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DU RIFIFI A L’OPERA

MessagePublié: Octobre 21st, 2014, 9:50 am
par Nina
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Ca glousse pas mal en ce moment à propos d’un incident survenu à l’Opéra Bastille.

A l’occasion de la représentation de la Traviata de Verdi, les choristes ont refusé de se produire devant une torchonnée.

La sœur musulmane, assise juste devant la scène avec son bédouin de mari avait mis les oripeaux d’usage dans le désert. Mais alors...total look !

Voilée entièrement, la voici prête à succomber aux charmes de Violetta et Alfredo sauf que…rien à foutre disent les chanteurs et chanteuses, « on ne veut pas voir cette pouffiasse sapée comme un fantôme pendant qu’on pousse la note. Ça nous bloque ! »

Un cadre de l’Opéra est donc venu trouver le couple venu d’un pays du Golfe.

Bien entendu il n’a pu s’adresser qu’au mari qui restait le décisionnaire : « Madame doit se dévoiler, rapport à la loi française qui interdit qu’on cache le visage ou bien quitter l’enceinte de l’Opéra. »
Ils sont partis.

S’ensuit la discussion aussi stérile qu’inepte. Est-ce discriminant ? Ils se font chier les journaleux ?

Pas vraiment disent certains juristes tandis que d’autres tentent de vous convaincre par des arguments complètement cons que évidemment ça l’est, discriminant.

Comment les choristes peuvent-ils avoir quelque chose à redire puisque dans la lumière sur scène, ils ne peuvent distinguer la muslima voilée ? Costaud l'argument !

Au lieu de répondre « on s’en cogne, elle nous fait chier et on a pu l’apercevoir et la loi est la loi… » les médiacrates s’ingénient à vouloir nous prouver encore une fois que ceci n’est pas bien. D’une part, elle a payé ainsi que son époux donc…elle peut voir la représentation. Tu parles !

D’autre part, discriminer des fondamentalistes musulmans alors qu’ils font l’effort de s’intéresser à la culture occidentale, c’est pas bien non plus !

Et ça cause et ça cause…Pour rien ou pour faire passer un message à la con : faut se laisser faire, être tolérants ouverts aux autres cultures…Se faire mettre en douceur en somme.

Personne n’aura relevé que les islamistes venus voir s’égosiller Violetta entre deux quintes de toux, ne veulent pas lâcher le voile alors qu’ils n’ont absolument pas le droit selon les préceptes coraniques d’écouter de la musique ni même voir se produire des infidèles sur une scène de théâtre.

Heureusement qu’Alfredo et Violetta ne se roulent pas de patins entre deux roucoulades sinon…ils auraient peut-être hésité ces cons !

Euh…à la fin elle est bien en chemise de nuit en train d’agoniser pourtant. Bah ! Ca ressemble à une djellabah en faisant un effort. La pudeur est sauve !

Pour le coup, moi qui adore cet opéra, je trouve que c’est donner de la confiture aux cochons que de se produire devant des abrutis d’islamistes.

Pour un peu, j’irai bien le balancer à son imam.

Ah ! Le Coran à deux vitesses ! Quand ils sont pétés de fric, les bédouins boivent de l’alcool et sniffent de la coke mais restent drapés dans leur djellaba et leurs keffiehs. L’apparence hypocrite du Moyen-Orient, voilà le pont avec l’Occident et toutes les civilisations du monde. La fausse dévotion est bien universelle.

Je suis sûre d'une chose, les muslims n'iront pas voir le Nabucco : l'air de la révolte des hébreux leur ferait mal au bide.

(Paris, Verdi...rahhh lovely !)

Va, pensée, sur tes ailes dorées ;
Va, pose-toi sur les pentes, sur les collines,
Où embaument, tièdes et suaves,
Les douces brises du sol natal !

Salue les rives du Jourdain,
Les tours abattues de Sion ...
Oh ma patrie si belle et perdue !
Ô souvenir si cher et funeste !

Harpe d'or des devins fatidiques,
Pourquoi, muette, pends-tu au saule ?
Rallume les souvenirs dans le cœur,
Parle-nous du temps passé !

Semblable au destin de Salomé
Joue le son d'une cruelle lamentation
Ou bien que le Seigneur t'inspire une harmonie
Qui nous donne le courage de supporter nos souffrances !


L’essentiel au fond, c’est qu’ils furent virés. L’art lyrique est sauf l’espace d’un instant.

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