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EVRY LA VILLE A MANU !

MessagePublié: Janvier 4th, 2016, 10:19 am
par Nina

Tous les journaleux qui ont envie d’atteindre Manuel Valls, rappellent sans cesse la petite phrase qui tue : « Euh…mettez-moi un peu de blancos là… ».

Il est vrai que dit comme ça, ça peut choquer toutes les ligues de vertus et le parti indigène de la république.

Toutefois, si le lecteur n’est pas averti, si les photos ne sont pas légendées, on aurait pu croire que Manu, alors seulement Maire de la bonne ville d’Evry, se trouvait dans un pays d’Afrique noire.

Où est le mal ? Manu Valls voulait prouver que le multicul était réel et qu’il était en France bordel de merde. Qu'il y avait même des gaulois d'avant peuchère !

Evry…Evry…sa population bigarrée, ses petites révoltes, ses galopins arpentant les rues comme de vrais petits caïds, se rappelle à nous grâce à ses mœurs sexuelles quelque peu…hardos ?

L’année dernière on a eu ça :

Le verdict est tombé. Un jeune homme, à l'époque âgé de 17 ans, a été condamné mercredi à 30 ans de prison pour avoir, avec trois complices, volé, violé et battu une jeune femme, l'an dernier à Évry dans l'Essonne. Il était accompagné par ses deux frères et un ami, tous trois âgés de 13 à 15 ans. La peine est conforme à ce qu'avait requis l'avocat général devant la cour d'assises des mineurs de l'Essonne.

Les faits remontent au 30 mars 2014. Il est une heure du matin lorsqu'une jeune femme de 18 ans, qui rentre d'une soirée passée à Paris, sort de la gare RER d'Evry-Courcouronnes. Selon Le Parisien, elle est accostée par quatre individus, armés de bombes lacrymogènes, d'un tournevis et d'un brise-vitre. Ils lui volent son téléphone portable. L'aîné de la bande entreprend alors de la fouiller. Il lui dérobe ses bijoux et se livre à de premiers attouchements sexuels.

Un calvaire de deux heures

Elle est alors entraînée par le groupe dans le parc voisin des Coquibus. Pendant près de deux heures, la jeune femme va subir un véritable calvaire. L'aîné la viole pendant que les autres la frappent à coups de bâtons. Puis c'est à leur tour d'abuser de la victime. Attachée et bâillonnée, rien ne lui sera épargné. À la fin de cette séance de torture, ils la frappent à coups de pieds et de poings. Puis ils finissent par l'abandonner en pleine nuit et la menacent de mort si elle évoque les faits qui se sont déroulés. Deux automobilistes découvriront la jeune femme, au petit matin, marchant, hagarde, dans la rue. En état de choc, elle se confiera tout de même aux policiers.

Les auteurs ont été rapidement interpellés. Les trois plus jeunes ont déjà été jugés par un tribunal pour enfants en avril. Ils ont été condamnés à des peines allant de 5 à 7 ans de prison. Seul l'aîné de la bande était jugé depuis lundi, à huis clos, par la cour d'assise des mineurs de l'Essonne. Récidiviste, il a déjà été condamné à quatre ans de prison pour avoir violé un garçon de 13 ans avec un embout d'extincteur alors qu'il était lui-même âgé de 15 ans.
Il affirmait cette fois avoir simplement voulu voler la jeune femme avant de perdre le contrôle de lui-même. Il risquait la prison à perpétuité.


Aujourd’hui, on a une petite variante :

Une enquête préliminaire a été ouverte dimanche soir à Évry après la diffusion sur les réseaux sociaux de la vidéo d'une jeune femme violée par deux hommes, a-t-on appris lundi de source judiciaire, confirmant une information de France Info. « Le commissariat d'Évry a reçu un signalement d'une personne qui a trouvé cette vidéo inacceptable », a expliqué la source judiciaire, ajoutant que l'enquête avait été confiée à la sûreté départementale de l'Essonne.

La vidéo montre « des jeunes qui partent en scooter avec une fille dans une maison. Ils la font boire, ils la droguent et ils la violent avec une bouteille de whisky », a affirmé cette même source. « On peut identifier deux agresseurs ainsi que la fille, qui est très visible », a-t-elle ajouté.

L'existence de cette vidéo a été largement relayée dimanche sur les réseaux sociaux par les internautes, la plupart choqués, qui ont prévenu en ligne les autorités. Selon France Info, elle aurait initialement été publiée sur Snapchat, puis relayée sur la page Facebook des auteurs présumés du viol. Les identifier ne devrait pas être trop difficile, selon la radio, qui précise que, « sur sa page Facebook, l'un des suspects présumés affirme, vidéo à l'appui, que son bracelet électronique lui a été retiré le 10 novembre ».


C’est pas un peu redondant ces petits faits divers ?

Nous noterons avec grande satisfaction combien le bracelet électronique pour certains « galopins » est utile et donne au "chenapan" le sentiment de payer sa dette envers notre société si...réac.

Comme ils sont cons comme des manches, ils vont même poster leurs exploits sadiques sur leurs comptes FB.

Comme disait Homer dans le film des frères Coen (O’brother) : »Ils sont tellement cons ça fait plaisir ! »