par Nina » Mars 16th, 2015, 10:52 am
OBAMA DOIT ETRE EMPÊCHÉ
Le président américain et sa clique de fêtards d’extrême-gauche doivent faire l’objet d’une mesure « d’impeachment ».
Ces mecs sont devenus tarés.
Exactement comme Jimmy Carter en son temps, ils pensent que l’Iran et sa folle théocratie est LE pays auquel il faut donner les clefs du Moyen-Orient.
Pure folie ! D’une part, Jimmy cacahuètes Carter et son obsession anti-israélienne a finalement laissé les mollahs prendre le pouvoir en ne parvenant pas à discerner ce que cette république islamo-fasciste allait engendrer comme malades mentaux, comme morts et comme exportation du mal vers toutes les nations du monde.
Les chiites ne veulent pas vendre le chiisme aux 90 % des sunnites composant l’islam mais LA RÉVOLUTION ISLAMIQUE ! Tant que les « experts » ou le commun des mortels n’auront pas compris cela, ils ne pourront rien piger des desseins de cette théocratie iranienne.
Comme un homme en fin d’érection tentant de le planquer pour faire plaisir à la dame évidemment pas dupe de la chose, la presse de gauche américaine et européenne, fait mine d’ignorer que Barack Obama a pris langue quasiment au lendemain de sa première élection à la maison blanche avec les ayatollahs.
A partir d’un cercle restreint certes, le Président et son éminence grise Benett parlant couramment le farsi, ont commencé à entrevoir une possible alliance avec l’ennemi N°1 de l’indéfectible allié, ISRAËL.
Pour continuer ces échanges qu’on peut qualifier de « cordiaux », on a d’abord convenu qu’un second mandat à la présidence étasunienne était indispensable pour mettre au grand jour les pourparlers Iran-USA.
Une fois réélu, cela n’a guère tardé. Obama et son staff ont peaufiné un plan ma foi bien ficelé pour faire admettre aux américains d’abord qu’il était utile sinon impossible de faire sans, de renouer avec la République islamique d’Iran.
1) Faire de l’échec (si on veut appeler cela ainsi), des négociations entre Israel et Mahmoud Abbas, une raison de s’allier avec l’Iran.
2) Ne pas intervenir en Syrie et Irak sinon de façon chirurgicale et peu convaincante pour contrer Daesh.
3) En appeler aux forces pacifistes américaines pour ne pas entrer en guerre et détourner les yeux d’un conflit sunnites/chiites puis sunnites/radicaux islamiques.
4) Vouer constamment aux gémonies Israël pour ne pas vouloir d’un état palestinien comprenant un retour de 4 millions et demi de réfugiés qui ferait de l’état juif un état binational de facto. Pleurnicher sur les colonisations et laisser faire BDS et tous les mouvements anti-israéliens de base faire le reste en Occident.
5) Laisser Kerry aller au feu en admettant désormais que le seul à pouvoir être un frein à DAESH est précisément BACHAR AL ASSAD, l’allié inconditionnel de l’Iran et du Hezbollah.
Cette nouvelle pilule amère que certains experts semblent découvrir dans leurs analyses médiatiques, est l’aboutissement d’un plan en plusieurs phases réellement pensé.
Il ne s’agit nullement pour Obama et son administration de prendre les choses en pleine poire et de manœuvrer devant les avancées de DAESH. Ceci est faux.
Il est question d’un pourrissement sciemment mis en œuvre pour donner la leçon mémorable à Israël d’avoir eu l’outrecuidance de défier le Président Obama en allant se plaindre de sa politique devant le congrès.
La question est : OBAMA AURAIT-IL AGI DIFFEREMMENT SI BENJAMIN NETANYAOU AVAIT REFUSE L’INVITATION DU PRESIDENT DU CONGRES ?
Si Netanyaou par pur calcul d’alliance stratégique, avait décidé comme toute la gauche israélienne lui enjoignait de le faire, de ne pas défier Obama, IL EN AURAIT EXACTEMENT ÉTÉ DE MÊME !
Le plan d’Obama pour laisser l’Iran devenir le maître du Moyen-Orient et posséder l’arme atomique demain n’aurait pas été mis de côté.
Disons qu’au pire…cela lui aura donné une petite raison supplémentaire de s’énerver en laissant croire qu’un israélien faisait comme chez lui au pays de l’oncle Sam. Ca, évidemment…ils n’aiment pas les américains.
Pourtant, cela n’a guère tenu la route très longtemps cette petite guéguerre. Il semblerait que les derniers sondages démontrent une nette sympathie des américains pour Israël par rapport aux palestiniens ou plutôt aux arabes.
Voilà un homme Bachar Al Assad, accusé par toutes les nations occidentales d’avoir fait tuer des centaines de milliers de syriens, d’avoir torturé des dizaines de milliers d’eux en prison, d’avoir utilisé des armes chimiques pour tuer massivement son propre peuple, en passe de devenir un INTERLOCUTEUR POUR OBAMA ET JOHN KERRY !
Le syndrome de Carter vient de nouveau de frapper.
L’imbécillité, la courte vue d’Obama peut tout simplement coûter en vies humaines des israéliens.
Il suffit d’imaginer le Hezbollah pourtant en indélicatesse au Liban ces derniers temps pour prendre part à la tuerie de sunnites en Syrie, se délecter de devenir un « partenaire au second degré » des américains.
Quelle joie ! Quelle liesse alors dans la plaine de la Bekaa et à Beyrouth !
Hier ostracisés par les Libanais, les voilà de nouveaux incontournables dans la politique Libanaise.
De milice armée, devenus députés, les hezbollahis pourraient prétendre à la magistrature suprême au Liban.
Terrifiant. Angoissant. Mais pas uniquement pour Israël et cela peut changer la donne.
L’Égypte serait elle aussi gênée aux entournures. Elle a besoin de redevenir le leader du monde arabe et les chiites de Syrie, du Liban, dans le Sinaï et à Gaza (le djihad islamique adore les gardiens de la révolution), devra envisager une guerre larvée.
Il est évident qu’elle ne pourra pas la faire rapidement. Les chaos libyen et au Sinaï prennent beaucoup d’énergie.
Quant aux pétromonarchies, elles tremblent dans leurs coins incapables de se défendre ce qui est ma foi fort risible lorsqu’on tient compte des milliards d’armement qu’elles ont achetés. Comme le prophète Mahomet, elles aiment peut-être astiquer leurs fusées et autres avions de chasse sans jamais avoir le courage de les utiliser.
Obama aura mis un bordel monstrueux dans cette partie du monde. Navrant ? NON ! LÉTAL ! pour un petit pays pourtant allié indéfectible qui devra de nouveau jouer le rôle du gendarme de la région s’il est attaqué de toutes parts.
La folie d’Obama mérite amplement une procédure d’empeachment. Là, nous n’avons pas une robe tâchée de sperme comme au temps de Bill Clinton mais une guerre terrible et un reniement flagrant d’une alliance entre nations démocrates Israël-USA.
C’est au peuple américain de prendre conscience que son président donne raison à ceux qui ont enlevés, tués, massacrés ses ressortissants. L’Iran serait désormais à mettre sur la même balance qu’un pays démocrate comme Israël ? C’est à pleurer.