Le gouvernement français en la personne d’Emmanuel Valls a pris la mesure du danger mais un peu tard, du recrutement des djihadistes via internet.
Secret de polichinelle qui peut faire sourire.
L’État a convaincu les géants américains du web comme Google, Facebook, Microsoft, Twitter ou Apple de financer une fondation de droit privé, qui aura en charge de mener la contre-propagande sur Internet, plus discrètement qu’avec des actions officielles venues du gouvernement français.
Mais la « stratégie » de l’état commence à faire doucement rigoler puisque celui-ci demande à déléguer cette contre-propagande à des groupes de travail indépendants.
Pour quelles raisons ?
Parce que les jeunes y verraient une forme de complot de l’état.
Or, en y regardant de plus près, voici précisément le moyen pour l’État de perdre en crédibilité.
D’une part, il reconnait implicitement qu’il faut marcher sur des œufs et que les jeunes sont définitivement des électrons libres qui peuvent pisser sur la République mais profiter de ses nombreux avantages. On en revient aux « droits » SANS les « devoirs » qui vont avec.
Terrible message en vérité. Donner à cette jeunesse qu’on qualifie volontiers de martyre, de désillusionnée et de pauvre d’esprit puisqu’elle est incapable de faire la différence entre son envie de vie ou de mort, est une erreur monumentale.
Sur Europe 1, le message est clair : « Laisser le gouvernement sur la touche est un choix stratégique. Il est en effet difficile de faire entendre un message associé aux décideurs politiques à des jeunes qui rejettent le système en bloc. A l’inverse, s’adosser aux géants du web peut permettre de profiter des compétences de ces entreprises, habituées à diriger des campagnes vers un public cible en fonction de son âge ou de ses centres d’intérêt ».
Le chef du gouvernement avait alors annoncé le projet d’une fondation, en indiquant qu’elle « fera de la recherche sur l’évolution du discours et de la propagande djihadistes », et produira des « outils de ”contre-discours” pour alimenter ces community-managers associatifs »
Il faut donc refiler le bébé à des petites structures que personne ne connait et qui sont censées balancer les sites ou propos djihadistes.
Encore quelque chose d’obscur qui coûte un bras et qui n’a pas l’air de vraiment fonctionner puisque les recrutements n’ont jamais aussi bien marché.
Maintenant, le problème est beaucoup plus simple qu’il n’y paraît.
Si ces jeunes et moins jeunes sont attirés par le djihad mais QU’ON LES LAISSE PARTIR ! Il faut que jeunesse se passe et s’ils décident d’aller voir ailleurs et jouer aux coupeurs de têtes, c’est LEUR DROIT.
La seule condition à ce droit aux départs au djihad est L'IMPOSSIBILITÉ ABSOLUE DE RETOUR !
Si ce contrat est clair, il faut laisser tous ces inutiles partir vers ce qu’ils pensent être de meilleurs cieux pour eux.
Tout ce fric dépensé pour de parfaits et inutiles imbéciles afin qu’ils reviennent à de meilleurs sentiments est du fric perdu.
Tenter de retenir des abrutis qui, d’un jour à l’autre pourraient, par frustration, retourner leurs armes faciles à trouver, contre des citoyens français, est inepte et provoquera plus d’attentats sur le sol de France. Peut-être que notre pays a envie de vivre à l'heure israélienne ? Ce ne serait pas mal dans le fond...
La demande des français est audible à travers tous les sondages menés par beaucoup d’entreprises : l’islam fait chier tout le monde.
L’islam n’est en l’état pas soluble dans notre pays et encore moins dans le reste de l’Europe.
L’islam coûte beaucoup trop d’argent alors que les deniers peuvent être utilisés à d’autres fins comme l’aide à la création d’entreprise ou encore au mieux-être d’hommes et de femmes dont le pouvoir d’achat a fondu comme neige au soleil.
Bref ! L’islam nous coûte en argent et en territoires perdus de la République. Quel besoin alors de retenir ces hommes et femmes, jeunes et moins jeunes en partance vers le califat ?
Laissez-les partir et ne les laissez plus rentrer. Voilà le programme simple qu’il faut appliquer rapidement et sans état d’âme.