indépendances des français ou anglais devenaient riches des propriétés juives.
En Égypte le pactole fut particulièrement juteux puisque le départ des juifs avec l’équivalent de moins de 10 dollars en poche ne donnait aucune chance de se « refaire » à ces juifs dépossédés qui pouvaient pour certains prouver qu’ils étaient présents parfois même avant les conquêtes arabes. « Philon d’Alexandrie. Mireille Addas-Lebel).
Non seulement le sésame politique était ashkénaze mais celui de l’art et de la culture en a toujours été de même.
C’est un journal chrétien évangéliste qui s’en offusque aujourd’hui et je crois bon d’en parler car cette mainmise de la culture ashkénaze, souvent gauchiste et anti-israélienne commence singulièrement à me taper sur les nerfs.
Je croyais naïvement qu’en près de 70 ans, avec une mixité régulière, des mariages « mixtes », des juifs venus de tous les coins de la planète, nous aurions renoncé une fois pour toutes à ce gros boudin ashkénaze qui ne reflète pas mais alors pas du tout la population israélienne.
Manque de bol pour ces israéliens de gauche, dénigrant à tout bout de champ leur pays pour plaire à un Occident de plus en plus incertain sur son identité et son histoire (pour ne pas dire pré-islamisé), il y a une forte majorité de concitoyens qui ne peuvent plus les encadrer.
C’est au cours des OPHIR (équivalent des Oscars ou Césars) qu’ils ont pu donner la mesure de leur antisionisme primaire.
Miri Reguev, Ministre de la culture a du faire un speech comme elle se devait de le faire, devant un parterre de hooligans islamo-gauchistes qui ne rend grâce qu’au Haaretz, journal qui a de plus en plus de mal à cacher ses petits orgasmes onaniques devant ces non-événements.
Le duo à la mode en Occident est composé d’un juif israélien Yossi Tzuberi et un arabe Tamer Nafas reprenant en chœur un poème de Mahmoud Darwish considéré par les arabes comme un grand poète ainsi que par France Culture & Cie !
Notons au passage que le poète s’était fait un tantinet une réputation de « petit moustachu du Reich arabe » en rimaillant dans le style : « les juifs doivent repartir en cercueils ! ».
Bof ! Bof ! Que des ashkénazes, franchement nazes, trouvent cela joyeux et salutaire on s’en cogne vraiment mais leur unique visibilité m’insupporte. I24 news est devenu un vecteur médiatique qui leur ressemble. Que nous reste-t-il ?
Si des films israéliens sur l’armée sortent, ils doivent impérativement avoir le label « PEACE NOW » et montrer que les soldats sont confrontés à leurs douloureuses consciences qui les mènent au tombeau après la bataille.
Aucun scénariste pour ces soldats qui ont vu leurs frères de combat se faire mettre en pièces par des arabes à 15 contre 1 ?
Aucun scénario pour des batailles héroïques ? C’est trop.
Enfin…ces pauvres arabes tout de même !
Qui se souvient que 5 armées coalisées ont voulu éradiquer Israël à plusieurs reprises ? Mais ce n’est pas bien pour l’establishment travailliste au pouvoir de rappeler les douleurs des familles mortes de peur avant les batailles, des anges de la mort venant taper à leurs portes pour leur annoncer qui, leurs enfants, leurs maris, leurs frères ?
Victoires et juifs SONT BANNIS de la culture israélienne, de l’art israélien et surtout du 7è art, le cinéma.
Ne seront admis depuis des décennies que des pleureurs et pleureuses juifs qui entreront dans le mythe d’un peuple inventé pour rester à tout prix dans la case « hommes et femmes de gauche ».
Au diable la réalité ? Au diable tous ces civils juifs morts d’avoir cru en la paix ! Qu’ils crèvent donc ces juifs qui veulent vivre libres.
Israel, malgré toutes ses victoires et à quel prix, a abandonné son histoire, sa culture et ses batailles gagnées. Elle reste dans la case victimaire que le monde entier voudrait nous ranger à jamais.
N’est ce pas là une attitude étrange que celle de ces juifs qui ne peuvent vivre qu’au détriment de leurs oppresseurs ? Peut-être que 2000 ans ne sont pas encore assez de temps pour qu’ils se fassent à l’idée qu’ils sont maîtres de leurs destins et pire encore qu’ils sont maîtres de leurs rêves.
Quoi ? La réussite n'est pas cachère ?
A tous ceux là, je dédie ce moment de colère et d’exaspération pour rester aveugles et sourds devant la haine congénitale de ceux qu’ils défendent si ardemment.
Si une gamine de 12 ans arrive avec un couteau pour tuer un jeune soldat à un check-point, ces parfaits ignares de gauche qui vivent des subsides de l’état de droite, trouveront encore des circonstances atténuantes à cette gamine.
Là, leur psychologie de bazar ashkénaze qui ne comprend rien de la culture arabe, aura l’air d’une pétasse car cette gamine voulait peut-être échapper à un mariage forcé ou tenter d’intégrer un pays dans lequel les droits des enfants, des filles, des femmes sont respectés.
Mais pour ça…il faut apprendre et comprendre les mœurs de barbares qui n’ont de palestiniens que le nom.
Le KGB a fait du bon travail mais qui nous dit que ces détracteurs israéliens ne sont pas nostalgiques du communisme stalinien ?