MAHMOUD ANGEL OF PISSE
Publié: Mai 17th, 2015, 11:55 am
Le Pape François en a de bonnes !
Non seulement le Vatican sous les bons hospices de la Curie et du suprême Vicaire, il reconnait l’état fantôme de Palestine mais dans la foulée :
- Il offre un médaillon au terroriste en chef du Fatah Mahmoud Abbas alias Abou Mazen pour le nom de guerre sur lequel est inscrit (prière de ne pas rire) : « un ange de paix détruisant le mauvais esprit de la guerre ».
- Secundo, le Pape est en forme et nous canonise deux « saintes » arabes chrétiennes devenues « saintes palestiniennes ». Marie de Jésus Crucifié (Mariam Baouardy) et Marie-Alphonsine Ghattas seront élevées à la gloire des autels, lors d’une messe solennelle Place St Pierre, présidée par le Pape François.
Qu’ont-elles fait ?
La première, née en 1846 en Galilée fonda un monastère à Bethléem.
La seconde, Marie-Alphonsine Ghattas, née pour sa part à Jérusalem en 1843, fut la fondatrice de la Congrégation des Sœurs du Rosaire, cela, à la demande même de la Vierge Marie, qui lui apparut à plusieurs reprises.
Euh...mon papa a fondé deux écoles juives ? Je peux postuler pour une canonisation de mon paternel ?
Mahmoud/Mazen est invité bien sûr !
Le Vatican ne refuse rien à ses arabes préférés. Tant pis pour le dogme chrétien qui prend un coup dans la tronche car, si Jésus était juif et ne voulait rien lâcher aux Romains, Israel était encore Israel jusqu’à ce qu’un empereur sanguinaire et pédéraste ne décide de rayer jusqu’au nom du pays juif en le nommant « Palestine ».
Ça ne les dérange pas à Rome.
Il est vrai que pas bête, le prophète d’Allah a fait un beau coup en ajoutant Jésus dans le corpus islamique en en faisant un prophète de l’islam.
Du coup, les chrétiens préfèrent largement dealer avec les musulmans au lieu de « ces juifs perfides ».
Vatican 2 tu parles !
Difficile de laisser choir de mauvaises habitudes.
(On fait les choix qu'on peut...qu'on veut ?)
On a cru un petit moment que la curie et le Pape de gauche allaient se faire du mouron pour les chrétiens d’orient, de ce que leur réserve tous les jours les frères musulmans…Ben non !
Il leur en faut plus sans doute pour comprendre la barbarie du dogme mahométan et de ses fidèles.
Pourquoi maintenant ? Qu’est ce qui motive le Vatican à reconnaître officiellement un état palestinien qui n’existe toujours pas ?
Voilà une question qu’elle est bonne…
- Vieille rancune anti-juive ? Oui…mais rien de très nouveau
- Compromis souterrains avec les arabes « palestiniens » sur des propriétés de l’église dans les territoires disputés ?
Aussi…
- Gros coup de colère concernant de gros business appartenant à l’Eglise apostolique et romaine qui refuse toujours de s’acquitter des impôts dont ils devraient normalement être assujettis ? Oui, c’est encore une pomme de discorde entre l’état d’Israel et le Vatican.
Si tous les édifices religieux n’ont pas à payer d’impôts, il n’en va pas de même avec les entreprises touristiques quand bien même elles seraient qualifiées de « religieuses ». Elles génèrent des profits, elles emploient des salariés, bref…elles ont tout ce qu’il faut pour être considérées comme « commerciales ».
Ça, le Vatican n’aime pas mais alors…pas du tout.
Par contre, j’imagine fort bien des tractations avec l’entité de Mahmoud Abbas sur un futur état dans lequel l’Eglise n’aura pas à débourser un dollar et continuera ses petites affaires fort rentables au nom de Jésus et de la Curie. C’est que ça coûte cher les ors de Saint Pierre.
Un autre sujet épineux et délicat émerge aussi dont peu de gens semblent affranchis.
- Beaucoup de trouvailles archéologiques en Israël : Galilée, Jérusalem mettent du temps à apparaître dans la presse dite « normative ».
Certains artefacts trouvés, datant du Xè siècle avant l’ère commune mettent à mal les éternels détracteurs de l’histoire juive. En gros, disons que ces objets, après vérifications scrupuleuses auprès du très sérieux AAI (Agence des antiquités israéliennes), seraient de l’époque des rois David et Salomon. Autant vous dire que ça fout le bourdon aux arabes qui ne cessent de hurler que le Temple n'a jamais existé et qu’Israël n'a jamais existé. Au diable les quelques versets du coran qui en cause !
L’archéologie israélienne commence à cumuler un énorme capital des différentes époques dites « bibliques » ainsi que d’autres bien entendu.
L’attitude de l’Église durant l’affaire des rouleaux de Qumran (manuscrits de la mer morte) fut symptomatique de la peur irrationnelle de ce qui fut appelé la plus grande découverte archéologique du XXè siècle.
Petits morceaux choisis :
Le plus grand scandale universitaire du siècle !
C'est en 1947 que l'"affaire" des manuscrits de la mer Morte a commencé, près de la localité de Qumrân, en terre jordanienne, dans le désert surchauffé de Juda. Alors qu'il cherchait une brebis égarée, un berger de la tribu bédouine des Te'amré, Mohammed Ahmed el-Hamed appelé "le Loup", découvrit par hasard, dans une caverne surplombant la mer Morte, une série de jarres étroites, hautes d'environ 60 centimètres. Certaines étaient encore surmontées de leur couvercle en forme de bol. Dans l'une d'entre elles, il trouva des paquets enveloppés de tissus contenant trois rouleaux de parchemin, que sa tribu vendit ensuite à un marchand. Consultés sur leur valeur, des experts internationaux confirmèrent l'ancienneté de ces documents, vieux d'environ un siècle avant J-C. Ils représentent donc une incroyable découverte : celle de textes de la Bible de mille ans plus jeunes que ceux que l'on connaissait déjà. Après d'autres recherches, la grotte n° 1 - il y en a onze - livrera au total sept grands rouleaux, qui sont parmi les mieux conservés de tous les manuscrits de la mer Morte. En particulier, le rouleau d'Isaïe, qui mesure 7,34 mètres de long. Puis, de 1952 à 1956, lors de fouilles systématiques effectuées à Qumrân par l'Ecole biblique de Jérusalem, la découverte de dix autres grottes permettra de mettre au jour cinq autres rouleaux pratiquement intacts - dont le rouleau du Temple, long de 8,75 mètres - et d'innombrables fragments de quelque 700 textes.
Les sept rouleaux de la grotte n° 1 furent publiés dans un délai raisonnable, quelques années après avoir été étudiés par des chercheurs français, anglais et américains. Au fil des ans, les textes fragmentaires des autres grottes furent également diffusés, à l'exception de ceux de la grotte n° 4, découverte en 1952 par le Père Roland de Vaux, directeur de l'Ecole biblique et archéologique française. C'est par cette grotte-là que le scandale est arrivé. Elle contenait sans doute des textes à caractère religieux qui, peut-être, remettaient en question les dogmes catholiques. La grotte n° 3 contenait, quant à elle, un mystérieux rouleau de cuivre brisé en deux, au sens non encore élucidé.
Dans un livre publié en Angleterre en 1991 et traduit en France en 1992, sous le titre La Bible confisquée, les auteurs, Michael Baigent et Richard Leigh, accusent le Vatican d'occulter les manuscrits de la mer Morte parce qu'ils ébranleraient des doctrines essentielles du christianisme.
Première amorce de preuve avancée par les auteurs : les excessifs retards dans la publication. En effet, alors que plus de cinq cents textes ont été mis au jour dans la grotte 4 de Qumrân depuis sa découverte en 1952, il n'en a été publié qu'environ une centaine au bout de cinquante ans (les trois cents textes provenant d'autres grottes ont presque tous été publiés). Situation encore plus alarmante : la petite coterie d'éditeurs qui contrôle l'accès aux quatre cents textes inédits de la grotte 4 le refuse à d'autres chercheurs pour en garder la primauté.
Secondo : Les éditeurs des textes de la grotte 4 sont en majorité des religieux catholiques, en poste à l'École biblique et archéologique française, dirigée par les dominicains et située dans la partie Est de Jérusalem (qui se trouvait sous autorité jordanienne jusqu'en 1967). L'équipe éditoriale fut recrutée en 1953 par le père Roland de Vaux qui, selon Baigent et Leigh, exerça une autorité quasiment tyranique sur les rouleaux jusqu'à sa mort en 1971. L'équipe réunie par de Vaux comprenait Mgr Patrick Skehan, des États-Unis ; l'abbé Jean Starcky, de France; le père Jozef Milik, prêtre polonais qui depuis a quitté la prêtrise et s'est établi en France ; un chercheur allemand bientôt remplacé par un autre prêtre français, le père Maurice Baillet; et John Strugnell, qùi se convertit ensuite au catholicisme. Le seul protestant de l'équipe était Frank Cross, venu alors du McCormick Theological Seminary et actuellement à Harvard. Un Anglais agnostique, John Allegro, complétait l'équipe. Un seul laïc, donc.
A la mort du père de Vaux, en 1971, un autre dominicain de l'École biblique, le père Pierre Benoît, lui succéda dans ses fonctions d'éditeur en chef. A la mort de Benoît en 1987, lui succéda John Strugnell, alors converti au catholicisme, jusqu'en 1991, où il fut révoqué par ses collègues après la publication de quelques propos violemment anti- sémites qu'il avait tenus à un journaliste israélien. A la mort de Starcky, son lot réservé de textes fut légué au père Émile Puech, également de l'École biblique. Quand Skehan mourut, son lot fut légué à Eugene Ulrich, de l'université de Notre Dame. Mais Baigent et Leigh ne s'arrêtent point là. Ils recherchent longuement où, en définitive, réside l'autorité : "A qui, finalement, l'équipe internationale devait-elle rendre compte ? Théoriquement, ses membres auraient dû le faire à leurs pairs, aux autres chercheurs [non confessionnels, libres, indépendants]. En réalité, l'équipe internationale semblait ne se reconnaître de compte à rendre à quiconque, sauf à l'École biblique de Jérusalem. Et à qui l'École biblique devait-elle rendre compte ?"
- Au Vatican, bien sûr ! Les Religieux ont fait voeu d'obéissance au saint-siège, on le sait !
Par leurs investigations personnelles et minutieuses, Baigent et Leigh ont mis à découvert, selon leurs termes, une révélation capitale, non seulement pour nous, mais aussi pour d'autres chercheurs indépendants dans ce domaine : l'École biblique était directement branchée sur le Vatican, à défault du pape en personne.
Dès ses débuts, l'École biblique a été étroitement affiliée à la Commission biblique pontificale. Selon les auteurs, l'École biblique est un "auxiliaire de la machine de propagande de la Commission [biblique pontificale] - un instrument de diffusion de la doctrine catholique sous couvert de recherche historique et archéologique". De Vaux lui-même fut nommé consulteur auprès de cette commission ; à sa mort, Benoît lui succéda dans cette fonction. A la mort de Benoît, son successeur à la tête de l'École biblique fut nommé consulteur auprès de la commission.
Un peu plus loin, on prend encore plus la mesure de la panique vaticanesque.
"Que se passe-t-il si l'on découvre quelque chose que l'on ne parvient pas à rendre ainsi conforme ?" demandent les auteurs. Ils poursuivent : "D'après les déclarations du père Skehan, la réponse à cette question semble claire. Tout ce,qui ne peut être subordonné ou adapté à la doctrine existante de l'Eglise doit, par nécessité, être éliminé. La position du père Skehan, nous disent-ils, trouvait un écho manifeste dans celle du pape Pie XII en personne, qui soutenait que "l'exégète biblique a une fonction et une responsabilité à assumer dans des questions aux implications importantes pour l'Église". ***
Avec cet arrière-plan, on comprend aisément pourquoi "le père de Vaux" tenait à éviter, autant que possible, d'embarrasser les autorités chrétiennes", déclarent les auteurs. De toute évidence, certaines données de Qoumrân étaient précisément jugées susceptibles de le faire. Pour éviter cet embarras, l'équipe dirigée par de Vaux conçut et "imposa [pour des raisons que l'on connait] une rigide orthodoxie pour l'interprétation" des rouleaux.
"Toute déviation de cette interprétation équivalait à une hérésie. Oser contester était risqué pour sa propre crédibilité... Au fil des années, progressivement, cette orthodoxie dans l'interprétation [est devenue] d'un dogmatisme croissant."
Les auteurs sous-entendent que de Vaux et ses collègues pourraient même détruire - ou avoir détruit - certains documents compromettants.
Pour mémoire : Le père de Vaux, dont l'antisémitisme non rentré était connu parmi les chercheurs, s'ingénia à refuser que ses collègues juifs ne puissent approcher des rouleaux de Qumran qu'il avait en charge DURANT 20 ANS ! Il avait la dent dure non ?
http://webduweb.free.fr/enquete.htm
Peu à peu, au fil de découvertes de plus en plus pointues concernant la vie juive sur la terre d’Israel, il semble que les branches chrétiennes et musulmanes aient quelques petites frayeurs bien naturelles au fond puisqu’il s’agit ni plus ni moins que de remises en question sur la place plus qu’honorable du premier monothéisme, celui qu’ils ont tenté tant de fois durant deux milles ans d’éradiquer les fidèles et leurs livres saints.
Il ne s’agit pas, en ce qui me concerne, de donner une place prépondérante au judaïsme alors qu’au fond, sans ce socle là, on se demande ce qu’auraient fait les deux autres dogmes suivants.
.Non, il s’agit encore une fois de se demander pourquoi il faut effacer physiquement les juifs et les preuves de leur histoire sur cette terre d’Israël
Je veux parler d’alliances maudites. Oui…maudites, mortifères, quelque chose que seuls les juifs connaissent déjà.
Un Vatican en perte de vitesse et un islam conquérant s’embrassant à pleine bouche et représentant à eux deux pas moins de deux milliards et demi d’individus dans le monde, il est vrai que David paraît si petit à côté des géants.
Ce Pape de gauche, si prompt à vitupérer les riches s’obstine toutefois à baiser la bouche des puissants.
Mahmoud Abbas, qui n’est plus président depuis 7 ans puisqu’il n’y a pas eu d’élections, a les mains trempées dans le sang ; celui des nombreux juifs/israéliens que son mentor sans doute canonisé sous peu par le Vatican, Saint Yasser, aura fait tuer.
Celui des 11 athlètes israéliens morts à Munich dans ce pays maudit pour les juifs. Mahmoud l’argentier, qui ne tira pas une balle mais acheta et organisa l’attentat des jeux olympiques de 1972.
Angel of peace ? Really ? Angel of pisse surely.