Ziad Abou Ein et son mentor Arafat : "Il m'a tout appris. A mentir, à tuer et à manipuler et à gagner beaucoup d'argent!"
Pour mieux continuer le travail de sape de l’armée israélienne et de l’état d’Israel, la presse française s’est empressée de répéter les sentences de Mahmoud Abbas sur « l’acte barbare » commis à l’encontre de son Ministre des colonisations Ziad Abou Eïn.
Vous n’aviez rien remarqué ? Personne ne parle vraiment du Shahid Ziad Abou Eïn, pour la bonne raison que son passé de criminel risque de nuire à la cause palestinienne.
J’ai eu beau lire à peu près tous les articles sur la mort du « Ministre », absolument aucune mention sur son parcours de salaud…euh…de militant.
Ziad Abou Eïn est né en 1959. Produit de l’OLP de Yasser Arafat, il a fait « ses armes » dans les geôles israéliennes assez rapidement. Il était accusé d’enfreindre des règles de sécurité et de manier de trop près des armes létales.
En 1979, la justice israélienne l’accuse d’avoir participé activement à un attentat dans la ville de Tibériade. Attentat qui tua deux personnes dont un adolescent de 16 ans Boaz Lahav.
Ziad Abou Ein put s’enfuir aux Etats Unis où il resta tranquillement planqué jusqu’au jour où Israel obtint son extradition. Il écopa d'une peine de prison à vie.
La chance devait sourire au terroriste aux mains ensanglantées car il fit hélas partie d’un échange contre trois soldats israéliens en 1985.
Pour continuer son martyr, il se disait victime d’accusations non fondées quant à sa participation à l’attentat meurtrier de Tibériade bien entendu.
Ce type d’attitude permet surtout aux ex-prisonniers palestiniens d’entreprendre une carrière politique sous les bons auspices de la presse internationale. Même si la justice a donné toutes les preuves de sa culpabilité et prononcé une peine en conformité avec le crime, les palestiniens envisagent TOUJOURS une vie après la prison puisque leur sport favori est l’échange entre kidnappés israéliens et eux.
Il fut toutefois emprisonné à plusieurs reprises par la suite pour ne pas avoir respecté les mesures administratives d’éloignement de certaines zones.
Peu à peu, le terroriste Ziad Abou Ein gravit tous les échelons du Fatah pour enfin se faire canoniser pour services rendus à la cause. En 2006 il devient « Sous-Ministre des affaires aux prisonniers ». Ce n’est pas banal mais l’Autorité Palestinienne roule sur l’or et peut effectivement avoir autant de sous-ministres et de Vices-machins ainsi qu’une armée de fonctionnaires. Le monde cotise !
Pour avoir tué des juifs, Ziad Abou Ein devait avoir SON ministère. Créé spécialement pour lui cette année : Chef (pour d’autres Ministre) de la clôture, des frontières, des colonies et de la résistance.
Il n’en aura pas joui très longtemps de son nouveau Ministère. Cardiaque, il succombera à la nervosité ambiante durant une manifestation pacifique. Enfin…c’est ainsi que nous le retranscrit la presse.
Du reste, les palestiniens vont tenter de faire croire à un « coup de crosse » d’un soldat israélien. Comme un journaliste de la chaîne 10 israélienne envoya un tweet sur le champ qui indiquait "qu’il se tenait à côté d’Abou Ein et qu’il n’a pas vu de soldat donner un coup de crosse" le Ministère de la propagande palestinienne changea de version.
Il fallut donc dans l’urgence trouver autre chose et ce qui fut retenu en fin de compte c’était d’une part une grenade lacrymogène qui serait tombé SUR le Ministre puis les émanations qui l’étouffèrent.
Qu’il fut sujet de problèmes cardiaques importe peu. L’essentiel est de nourrir la légende du gentil protestataire tué par les méchants soldats sionistes.
Sa veuve pourra toucher le salaire du résistant et ses enfants prendre la suite du Ministère.
Les résultats de l’autopsie pratiqués par des médecins jordanien, palestinien et israélien NE RÉVÈLE AUCUNE TRACE DE COUP SUR LE TORSE D’ABOU ZIAD EIN. Légende quelque peu ternie...mais tout de suite enfoncée dans le crâne des arabes et de la communauté internationale par le décret de deuil national de trois jours prononcé par l'AP.
Tout le monde se fout du mensonge des palestiniens. Il est enterré en martyr. La presse n'en fera même pas mention.
Quant à moi, je pense qu’il a mis du temps à payer ses crimes de sang.