Vendredi 26 juin (demain), un accord global unira l’état du Vatican avec celui de la Palestine.
Dès le mois de mai dernier, le Pape François avait officiellement reconnu cet état en devenir avec autant de solennité que tout autre état du monde.
Cet accord, discuté depuis une quinzaine d’années, concerne principalement l’activité de l’Église catholique et sa reconnaissance juridique dans les territoires palestiniens.
LE SAINT-SIÈGE RECONNAÎT CLAIREMENT « L’ÉTAT DE PALESTINE ».
Il réaffirme aussi le souhait d’une solution de la question palestinienne et du conflit entre Israéliens et Palestiniens dans le cadre de la solution à deux États et des résolutions de la communauté internationale. Dans cet accord bilatéral, en outre, le Saint-Siège reconnaît clairement « l’État de Palestine ».
Dans un entretien à l’Osservatore Romano, Mgr Antoine Camilleri, sous-secrétaire pour les rapports avec les États au Vatican, qui avait négocié l’accord avec les autorités palestiniennes, rappelait que le Saint-Siège avait déjà accueilli favorablement la résolution de l’assemblée générale des Nations unies du 29 novembre 2012 qui reconnaissait à la Palestine un statut d’État observateur non-membre de l’ONU.
QUE PENSER DE CET ACCORD ?
Qu’assister depuis une bonne vingtaine d’années à la Messe de Minuit à Bethleem par feu Arafat remplacé par Mahmoud Abbas, vous conduit directement non dans la Jérusalem Céleste mais dans la chambre privée du Pape.
L’intimité entre ces deux représentants de l’islam et de la chrétienté doit avoir une bonne visibilité pour le reste du monde afin que ces deux monothéismes aient l’air qu’ils n’ont pourtant pas puisque massacres de chrétiens d’Orient il y a tous les jours.
La concordance des temps est plus que troublante.
Le mouvement général qui s’impose en Occident visant à isoler le seul état juif via une presse partiale et un mouvement de boycott qui s’étend à n’en plus finir, vient maintenant s’inviter sur le trône de Saint Pierre.
Le Pape François, présenté comme un « ami des juifs » vient de nous sortir le grand jeu du pape gauchiste se mêlant absolument de toutes les grandes questions du monde.
La misère, les migrants, la démographie galopante lui faisant déclarer à peu près la seule chose intelligente « paternité responsable » ainsi que l’écologie, admettons qu’il soit dans son rôle.
Il rejoint nos braves chancelleries occidentales complètement inféodées aux arabes qui s’échinent à tenter de nous convaincre que la création d’un état arabe de Palestine est le seul moyen d’instaurer la paix dans cette région du monde.
FOUTAISE !
Soit le monde est cinglé (c’est possible), soit il est aveugle et sourd dès qu’il s’agit du Moyen-Orient et de l’Afrique.
Le dénominateur commun de tous ces massacres, guerres et horreurs dignes du moyen-âge est pourtant L’ISLAM.
Vous vous trompez ! Tous vos Ministres intègres, vos diplomates et vos partis de gauche vous le diront : "Tout ceci pourrait cesser si les juifs MEURENT."
Je pèse bien mes mots.
Reconnaître un état qui n’en a jamais été un mais une milice terroriste depuis la création de l’OLP et le FPLP, ne mènera nulle part ou plutôt si : à une autre guerre.
Si le Pape François a des petits arrangements avec nos ennemis, grand bien lui fasse ! Il ne fera rien pour mettre à l’abri ses chers frères chrétiens d’Orient, trop occupé qu'il est de mettre ses frères arabes « palestiniens » au frais.
Ces « arrangements » sont d’ordre financier et cultuel.
Peut-être que le Vatican, toujours avide de plus de rentrées d’argent, ne comprend toujours pas pourquoi ses institutions pseudo-religieuses, ses hôtels pour pèlerins friqués, ses commerces d’objets de culte sont taxés au même titre que les autres commerces, vendant à peu près les mêmes choses qu’ils soient juifs ou arabes ?
Le Vatican pense que non. Le Vatican veut du net dans ses tiroirs et refuse obstinément de payer son écot. Pas d’impôts, pas de taxes pourtant appliqués à toutes les entreprises générant des profits.
Que visent vraiment la Curie et son chef suprême le Pape François ?
Bethléem bien sûr ! La bien-nommée ainsi que deux trois petites villes charmantes où le Christ aurait séjourné, où des églises et des commerces florissants peuvent rapporter très gros en cette ère de renouveau spirituel.
Adouber Mahmoud Abbas, en faire un « ange de paix » c’est envoyer un signal très fort au monde arabo-musulman. On se demande bien si le Pape a tenté de sauver ces chrétiens jetés dans des brasiers parce qu'ils "auraient" moqué le prophète Mahomet au Pakistan.
On peut regretter les temps anciens où les capuchons de l’Eglise envoyaient au bûcher les juifs ou ces faux chrétiens qui judaïsaient en secret. Ce nouvel état du Vatican, dont on oublie qu’il dut son statut au fasciste Mussolini, veut continuer à brimer le juif. Combien l'Eglise a-t-elle acheté son état au fait ? Anthony Burgess (écrivain de génie) parlait de 54 millions de dollars venus tout frais des banques du Vatican à Chicago.
Ne pouvant vraiment plus compter sur une Allemagne nazie, "on" préfère aller dans « le sens de l’histoire » et copiner avec les nouveaux nazis : les musulmans.
Le prétexte palestinien est tout trouvé. Le Vatican n’a qu’à reproduire ce que toutes les gauches du monde s’évertuent à faire depuis des décennies : délégitimer l’état d’Israël, « le juif des nations » comme disait feu Ariel Sharon.
Le Pape François et sa curie ne semblent pas être affectés par la grande lessive opérée par leurs frères palestiniens dans la ville de Bethléem.
Celle-ci comptait 70 % de chrétiens puis, grâce aux accords d’Oslo laissant le loup ivre de haine Yasser Arafat, entrer dans la bergerie, Bethléem ne compte plus qu’à peine 10 % de chrétiens.
Cette hâte soudaine à faire de la Palestine un état pour le Vatican est plus que troublant.
Sachant combien les États-Unis sont (normalement) attachés à Israël, le Pape François est en train de lancer un message clair à l’église catholique américaine qui possède assez de revenus et d’influence pour continuer le travail de sape de l’état juif dans les sphères politiques de haut niveau et estudiantines. L'Université catholique de Notre Dame est le fer de lance de la réconciliation avec le frère arabo-musulman. On y accueille Tarik Ramadan avec force délicatesse et ronds de jambe.
Une façon aussi de régler des petits comptes avec les évangélistes américains bien trop partisans de cet état juif.
Une façon d’influencer le plus important état catholique d’Asie qui compte pas moins de 75 millions d’ouailles : les Philippines.
Bref ! Vous l’aurez compris. Le Pape bien aimé, le défenseur des pauvres et des orphelins est désormais le Pape des opprimés Palestiniens.
Vendredi 26 juin sera encore une occasion pour ce minuscule état du Vatican d’envoyer le message au milliard de chrétiens du monde : La Palestine c’est la venue du Christ sur terre !
Seuls les méchants et tueurs de Jésus s’opposent à son avènement comme ils l’ont toujours fait ces deux derniers millénaires.
La soudaineté du processus de reconnaissance de la Palestine par le Vatican m’interpelle personnellement.
J’y vois en effet une course effrénée contre la montre archéologique israélienne.
Ces dernières années et surtout ces derniers mois, les archéologues ont mis la main sur de véritables trésors datant du Roi David.
Qu’a donc à redouter de si terrible le Vatican ? Le Pape ? Les chrétiens ET les musulmans ?