Une nouvelle tribune a été donnée à de sinistres collabos dans le Monde.
Il n’y a plus rien à dire sur ce journal sinon qu’il aura passé ses 20 dernières années à produire les pires délires antisémites et antisionistes dans ses pages pour vieillards atteints de haine de soi.
« Israël, ce cancer… » qui fit grand bruit car signé par ces mêmes tremblotants de la plume et du cerveau a pu donner aux musulmans de France et de Navarre quelques substituts d’amour eux qui en ont tant à offrir aux insoumis que nous sommes.
Aujourd’hui, les mousquetaires du Monde pour lesquels « Accepter le débat avec Tariq Ramadan ne signifie pas être d’accord avec lui » viennent de récidiver.
Alain Gresh : pauvre môme abandonné par son illustre communiste de père Henri Curiel qui naquit en Égypte et rejoignit rapidement les rangs du FLN.
Comme tous les juifs apostasiant pour le communisme, Curiel travaillait d’abord pour le Soviet Suprême et par voie de conséquence contre « l’état colonialiste israélien ».
Alain Gresh a donc suivi la route de papa Henri au point de haïr férocement tous ce que les juifs représentent. Pour faire court, « ça ne devrait pas exister ces gens-là ».
Ce qui est intéressant, c’est le parcourt de ces ex-juifs nés dans des pays arabes, souvent de familles très aisées qui, pour fuir la tradition, iront jusqu’à s’engager totalement dans un parti communiste dont le moins qu’on puisse dire est qu’il ne laissait guère de place au libre-arbitre.
On était communiste et on devait obéir au dogme !
Dans le même style, on trouve par exemple la famille LEVY. Juifs égyptiens aisés dont les deux fils prendront exactement le même chemin que Curiel et son fiston Gresh en adhérant au Parti communiste.
L’aîné des Lévy ira si loin qu’il changera de nouveau de religion en devenant un musulman acharné après son mariage avec une égyptienne. Il écrira « la sirat du prophète ». Pour un Lévy, c’est un peu gênant.
Le second, très connu pour ses errances dans le communisme puis le maoïsme, deviendra le secrétaire de Jean Paul Sartre mais un beau matin « verra la lumière ». Il part soudainement pour Strasbourg dans une Yéshiva. Sacré parcours que celui de Benny Lévy.
Edgar Morin ou la honte d’être né juif.
On ne présente plus ce vieillard pathétique qui pleura abondamment la mort de son ami Stéphane Hessel. Edouard Nahum de son vrai nom n’a aucune larme lorsqu’il évoque (à peine) les juifs de Salonique d’où venait sa famille et dont 98 % moururent durant la seconde guerre mondiale.
Pour Edgar Morin, aucun supplicié ne vaudra jamais UN palestinien. C’est bien lui qui proposa le terme de « cancer » concernant Israël dans le fameux édito du Monde.
Ce triste ex-juif sépharade ne pouvait que s’entendre avec Hessel qui continue de nuire aux juifs grâce à sa vieille épouse Christiane que beaucoup s’arrachent pour prolonger la discussion avec le défunt antisémite.
Menteur comme un arracheur de dent, Stéphane Hessel ? Oui…Mais les amis sont là pour aider et consoler puisque « les palestiniens sont une cause juste »
.
Le mensonge est une caractéristique qui lie les antisionistes comme Hessel, Morin et Gresh.
Ce dernier, dirigeant du monde diplomatique, était allé jusqu’à inventer purement et simplement un entretien qu’il aurait eu avec Bachar Al Assad bien avant la guerre en Syrie. C'était poilant. Cela ressemblait à l'interview de Castro par PPDA. Un truc dingue.
Pourtant le Gresh peut encore jouir du titre d’intellectuel ainsi que de son poste dans le Monde Diplo sans que ça remue le peuple et encore moins les rédacteurs en chef du « journal de référence ».
Pris la main dans le pot de confiture, le mec nie et puis…devant l’évidence, tente de nous vendre son gros mensonge en nous balançant « le conditionnel » ! "Si j'l'avais vu Bachar, il m'aurait dit ça !"
En fait, il était en Syrie mais n’a jamais obtenu de visa d’entrée chez Bachar ! Sacré salaud et fieffé menteur le Gresh mais tellement….Hesselien comme attitude.
Venons en à la moukère qui cosigne ce torchon voulant ni plus ni moins réhabiliter le frère Ramadan et le laisser prendre sa place d’homme politique en France, Sonia Dayan-Herzbrun .
Au risque de vous lasser, Madame Sonia Dayan est aussi formée à l’école communiste pure et dure. Elève de Claude Lefort (ex-Cohen), Sonia Dayan porte haut et fort les valeurs du totalitarisme soviétique.
Passée elle aussi dans le camp des farouches obsédés de la cause palestinienne, elle imite les zozos Gresh, Hessel, Morin et tant d’autres en adhérant à l’islamo-gauchisme.
Elle ira assez loin dans son amour de la cause arabe en cosignant un édito qui a fait couler de l’encre dans le Monde en s’en prenant à Kamel Daoud qu’elle accusera d’avoir utilisé "des clichés anti-arabo-musulmans éculés".
Brave moukère que cette Sonia Dayan ! Elle aura eu la peau de Kamel Daoud puisque celui-ci déclarera renoncer à écrire des articles.
Le communisme est un naufrage de la pensée et de l’honnêteté intellectuelle.
Voyez tous ces orphelins de l’URSS, de ses goulags, de ses murs imbéciles qui verrouillaient Berlin et les libertés les plus élémentaires. Il est vrai que cela ressemble tant à l'islam.
Ces vieux juifs qui avaient ENFIN changé de religion et d’identité pour se laisser pénétrer jusqu’à la moelle par le nouveau dogme totalitaire ne savent plus comment éprouver leur amour. Le communisme est mort. Que faire ?
Mais D.ieu est grand ! Le Palestinisme les a affranchis ! Ils peuvent de nouveau communier avec des damnés de la terre et étriper sans manière ces « juifs » qui osent être libres dans leur pays.
Il leur faut désormais aider Edwy Plenel qui s’est chargé de réhabiliter Tarik Ramadan, le futur homme politique français qui viendra à bout de ces territoires perdus de la République en offrant s’il le faut son corps et la charia dans la foulée.
Ah ! Il faut parler avec Tarik Ramadan…Est-ce une absolue nécessité ?
Vaste débat dans lequel le Monde mais aussi toute cette flopée d’intellos communistes ou approchants veulent nous faire croire.
Dans le fond, ce qu’ils essaient d’imposer à la France c’est un débat que nous ne voulons absolument pas et qui consisterait à scinder le pays en deux :
- Ceux qui sont avec les « progressistes » (mouarf !) de gauche ou islamo-compatibles comme ces signataires et ceux qui approuvent.
- Ceux qui sont forcément les « populistes » ou extrémistes de droite. On comptera alors tous ceux qui ne veulent pas d’un islam conquérant en France avec ses accommodements sur la laïcité.
Voilà tout bêtement ce que veulent ces sales types et bonnes femmes en écrivant régulièrement des éditos à pleurer dans le Monde : la BINARISATION.
Ils ne souhaitent qu’une seule chose avant que la grande faucheuse ne vienne les cueillir : laisser derrière eux un monde binaire : l’islam contre le reste du monde.
Tarik Ramadan et son frère Hani (toujours en Suisse lui), sont les dignes descendants du créateur « des frères musulmans » et en passe, si nous n’y prenons garde d’instaurer tranquillement un califat en France et pourquoi pas dans le reste de l’Europe.
Comment un Louis Dreyfus, qui appartient au Directoire du Monde, peut-il laisser faire ?
Dreyfus ? Non…Ne me dites pas qu’il était….ah bon ?