Premièrement, le fameux discours à la Knesseth de Mitterrand n'était absolument pas emprunt de sympathie ou de fraternité. Ce type n'a jamais connu tout au long de sa vie politique que la manipulation.
Les phrases de Tonton Mitterrand derrière lesquelles Guigou et les autres se planquent sont celles concernant "la reconnaissance d'un état palestinien", l'égalité des droits pour deux peuples.
Absolument contestable, cette prière devança un geste qui marqua l'arrêt total, le renversement des mentalités de toute la classe politique de gauche en France.
Mitterrand fit pire que tous les gouvernements européens : il fut le premier à recevoir peu après sa visite en Israël, Yasser Arafat. EN MAI 1989
(Nous aimons bien les juifs...n'est ce pas ? Mais les arabes...)Ce fut le signal que toute la gauche européenne attendit pour que se répande une ère nouvelle : Israel était le coupable désormais et non celui qui était agressé en permanence sur son terrain ainsi que sur toute la planète.
L'OLP devenait de facto le gouvernement palestinien. Oubliés les centaines d'attentats terroristes, les guerres contre l'état juif : Arafat Président !
En voulant DATER l'événement, les géo-politiciens dont l'immense majorité milite pour LE "deux états pour deux peuples", font une terrible erreur car ils admettent dans la foulée que Mitterrand à défaut d'être un Talleyrand, fut et demeura une copie de IAGO.
Ses "amis juifs" allaient payer très cher sa venue en Israël. Ce sale type le savait. Il savait surtout qu'honorer Arafat allait à jamais changer les mentalités de toute l'Europe.
Bien sûr que les socialistes peuvent ainsi revendiquer cet héritage ; il est bien commode.
En qualité de soutien à l'état d’Israël, nous ne pouvons pas ignorer l'autre partie du testament, celui qui mentionne la réception en grandes pompes d'un terroriste de l'OLP comme Arafat.
Cette seconde partie n'aurait pu se produire sans que le fourbe Mitterrand ne mette en branle une tournée "amicale" en Israël, peu avant. Son plan était bien en deux parties et nous payons depuis les fourberies de cet homme de peu.