Qui sont-elles ? Qu'ont-elles fait exactement ? Voilà qui pourra éclairer votre lanterne.
Dans le sillage de l'affaire Gilad Shalit, les médias traditionnels ne nous épargnent pas ce genre d'images affligeantes à bien des égards.
(Shahinaz, la sœur d'une prisonnière libérée Fotnah Aleish Abo, tient une photo de Fotnah dans son village d'Askar près de Naplouse)
Beaucoup de gens se demandent pourquoi Israël emprisonne des femmes palestiniennes. Le fait est que celles-ci sont loin d'être des scouts.
Voici une liste de ces femmes et des informations que nous possédons sur elles et leurs faits d'armes :
1. Randa Muhammad Yusuf Shahatit
2. Abir Isa Amru
3. Iman Muhammad Gazzawi
Iman Razawi, jeune mère de 23 ans, originaire de Naplouse, a été appréhendée avec un sac blanc qui contenait un dispositif quatre kilogrammes d'explosifs. Radio Israël a rapporté que la bombe était composée de 4 kg d'explosifs et était remplie de clous et d'éclats de métal. Après avoir été arrêtée Razawi a essayé de jeter le sac puis a tenté de s'évader, mais elle a été immédiatement arrêtée.
4. Amal Fayiz Jum’a Mahmud
Les forces de sécurité israéliennes ont arrêté juste à temps cet hermaphrodite palestinien transportant une bombe de 15 kg, qu'il/elle voulait faire exploser en plein cœur de Tel Aviv.
Amal Juma'a est un hermaphrodite de 32 ans qui préfère se faire appeler Ahmed selon les sources palestiniennes.
5. Miryam Salim Tarabin
6. Abir Mahmud Hasan Awda
7. Fatin al-sa’di
8. Wafa Samir al-Bass
Très tôt le matin du 25 juin 2005, cette femme s'est présentée au passage d'Erez. Son comportement avait éveillé la curiosité des gardes-frontières qui lui ont demandé de se déshabiller dans un sas sécurisé. Elle portait sur elle environ 20 kg d'explosifs.
Wafa Samir Ibrahim al-Bass, résidente de Jabalia dans le nord de la bande de Gaza, a avoué être affiliée au groupe terroriste « brigade des martyrs d'Al Aqsa » (branche du Fatah de Mahmoud Abas). Son but ultime étant de se faire exploser dans un hôpital israélien où elle se faisait soigner depuis quelques années après un accident domestique.
Elle a aussi admis durant son interrogatoire que son rêve de toujours était de finir en « shahida ».
9. Abu Golmi Youssef Lanan
10. Sanabil Nabigh Yusuf Barik
11. Fatina Mustafa Khalil Abu Ayyash
12. A’isha Muhammad A’biyat
13. Hanan Ahmed Ali
14. Nasrin Abu Zina
15. Shalbi Hana
16. Kraja Samud
17. Pollshchuk Irina – Originaire d'Ukraine
Certaines femmes Russes ont fini dans les territoires palestiniens à la suite d'aventures dignes de mauvais romans.
Telle est l'histoire d'Irina Polishchuk qui comme d'autres femmes russes sont venues en Israël afin d'y exercer le plus vieux métier du monde : la prostitution.
C'est sur un chantier qu'elle a connu son futur mari, un palestinien du nom d'Ibrahim Sarhana. Plus tard, il s'est avéré que Sarhana était membre d'un groupe terroriste. Cela n'a pas dérangé Irina Pollschuk. Elle a non seulement choisi de se marier à Sarhana et donner naissance à un enfant, mais elle rejoint également la même organisation souterraine. L'heureux couple prit bientôt part à un acte terroriste en transportant un kamikaze dans la ville de Rishon LeZion.en 2005).
18. Issawi Abd Faiz Ibtisam
19. Sh’hadeh Muhammad Hussein Sana’a
Trois Israéliens ont été tués et des dizaines de blessés dans cet attentat suicide dans la rue King George à Jérusalem (Mars 21, 2002).
Les deux femmes qui ont conduit le kamikaze sur le site d'attaque étaient : Kahira Sa'adi et Sanaa Shahada.
Sanaa Shahada, 27 ans, de Kalandia, a avoué lors de son interrogatoire qu'elle avait été impliqué dans le transport et l'infiltration de Kahira Sa'adi qui s'est faite exploser.
Elle a aussi admis être une amie proche de Nasser Shawish, un haut responsable du Jihad islamique de Jénine, qui avait été peu de temps auparavant arrêté par les forces de sécurité. Elle a admis avoir accepté à sa demande de s'impliquer dans un attentat suicide à Jérusalem, révélant ainsi qu'ils ont acheté un bouquet de fleurs au checkpoint à l'entrée de la ville. Par la suite, le kamikaze Hashaika a pu se fondre dans la foule facilement puisque c'était le jour de la fête des Mères. Par ailleurs, elle a déclaré qu'elle avait marché 50 mètres derrière Sa'adi et Hashaika, parce qu'elle portait costume traditionnel arabe et ne voulait pas éveiller les soupçons .)....
20. Al-Saadi Said Ali Qahara
. Kahira Saadi, 26 ans, d'Al-Ram, est mariée et mère de quatre enfants.
Elle a avoué lors de son interrogatoire par l'ISA qu'elle avait guidé le kamikaze Mohammed Hashaika jusqu'à Jérusalem.
Sa'adi a déclaré que Abdel Karim Ouweis, un agent du Fatah en Cisjordanie qui avait été arrêté lors de l'opération Bouclier défensif et qu'elle a rencontré dans le camp de réfugiés de Jénine, lui a demandé d'exploiter son apparence occidentale pour guider un kamikaze à Jérusalem. En outre, elle a avoué que, après l'attaque de King George elle a accepté de guider un autre kamikaze avec une plus grosse bombe.
21. Jiwasi Ziyad Dawa’a
. Trois Israéliens ont été tués et 59 blessés dans cette attaque suicide d'un marché de Netanya (19 mai 2002). La femme qui a conduit le kamikaze sur le site d'attaques s'appelait Da'a Jiusi.
Da'a Jiusi, une étudiante de 21 ans originaire de Tulkarem, a avoué lors de son interrogatoire devant l'ISA qu'elle avait été recrutée par les agents du FPLP à Naplouse afin de guider le kamikaze à jusqu'au lieu de l'attentat. Jiusi a également déclaré que son contrôleur lui avait demandé si elle était prête à perpétrer l'attaque elle-même. Elle a refusé de se sacrifier, mais a accepté de participer à l'attaque. Elle a raconté son contrôleur qui elle connaissait très bien Netanya, et surtout sa plage, où elle serait souvent visite avant l'Intifada. Jiusi a été demandé d'accompagner le kamikaze vers cible et fournir ainsi une couverture sous la forme d' un couple innocent.
22. Daragmeh Rawad Hussein Ruma :
Rima Daraghmeh avait l'intention de commettre un attentat suicide mais s'est faite arrêter avec les explosifs chez elle par les services de sécurité israéliens.
Elle a également participé à l'enrôlement de la femme qui a effectué un attentat suicide à Afula en 2003.
23. Latifa Muhammad Abu Dara’a
Très tôt, un matin, Abou Awis Suliman, un résident âgé de 20 ans du camp de réfugiés de Balata, et son complice Abou Saris Zaber, âgé de 37 ans et père de 7 enfants, originaires de Naplouse, ont quitté Balata afin de commettre un attentat-suicide.I
Ils étaient accompagnés de Latifa Abu Dara, une femme âgée de 40 ans de Naplouse et mère de sept enfants. Ce trio pensait qu'il serait moins visible en se fondant sur l'hypothèse de que les femmes sont moins bien contrôlées.
Latifa a conduit le véhicule transportant le kamikaze et son complice ainsi qu'une une ceinture de 8 kg d'explosifs. Plus tard ce jour-là, Latifa qui marchait devant les deux, a permis de traverser tous les points de contrôle. Dans la zone de Kafr Kasem, Latifa a placé la ceinture d'explosifs sur le le kamikaze et est ensuite retourné à Naplouse .
24. Tamimi Aref Ahmad Ahlam
Étudiante en journalisme et originaire de Jordanie, Ahlam Tamimi a résidé à Ramallah depuis 1998.
Avant de guider le kamikaze vers sa cible Ahlam Tamimi a avoué devant l'ISA qu'elle avait fait des repérages sur les lieux avant l'attentat.
Avec le terroriste qu'elle accompagnait, elle discutait en anglais afin de ne pas éveiller les soupçons. Le transport de la bombe s'est fait dans un étui de guitare.
En outre, Tamimi a été responsable de la dissimulation d'une bombe dans une canette de bière dans un supermarché de Jérusalem le 30 Juin 2001. Peu après elle a été recrutée par le Hamas. Pendant son interrogatoire, elle a admis être consciente qu '«elle aurait pu mourir comme un martyr." ..
25. Muna Jawad Ali Amna
Le lycéen Ofir Rahum, 16 ans, a été attiré vers sa mort le 17 Janvier 2001.
La femme qui a séduit et attiré cet adolescent pour le tuer est : Mona Awana.
Mona Awana, 26 ans, est un agent du Fatah de Bir Naballah, près de Ramallah. Elle a participé à l'enlèvement et l'assassinat de Ofir Rahum, 16 ans, le 17 Janvier 2001. Awana, journaliste universitaire a été chargé de proposer à son ami, Hassan al-Kadi, un agent du Tanzim à Ramallah, de kidnapper un Israélien après avoir pris contact avec lui sur l'Internet. Awana prit contact avec le garçon sur Internet et lui a proposé de la rencontrer. Peu après elle conduisit le jeune adolescent vers le lieu de son assassinat.
26. Aliaa Muhammad Yhya Jaadallah Ja’abri
27. Ramyah Ratab Hassan Abu Samra
Aucune de ces femmes libérées aujourd'hui contre la libération de Gilad Shalit n'ont à aucun moment évoqué de remords pour leurs actions terroristes et les meurtres qu'elles ont soit réalisés elles-mêmes soit aidé à leurs réalisations.
Ces femmes que l'on peut voir dans un excellent reportage « les épouses d'Allah » n'avaient pas l'air de souffrir en prison.
Lorsqu'on voit le traitement inhumain dont a souffert Gilad Shalit, on peut légitimement penser que l’État d’Israël, devrait repenser les conditions de ces prisonniers et prisonnières.
Un ex Ministre Saoudien des affaires étrangères avait eu une réflexion assez surprenante mais parfaitement juste lorsque Samir Kuntar fut libéré contre les cadavres de soldats israéliens.
« Kuntar a eu de la chance d'avoir été en prison chez les juifs. Il n'aurait pas grossi de 30 kg ni même passé des diplômes d'études supérieures s'il était tombé dans une prison arabe ! ».
Normalement, un séjour en prison devrait donner un effet dissuasif à tous ceux qui sont censés en sortir mais du côté des arabes palestiniens, c'est plutôt une promotion pour le prisonnier lui-même et pour les membres de sa famille.
L’Occident paie aussi pour que ces meurtriers puissent jouir d'une pension de « shahid » et c'est ce qui encore plus scandaleux.
Tous ces « libérés » meurtriers, assassins de masse, tueurs d'enfants, de civils innocents, vont enfin jouir de leur pactole que les pays européens, les USA ont donné sous forme d'aide aux palestiniens.
C'est purement et simplement un PERMIS DE TUER que l'Occident donne à ces fous furieux.