Je croyais ces distractions non coraniques haram chez ces abrutis enturbannés.
Il faut croire que pour servir leur haine obsessionnelle des juifs, les Perses iraient même jusqu'à lire l'odieux chrétien que fut Shakespeare.
Le guide suprême est un fan du grand dramaturge anglais mais il affectionne, je vous le donne en mille : LE MARCHAND DE VENISE !
Pour lui : "Shylok, le juif fourbe" et la pièce où il en est le personnage central est en accord avec les valeurs occidentales.
Cette ordure d'ayatollah sait de quoi il parle. L'Angleterre dans laquelle le mythe de "l'enfant sacrifié pour les besoins de la fête juive de Pessah" est né, est bien représentative (encore plus aujourd'hui") des valeurs occidentales !
J'évite le fou-rire en écrivant ces phrases, vu que les brits n'ont plus trop l'air très brits selon moi.
La perfide Albion regorge de voilées, de burqabées, de babouches et d'enturbannés plutôt que de chapeaux melons et autres parapluies qui faisaient la nique à nos gaulois en béret avec baguette sous le bras.
Khamenei, au sortir d'une petite séance de chimiothérapie, a eu l'impudence (voire imprudence) de citer Shylok et d'en faire une sorte d'épouvantail à moineaux juifs.
Ah ! L’enfoiré ! Si aucun grand écrivain n’a pu échapper (hormis Zola) à l’endoctrinement de la catéchèse ordinaire sur les juifs, l’antisémite Voltaire a tout de même donné un peu beaucoup de méchanceté à tout le monde religieux.
D’autre part, si tout la doxa trouve normal voire sympathique en ce 400è anniversaire de la mort de Shakespeare de jouer « Le marchand de Venise », PERSONNE AU MONDE N’OSERA METTRE EN SCÈNE LE « MAHOMET » DE VOLTAIRE.
Que dire de ça hein les aminches ?
Oh...Il y a eu une tentative en Suisse il y a quelques années, bien vite stoppée par la grâce des émirs planquant leurs pétro-dollars dans le pays.
On ne redoute jamais les juifs et qu’ils peuvent demeurer une sorte de fosse où toute la méchanceté, le racisme du monde peut se déverser sans crainte.
Qui ira défier le Maure ? Personne. Ils sont bien trop nombreux et bien trop puissants et surtout…bien trop…susceptibles !
Toute une rédaction de journal aujourd'hui au cimetière...ça fait réfléchir sur le prochain joke non ?
Z’avez entendu parler de l’humour arabe vous ? Ou même islamique ?
Ouais…j’en connais qui iront me refiler du Jamel Debouzze mais le manchot ne fait rire que sa communauté tandis que l’humour juif…he he he Il transcende les frontières aminches chéris !
Je répondrais donc à l’enturbanné de Téhéran qui semble revenu dans les cœurs de toute la communauté internationale grâce au Mâdhi Barack Hussein Obama grâce à ma culture française.
C’est Voltaire qui s’y est collé et a bien dépeint le cinglé de la Mecque qui s’en est allé bouder à Médine faute de suiveurs.
LE FANATISME, OU MAHOMET LE PROPHÈTE PAR VOLTAIRE
La scène est à la Mecque.
Zopire, Phanor.
Zopire.
Qui ? Moi, baisser les yeux devant ses faux prodiges !
Moi, de ce fanatique encenser les prestiges !
L' honorer dans la Mecque après l' avoir banni !
Non. Que des justes dieux Zopire soit puni
si tu vois cette main, jusqu' ici libre et pure,
caresser la révolte et flatter l' imposture !
Phanor.
Nous chérissons en vous ce zèle paternel
du chef auguste et saint du sénat d' Ismaël ;
mais ce zèle est funeste ; et tant de résistance,
sans lasser Mahomet, irrite sa vengeance.
Contre ses attentats vous pouviez autrefois
lever impunément le fer sacré des lois,
et des embrasements d' une guerre immortelle
étouffer sous vos pieds la première étincelle.
Mahomet citoyen ne parut à vos yeux
qu' un novateur obscur, un vil séditieux :
aujourd' hui, c' est un prince ; il triomphe, il
domine ;
imposteur à la Mecque, et prophète à Médine,
il sait faire adorer à trente nations
tous ces mêmes forfaits qu' ici nous détestons.
Que dis-je ? En ces murs même une troupe égarée,
des poisons de l' erreur avec zèle enivrée,
de ses miracles faux soutient l' illusion,
répand le fanatisme et la sédition,
appelle son armée, et croit qu' un dieu terrible
l' inspire, le conduit, et le rend invincible.
Tous nos vrais citoyens avec vous sont unis ;
mais les meilleurs conseils sont-ils toujours suivis ?
L' amour des nouveautés, le faux zèle, la crainte,
de la Mecque alarmée ont désolé l' enceinte ;
et ce peuple, en tout temps chargé de vos bienfaits,
crie encore à son père, et demande la paix.
Zopire.
La paix avec ce traître ! Ah ! Peuple sans courage,
n' en attendez jamais qu' un horrible esclavage :
allez, portez en pompe, et servez à genoux
l' idole dont le poids va vous écraser tous.
Moi, je garde à ce fourbe une haine éternelle ;
de mon cœur ulcéré la plaie est trop cruelle :
lui-même a contre moi trop de ressentiments.
Le cruel fit périr ma femme et mes enfants :
et moi, jusqu' en son camp j' ai porté le carnage ;
la mort de son fils même honora mon courage.
Les flambeaux de la haine entre nous allumés
jamais des mains du temps ne seront consumés.
Phanor.
Ne les éteignez point, mais cachez-en la flamme ;
immolez au public les douleurs de votre âme.
Quand vous verrez ces lieux par ses mains ravagés,
vos malheureux enfants seront-ils mieux vengés ?
Vous avez tout perdu, fils, frère, épouse, fille ;
ne perdez point l' état : c' est là votre famille.
Zopire.
On ne perd les états que par timidité.
Phanor.
On périt quelquefois par trop de fermeté.
Zopire.
Périssons, s’il le faut.
La suite ? Ici : http://www.areopage.net/Textes/Mahomet.htm
Ah aminches de mon coeur, si le courage vous manque et que vous perdez espoir sachez que vous n'êtes pas seuls et que nous avons déjà vaincu tant de fascismes, celui-ci sera le dernier.
Quant à cet ayatollah mourant, qu'il reste accroché à sa haine, c'est à peu près tout ce qu'il lui reste.