MARTINE GOZLAN A VU LA LUMIÈRE ?
Publié: Mai 9th, 2016, 8:59 am
Nous n’étions pas habitués à décrypter dans les colonnes de Marianne des petites ou grandes peurs sur l’état de l’antisémitisme en France ou en Europe.
D’habitude, le comité de rédaction avait l’obsession du reste des média de droite ou de gauche : les palestiniens étaient la résurgence du crime rituel juif. Il fallait lire entre les lignes pour certains et cash ou brut de décoffrage dans d’autres journaux.
En tout cas, dans Marianne, on adorait dégommer le gouvernement de droite de Netanyaou et on plaidait pour le plan de la ligue arabe ou celui de Clinton. Retour aux frontières de 1967 (même si les frontières n’en étaient pas) et partage de Jérusalem.
Martine Gozlan se la jouait lyrique « pour la paix » au nom de l’anti-colonialisme et tout le laïus habituel des gens de gauche. Elle était dans le coup la Martine comme celle de Lilles mais en moins hargneuse tout de même !
Puis, un jour, Gozlan s’en est pris plein la gueule. Un gros uppercut en pleine poire qui a du la laisser KO.
C’était sa nuit de feu à elle et au petit matin elle avait des bleus partout. Son palestinisme branché prenait un peu l’eau parce que ses potes de toujours n’avaient pas eu de réaction à la mesure de l’horreur : l’antisionisme camarade c’était de la couille de loup.
L’antisémitisme sans tabou s’installait durablement au point qu’on tuait les enfants juifs au nom de la sacro-sainte lutte contre l’entité sioniste.
Ça fait mal hein ? Ça te bouffe ton idéologie socialiste comme un début de cancer. Tu ne pipes mot mais la douleur monte, monte comme le dit Antigone.
Et toi, Martine Gozlan, ainsi que d’autres intellos de gauche (juifs) comme son pote Konopnicki pour lequel je serais indulgente car le mec avait semble-t-il été plus clairvoyant que le reste de la rédaction de Marianne au sujet de l’antisémitisme.
Mais rappelons-nous de ce paragraphe de Maurice SZAFRAN alors rédac-chef de Marianne. Gravons le dans le marbre car il est le prototype du juif rasant les murs, du juif incapable de comprendre ce que le crime d’un Fofana allait avoir sur les cerveaux des arabo-musulmans de France.
Nous avons eu l’impudence de relever, avec une grande sérénité de ton, qu’en vitupérant aussi fort les verdicts prononcés à l’issue du procès Fofana, le Crif commettait deux erreurs lourdes de conséquences. Dénonçant la « clémence » des réquisitoires et du jury populaire (rappelons que l’assassin Fofana a écopé de la peine quasi maximale), le Crif conteste le principe même dudit jury populaire, conquête de la République. Est-ce seulement raisonnable ? Plus grave encore : d’un claquement de doigts, relayé par le président de la République lui-même, le Crif a obtenu que la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, fasse appel du jugement. En gonflant ses biceps, en faisant jouer sa force, son influence, la crainte qu’il provoque, le bras politique des juifs de France a mis en place une implacable machine à fabriquer de… l’antisémitisme. Que va-t-on une nouvelle fois fantasmer, dans les cités et ailleurs, sur l’influence juive, sur la puissance juive, sur ce pseudo-lobby juif qui obtiendrait du pouvoir politique ce qu’il veut, quand il veut, jusqu’à faire annuler une décision de justice rendue au nom du peuple français ? Pourquoi prendre le risque insensé de mettre ainsi le feu à la maison commune ?
Le couard et étrangement absent Maurice Szafran est-il devenu muet depuis les tueries de l'école juive de Toulouse ? De Bruxelles ? et tout le reste en fait...
Depuis, il y eut les « mort aux juifs « et les enfants juifs tués, les synagogues assiégées et les pogroms sur le point d’éclater à tout moment.
Depuis, 40 000 enfants juifs ont du sortir des écoles de la République et les juifs vivent sous protection de l’armée.
Une telle cécité de la part d’un intello juif de gauche, c’est louche à moins que la « haine de soi » ait encore frappé.
Pour Martine Gozlan et "sa paix des esprits" ou à tout prix, le coup de poing dans la tronche n’a tout de même pas entamé son désir de voir naître un état palestinien.
Depuis elle s’est prise une petite branlée dans l’émission de Frédéric Taddéï devant des débatteurs largement antisionistes, Martine Gozlan a osé parler des « dérives antisémites ». Chez Taddeï...tssss à quoi ça sert sinon à le faire bander ? C'est tout de même le meilleur pote d'Edouard Nabe ce mec !
Son statut de rédac-chef à Marianne confère à Martine Gozlan un peu plus de moyens mais... Marianne…combien de lecteurs ?
Son dernier article sur ce qui se passe en Grande-Bretagne dans la division BDS n’empêche pas la brave journaliste de paix de nous casser les burnes sur 2 ou 3 mensonges qui vous vendent le palestinien comme le martyr idéal.
« La cause palestinienne est devenue depuis bien des années le prête-nom et l’exutoire de passions douteuses en quête de respectabilité. La campagne pour le boycott d’Israël, appelée BDS – boycott, désinvestissement, sanctions -, incarne le dernier avatar de cette prétendue solidarité avec un peuple dont, par ailleurs, les faux amis n’ont jamais défendu les vrais héros : ces Palestiniens patriotes et démocrates, cibles de l’intégrisme, désormais condamnés au silence, comme le philosophe Sari Nusseibeh.
Il est même probable que ce nom, ou celui de son ami disparu, l’immense poète Mahmoud Darwich, qui voyait grandir comme un cauchemar la terreur du Hamas, n’évoquent à peu près rien pour les foules disparates régulièrement occupées à conspuer Israël, traité comme le premier, voire le seul prédateur de la planète. L’ancien président Shimon Peres, Nobel de la paix 1994, le rappelait douloureusement il y a quelque temps : « La focalisation sur Israël, alors qu’il y a tant de zones de conflits ultraviolents dans le monde, est un révélateur des intentions des promoteurs du boycott. Ses animateurs ne sont ni neutres, ni objectifs et ils ne connaissent pas les faits. »
Lire le reste ici : http://www.tel-avivre.com/2016/05/08/la ... t-disrael/
Pour Sari Nusseibeh « le philosophe palestinien », il faudra repasser ma petite. Nusseibeh n’est pas plus palestinien qu’Omar Barghouti l’inventeur de BDS. Il est né à Damas et il a de grosses casseroles au derrière.
En qualité de journaliste, chère Martine Gozlan, tu aurais du te renseigner sur le personnage avant de nous le vendre super cool et philosophe alors qu’il prend fait et cause pour ses étudiants de l’université de Beir Zeit, où il enseigne, qui défilent habillés en nazis avec des croix gammées et des mains en l’air. Ses chers étudiants nient la Shoah mais le philosophe que tu encenses n’en a cure.
L’université américaine Brandeis qui subventionne grassement Beir Zeit a voulu arrêter de donner de l’argent si les étudiants ne cessaient pas leurs manifestations nazies.
Qui est venu plaider en faveur de ses braves opprimés étudiants palestiniens ? Ton Sari Nusseibeh. Ton philosophe de pacotille qui n’est même pas palestinien et qui admet que 6 millions de juifs ben…c’est po bien grave et si ça s'trouve c'est pas vrai comme l'écrit dans sa thèse le président Mahmoud Abbas. De plus, les costards des nazis c’est plutôt élégant.
Ton second exemple est tout aussi merdique. Il faut dire que pour trouver un « palestinien » correct la route est longue et jusqu’à présent elle n’a mené nulle part.
Ton poète Marmoud Darwish ! Quel lyrisme ! Vraiment ?
Ton poète pouet pouet voulait qu’on renvoie tous les juifs hors de Palestine dans des cercueils….
Tsssss. Il y a toujours quelque chose de foireux chez les arabo-musulmans. Ils vous montrent les versets sympas du prophète du temps où il était baba-cool à la Mecque et oublient de vous mettre sous le nez les versets abrogeant les versets cools dans lesquels tout les infidèles doivent être égorgés.
Bon ! Au moins, Martine Gozlan aura-t-elle eu une petite perception de ce que les juifs ressentent depuis maintenant une bonne vingtaine d’années. Y a quelque chose de pourri au royaume de France.
Ce n’est guère dans le confinement d’une salle de rédaction ou dans les troquets branchés de la capitale qu’on va chercher l’info.
Va…Il est temps pour moi de trouver notre champion. Londres a son musulman à la mairie et je cherche quel sera le nôtre après Hidalgo.
J’hésite encore entre un marocain et un algérien…d’origine !
On a déjà deux ou trois marocains au gouvernement…Allez ! On a besoin de gaz : un algérien bien de chez nous fera l’affaire.
Houellebecq…salaud !